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(encyclopédies secondaires, par catégories et/ou mot(s)-clef(s) ; 120, au 26 Janvier 2021) :

Encyclopédie(s) principale(s) :

Plantes comestibles/alimentaires et, dans une moindre mesure, "utiles" ;
sauvages à (perma)cultivées ; annuelles à pérenn(isé)es
(plantes "potagères"*, par noms français courant ou noms latins/botaniques)


* plantes "potagères" au sens (très) large du terme (voir explication détaillée sur la page concernée).

Illustration

Antiscorbique

(25 espèces - liste non exhaustive)

A

Abies balsamea, Sapin baumier
Rusticité (résistance face au froid/gel) : zone 3-6

legume-feuille (laitue)tronc

Note : ***

Détails : Tronc (écorce interne, moëlle et résine consommées [nourriture/aliment, feuille (extrémités [base boissons/breuvages : tisanes]) comestibles.



Écorce interne, moelle, résine, jeunes pousses - thé. L'écorce interne est broyée en farine et mangée ; elle est utilisée pour faire une sorte de pain.

La moelle est également consommée.

La résine du tronc est mâchée ; elle donne une oléorésine utilisée pour les aromatiser les bonbons et pâtisseries.

Les pointes des branches sont utilisées pour le thé


Précautions

on rapporte que l'oléorésine (baume du Canada) produit une dermatite lorsqu'elle est appliquée comme parfum ; le feuillage a également induit une dermatite de contactµ{{{5(+)µ.

Note médicinale : *****

Usages médicinaux : La résine obtenue à partir du sapin baumier (voir «Notes d'utilisation» ci-dessous) a été utilisée dans le monde entier et est un agent antiseptique et cicatrisant très efficace. Il est utilisé comme revêtement protecteur cicatrisant et analgésique pour les brûlures, les ecchymoses, les plaies et les plaies [213, 222, 226]. Il est également utilisé pour traiter les mamelons endoloris [213] et est considéré comme l'un des meilleurs curatifs pour un mal de gorge [245]. Les bourgeons, la résine et / ou la sève sont utilisés dans les remèdes populaires pour traiter les cancers, les cors et les verrues [269]. La résine est également antiscorbutique, diaphorétique, diurétique, stimulante et tonique [4, 171, 222]. Il est utilisé en interne dans des mélanges de propriété pour traiter la toux et la diarrhée, bien que pris en excès, il est purgatif [238]. Un liquide chaud de la sève gommeuse a été bu comme traitement de la gonorrhée [212]. Un thé fait à partir des feuilles est antiscorbutique [4, 171]. Il est utilisé dans le traitement de la toux, rhumes et fièvres [222]. Les feuilles et les jeunes pousses sont mieux récoltées au printemps et séchées pour une utilisation ultérieure [238]. Cette plante était largement utilisée en médecine par diverses tribus indiennes d'Amérique du Nord [257]. La résine était utilisée comme agent cicatrisant antiseptique appliqué en externe sur les plaies, les plaies, les morsures, etc., elle était utilisée comme inhalant pour traiter les maux de tête et était également prise en interne pour traiter les rhumes, les maux de gorge et diverses autres plaintes [257].

Abies fraseri, Rusticité (résistance face au froid/gel) : zone 4-7

tronc

Note : *

Détails : Les utilisations suivantes concernent le A. balsamea étroitement apparenté ; puisque cette espèce a aussi des cloques de résine dans l'écorce, les utilisations s'appliquent très probablement aussi ici. -écorce intérieure - cuite, elle est généralement séchée, broyée en poudre puis utilisée comme épaississant dans les soupes, etc. ou mélangée avec des céréales lors de la fabrication du pain ; aliment d'urgence, il n'est utilisé que lorsque tout le reste échoue ; -un poix résineux aromatique se trouve dans les cloques de l'écorce ; lorsqu'il est consommé cru, il est délicieux et moelleux ; -une oléorésine du brai est utilisée comme arôme dans les confiseries, les produits de boulangerie, les glaces et les boissons ; -les pointes des jeunes pousses sont utilisées comme substitut du thé.


Précautions

ATTENTION : l'oléorésine (baume du Canada) peut provoquer une dermatite chez certaines personnesµ{{{5(+)µ.

Note médicinale : ***

Usages médicinaux : Les utilisations suivantes concernent le A. balsamea étroitement apparenté. Puisque cette espèce a aussi des cloques de résine dans l'écorce [81], les utilisations s'appliquent très probablement aussi ici. La résine obtenue à partir du sapin baumier (voir «Notes d'utilisation» ci-dessous) a été utilisée dans le monde entier et est un agent antiseptique et cicatrisant très efficace. Il est utilisé comme revêtement protecteur cicatrisant et analgésique pour les brûlures, les ecchymoses, les plaies et les plaies [213, 222, 226]. Il est également utilisé pour traiter les mamelons endoloris [213] et est considéré comme l'un des meilleurs curatifs pour un mal de gorge [245]. Les bourgeons, la résine et / ou la sève sont utilisés dans les remèdes populaires pour traiter les cancers, les cors et les verrues [269]. La résine est également antiscorbutique, diaphorétique, diurétique, stimulante et tonique [4, 171, 222]. Il est utilisé en interne dans des mélanges de propriété pour traiter la toux et la diarrhée, bien que pris en excès, il est purgatif [238]. Un liquide chaud de la sève gommeuse a été bu comme traitement de la gonorrhée [212]. Un thé fait à partir des feuilles est antiscorbutique [4, 171]. Il est utilisé dans le traitement de la toux, du rhume et de la fièvre [222]. Les feuilles et les jeunes pousses sont mieux récoltées au printemps et séchées pour une utilisation ultérieure [238]. Cette plante était largement utilisée en médecine par diverses tribus indiennes d'Amérique du Nord [257]. La résine était utilisée comme agent cicatrisant antiseptique appliqué en externe sur les plaies, les plaies, les morsures, etc., elle était utilisée comme inhalant pour traiter les maux de tête et était également prise en interne pour traiter les rhumes, les maux de gorge et diverses autres affections [257].

Allium cepa, Oignon
Rusticité (résistance face au froid/gel) : -20°C - zone 6 (-10/-15°C selon d'autres sources)

legume-feuille (laitue)legume-racine (carotte)

Note : *****

Détails : Crus, les oignons se mangent en salade, assaisonnent les crudités. Cuits, ils parfument les viandes, les poissons, etc... ; les petits oignons blancs se confisent dans le vinaigre, seuls, ou avec d'autres aromates ; les feuilles peuvent être utilisées comme de la ciboulette.



Racine (bulbes : crus ou cuits [nourriture, feuille (feuilles : idem bulbes, ex. comme potherbe ; germes (graines germées) : crus [nourriture/aliment : salade]) comestibles.(1*)


Précautions

(1*)Voir genre Allium pour les précautions à prendre (risques de confusion et possible toxicité à fortes doses)µ{{{(rp*)µ.

Note médicinale : ***

Armoracia rusticana, Raifort
Rusticité (résistance face au froid/gel) : -34°C

legume-fruit (tomate)legume-fleurlegume-feuille (laitue)legume-racine (carotte)

Note : ***

Détails : Son goût puissant rappelle un peu celui de la moutarde et du wasabi (qu’il peut donc remplacer, que ce soit dans un plat, sur le bord de l'assiette ou dans une sauce) et assaisonnera parfaitement vos recettes. Râpé comme condiment, il relèvera les viandes, les poissons fumés, les sauces ou la choucroute.



Racine crue (brute) ; condiment important localement. Feuilles crues ou cuites (ex. : comme potherbe).



Racine (racines fraîches crues ou cuites [nourriture/aliment et/ou assaisonnement, feuille (jeunes feuilles crues ou cuites [nourriture/aliment et/ou assaisonnement, fleur (fleurs [accompagnement : garniture (décoration) ; et assaisonnement : condiment piquant]) et fruit (graines germées) comestibles.(1*)


Précautions

La plante entière présente une certaine toxicité due à des glycosidesµ{{{27(+x)µ.

Note médicinale : ***

Usages médicinaux : Elle a des propriétés dépuratives, digestives, bactéricides et rubéfiantes. Elle stimule l’appétit et contribue aux soins des affections respiratoires, des bronches et des poumons. Son absorption facilite la digestion des graisses ; c’est un véritable purificateur de l’organisme. On peut même l’utiliser en cataplasmes pour soulager les douleurs de l’arthrite et des rhumatismes, chose qui était déjà pratiquée à l’époque médiévale. Elle est surtout très riche en vitamine C mais ses teneurs en antioxydants, fibres alimentaires et glucosinolates sont également particulièrement intéressants.

C

Chenopodium album, Chénopode blanc

legume-fruit (tomate)legume-fleurlegume-feuille (laitue)

Note : ***

Détails : Grainesµ1, feuille (jeunes et/ou tendres pousses et tiges : crues ou cuites {ex. : comme potherbe, substitut d'épinard}) et fleur (jeunes inflorescences (dont bourgeons) : crues [salades, tartines]) comestibles.(1*)



Les parties les plus souvent utilisées sont les feuilles, les extrémités des tiges et les jeunes pousses entières, cuites comme celles de ses proches cousins, les épinards. Les jeunes tiges, quant à elles, sont consommées comme des asperges.



On récolte le chénopode blanc sous forme de pousses, après le deuxième n?ud et ensuite, on récolte les ramifications, avant qu'elles ne soient matures, jusqu'au milieu de l'été ou parfois plus tard.



Les feuilles fraîches et la tige sont très nutritives. Pande et Pathak montraient en 2010 qu'elles sont une bonne source d'acides aminés (leucine, isoleucine, mais surtout lysine, qui est un acide aminé essentiel utilisé en nutrition animale et humaine pour équilibrer les régimes alimentaires ou encore comme antiviral pour le traitement de l'herpès et du zona chez l'Humain). Également riches en minéraux et oligoéléments, elles sont aussi une bonne source de protéines, lipides et fibres, vitamines (vitamine C notamment) et fer biodisponible.



Les feuilles vertes sont particulièrement riches en calcium, en vitamine C et en caroténoïdes, ainsi qu'en fer (plus que dans les feuilles d'épinard et de chou, mais moins que dans celles de l'Amarante).

Cette plante fait l'objet d'une culture vivrière ancienne et importante dans les pays tropicaux et subtropicaux où (en Inde et en Afrique notamment), dans le contexte du réchauffement climatique et de la sous-alimentation, elle connait aujourd'hui un regain d'intérêt comme ressource alimentaire précieuse en raison de ses qualités gustatives et alimentaires, de sa facilité de culture dans divers types de sol, et de son potentiel agricole en zone de stress cultural (stress hydrique et salin), altitude (on trouve des souches sauvages jusqu'à 4 700 m), canicules et froid).



Les feuilles sont très riches en protéines, en vitamine A (11600 UI/100g) et en vitamine C, ainsi qu'en calcium. Manger le feuillage cru est déconseillé, d'une part en raison de sa texture farineuse et surtout en raison de sa teneur en saponines, des molécules qui sont généralement un facteur antinutritionnel (le Chénopode blanc contient 3 saponines dont l'une est un seco-glycoside analogue à des composés antérieurement connus chez des Caryophyllales (qui sont également souvent des plantes rudérales nitrophiles), nitrates et acide oxalique, même après un lavage à grande eau. Selon la provenance de la plante, son taux d'acide oxalique varie de 360 à 2 000 mg/100 g, d'après Guil et al. (1996).

-la cuisson ne détruit que peu les saponines (mais la fermentation lactique les détruit en activant les phytases endogènes de la plante) ;

-le trempage des graines active également ces phytases endogènes ;

-la cuisson ne détruit pas les oxalates. On recommandait donc par précaution aux malades rénaux, hépatiques, arthritiques ou lithiasiques d'éviter le Chénopode. Cependant des usages médicinaux traditionnels anciens retrouvés dans divers pays (en Asie principalement), ainsi que des études récentes (2016, 2017?), en laboratoire et sur le modèle animal, ont montré qu'au contraire et paradoxalement cette plante est un remède et peut avoir une utilisation préventive contre la lithiase urinaire (calculs rénaux ou urinaires).



La graine, qui peut se conserver sèche, est aussi comestible, cuite en gruau (à la manière de céréales ou avec des céréales, on classe d'ailleurs cette espèce parmi les pseudo-céréales), ou moulue en farine. C?est une des deux espèces de Chénopode cultivé (en Asie surtout) pour ses graines, l'autre étant le quinoa, mais elle est aussi cultivée, ainsi que d'autres espèces proches, comme légume.



Selon Amrita Poonia (2021), en raison de sa teneur en composés bioactifs et de ses activités pharmacologiques, Chenopodium album semble pouvoir devenir un aliment (légume) nutraceutique.




Précautions

(1*)ATTENTION : présence de saponines et d'acide oxalique, pouvant être toxiques à fortes doses : voir fiches toxines, pour plus d'infos. Faire également attention à l'usage des herbicides qui ont tendance à s'accumuler dans les grainesµ{{{(dp*)µ.

Note médicinale : **

Usages médicinaux : Dans le monde et en Asie notamment, le Chénopode blanc a des usages médicinaux anciens (dit « Bathua sag » en Hindi, c'est l'une des plantes précieuses de l'Ayurveda qui l'utilise couramment contre « les douleurs pectorales, la toux, les douleurs abdominales, l'obstruction pulmonaire et les affections nerveuses », mais il est encore « abondamment utilisé comme aliment et en phytothérapie dans le monde ». On considère que son intérêt médicinal est principalement lié aux composés présents dans ses feuilles et dans ses graines (notamment riches en acides gras et en antioxydants). Par exemple, ses feuilles (cuites en général) traitent les troubles digestifs, les ulcères gastroduodénaux et certaines maladies du foie.

Plus précisément, on considère (en 2020) que ce chénopode a des effets :

-antiscorbutique (car riche en vitamine C) ;
-antimicrobiens (antibactérien notamment) ;
-antihelminthiques (par exemple contre les vers ronds et les ankylostomes) ;
-antioxydants, dont la graine ; l'activité antioxydante est notamment liée à la teneur de la plante en polyphénols (molécules à fort potentiel redox qui en fait des antioxydants naturels. Ces teneurs varient selon les parties de la plante, mais semble relativement comparable entre espèces de Chénopodes quand on les dose dans la même partie de la plante. Les tiges et feuilles contiennent des quantités élevées de polyphénols libres (ex. : 3,36 mg/g DW mesurés en Pologne) qui selon Nowak et al. (2016) pourraient intéresser l'industrie pharmaceutique et des compléments alimentaires. Parmi les 4 Chénopodes les plus communs en Europe de l'Ouest, les extraits des parties aériennes de C. rubrum et C. urbicum avaient cependant un effet antioxydant encore meilleur que chez Chenopodium album.
-antidiarrhéiques ;
-hépato-protecteurs ;
-cicatrisants (efficacitée confirmée et expliquée en laboratoire sur des brûlures, sur le modèle animal).

Des études pharmacologiques récentes (pharmacochimie et phytopharmacologie...) ont mis en évidence de nouvelles propriétés médicinales et de possibles nouveaux usages médicaux ou vétérinaires potentiels :

-anti-inflamatoire ; en 2010, une hydrodistillation de feuilles (hydrodistillées) de Chenopodium album récoltées au Niger a donné 0,64 % v/w d'huile essentielle. 60,1 % de son contenu était des composés aromatiques, dont le p-cymène (40,9 %), l'ascaridole (15,5 %), le pinane-2-ol (9,9 %), le ?-pinène (7,0 %), le ?-pinène (6,2 %) et le ?-terpinéol (6,2 %). L'huile testée chez la souris contre un ?dème de l'oreille induit par le 12-O-tétradécanoylphorbol-13-acétate (TPA) s'est montrée fortement anti-inflammatoire. Cette activité a été confirmée in vitro par une autre étude.
-activité contraceptive ? : Kumar et al. en 2007 ont montré qu'un extrait de graines de Chenopodium album pourrait fournir « un puissant agent d'immobilisation du sperme » (démontré à la fois in vitro et in vivo) ;
« amélioration » de la fonction sexuelle masculine (observée chez la souris mâles normale) ;
-myorelaxant, antispasmolytique et analgésique (chez l'animal de laboratoire (lapin). L'effet d'extrait brut (et de ses fractions) a notamment été testé (2020) in vitro (sur muscle lisse intestinal de lapin). Un effet myorelaxant dose-dépendant apparait à 5 mg/ml, atteignant un maximum à 20 mg/ml. Les extraits par l'acétate d'éthyle et le chloroforme sont myorelaxant ; par le n-butanol ils ont un fort effet relaxant, alors que la fraction aqueuse a une effet contractile. L'extrait par le n-butanol est analgésique chez la souris à 500 mg/kg, effectif durant 30 à 210 minutes.
-antipruritique ;
-anti-prolifératif (anticancéreux) ? des extraits de feuilles et de graines de Chenopodium album et de 3 autres chénopodes (Chenopodium hybridum, Chenopodium rubrum et Chenopodium urbicum) ont été testés contre le carcinome pulmonaire humain A-549 et le carcinome ovarien TOV-112D ainsi que contre des lignées cellulaires de fibroblastes humains normaux. Bien que faiblement cytologique, les extraits de feuilles et de graines de Chenopodium album et C. hybridum ont montré un effet antiprolifératif significatif sur la lignée cellulaire TOV-11241.

Les racines ne semblent pas avoir eu d'usage alimentaires ou médicinaux traditionnels importants, et n'ont dont pas fait l'objet de beaucoup de recherches. On y a découvert (en 1993) un nouvel amide phénolique (N-trans-féruloyl-4-O-méthyldopamine), qui a montré une activité d'attraction pour les zoospores d'Aphanomyces cochlioides (champignon connu pour infecter certains Chénopodes)µ{{{wikiµ.


Citrus aurantium, Bigaradier
Rusticité (résistance face au froid/gel) : -8/-10°C (- 3/-7°C?)

legume-fruit (tomate)legume-fleurlegume-feuille (laitue)

Note : ***

Détails : Feuille (feuilles [base boissons/breuvages, fruit (fruits [nourriture/aliment : fruit ; et/ou assaisonnement]) et fleur (fleurs12(+x) [base boissons/breuvages : tisanes12(+x)] ; et extrait {hydrolat, ou eau de distillation, et huile essentielle} [assaisonnement {essence de Néroli et eau de fleur d'oranger}]) comestibles.



Herbe, épice.


Précautions

néant, inconnus ou indéterminés.

Note médicinale : ***

Citrus limon, Citronnier
Rusticité (résistance face au froid/gel) : -3 à -5/-6°C (et même jusqu'à -8°C pour certains cultivars)

legume-fruit (tomate)

Note : *****

Détails : Le fruit est entièrement consommable mais c'est essentiellement le jus (zeste et/ou pulpe) qui est employé pour son arôme très prononcé. Il est également souvent utilisé en tranches, comme agrément ; la macération du zeste dans l'alcool additionnée du sucre donne le Limoncello qui bénéficie d'une IGP ; l'huile essentielle de citron est utilisée en aromathérapie.



Fruit (fruits) comestible.



Fruit en entier ; plante largement cultivée dans le monde ; utilisation alimentaire universelle du jus de fruit. Herbe, épice. Le jus peut être utilisé pour faire cailler le lait (agent de coagulation/caillage /caille-lait substitut de présure) pour la préparation de fromage.



Il a de multiples usages en cuisine :



-Le jus frais est utilisé en assaisonnements sur le poisson ;

-Il remplace le vinaigre dans les salades ;

-Il est souvent utilisé sous forme confite dans les tajines marocains ;

-Additionné d'eau et de sucre, il compose la citronnade, boisson rafraîchissante ;

-Il est également un ingrédient essentiel de la limonade, du limoncello et de la cherbet, boisson très populaire en Algérie ;

-Il est employé en pâtisserie, notamment dans la recette de la tarte au citron ;

-La marmelade peut être faite avec les citrons.



À température ambiante, il se conserve une dizaine de jours, il faut donc le consommer rapidement.



Le citron peut servir à empêcher l'oxydation de certains fruits et légumes qui noircissent au contact de l'air. On peut frotter la chair des fruits (pomme, poire, avocats) avec une moitié de citron ou arroser les crudités râpées comme le céleri rave avec du jus de citron.



L'ajout de quelques gouttes de citron ou de vinaigre rend la pâte brisée plus tendre et moins élastique, car l'acide désagrège le gluten (protéine de la farine).



De l'alcool peut être produit à base de citron, comme la liqueur de citron.


Précautions

néant, inconnus ou indéterminés.

Note médicinale : *****

Usages médicinaux : Pour la santé :

Déjà Hildegarde de Bingen utilisait le citron comme fébrifuge, on la dit bon contre le venin de serpent et l'empoisonnement à la cigüe. Les publicités concernant les bienfaits du citron peuvent contenir des allégations santé fausses, ambigües ou trompeuses. Ainsi, on prête toujours au citron toutes sortes de vertus : fort en vitamine C, il gommerait toute fatigue, favoriserait la digestion, rendrait les dents blanches, serait diurétique. En plus de ses propriétés anti-infectieuses, antiseptiques et cicatrisantes, il réduirait la cellulite (aliment brûle-graisse), ralentirait le vieillissement et aiderait même à se protéger du cancer.

La plupart de ces allégations ne sont pas prouvées scientifiquement. Cependant, sa richesse en vitamine C favorise les cicatrisations. L'acide citrique du jus est antiseptique, d'où les gargarismes avec du jus coupé d'eau en cas de maux de gorge et l'ajout de quelques gouttes de jus de citron dans les fruits de mer consommés crus. Le citron frotté sur les dents, au lieu de les blanchir (éliminant les taches de thé, tabac), attaque l'émail sur lequel l'acidité répétée peut entraîner la déminéralisation des dents et créer des micropores suffisants pour laisser entrer les bactéries à l'origine de caries. Enfin, ce fruit reste intéressant pour la santé en raison de sa richesse en vitamine C, en calcium, phosphore et potassium dont l'assimilation est favorisée par l'acide citrique.

Le citron peut même avoir des effets néfastes importants. Le citron, comme tous les agrumes, est riche en furanocoumarines (psoralène, bergaptène surtout présents dans la pulpe, ces composants étant donc plus concentrés dans les jus de fruits frais que dans les jus de fruit pasteurisés) qui peuvent entraîner une photosensibilisation. Une consommation élevée d'agrumes augmente de 30 % le risque de mélanome. Ainsi, la consommation fréquente de jus de fruits frais permettrait de ralentir la progression de certains cancers mais favoriserait celui de la peau pour les personnes qui ne se protègent pas du soleil.

Allégations thérapeutiques et preuves scientifiques :

-Effets de l'acidité sur le corps. L'acide citrique a une capacité antioxydante et anti-inflammatoire qui peut améliorer le système immunitaire et protéger le foie et le cerveau. Il peut aider à baisser la peroxydation lipidique dans cellule, à améliorer la biodisponibilité du fer (antianémique).

-Favorise la production d'énergie : selon la « Reams Biological Ionization Theory » (RBTI), les citrons seraient l'unique aliment anionique au monde. Telle caractéristique les rendrait particulièrement bienfaisants pour la santé, à cause de la contribution qu'ils donneraient à l'interaction entre les cations et les anions, qui est nécessaire pour la production d'énergie à niveau cellulaire. On lira la publication de Thomas Patterson (American Society of Clinical Laboratory Scientist’s Code of Ethics) qui montre qu'il s'agit la de pseudo-science délibérément trompeuse.

-Combat les maladies à refroidissement : Le contenu en vitamine C et en flavonoïdes aide à combattre non seulement les symptômes grippaux, pendant les mois d'hiver, et lorsque le physique le demande, il est à conseiller de boire des jus d'une orange et de deux citrons. L'activité antibactérienne des extraits de zeste de citron est démontrée au même titre que celle d'orange. Les boissons chaudes contenant du jus de citron ou divers tonique (gingembre, cannelle, oignon, ail) ont un effet diaphorétique (font transpirer) favorable dans les affections hivernales. Une étude finlandaise (2013) a montré que la prise de vitamine C réduit la durée des rhumes mais à des doses élevées (> 1g/j soit 2 kg de jus de citron ou 6 à 7 kg de fruits) dans la limite de la tolérance intestinale. Un cas d'amélioration de rhinite allergique par traitement au jus de citron a été publié en 2009.

-Aide la digestion : grâce au jus et à la peau, le citron aide aussi à digérer. L'acide citrique contenu dans le jus, sous forme de sel de sodium ou de potassium, exerce un puissant effet antiacide dans l'estomac, parce qu'il neutralise l'acide chlorhydrique de trop. La médecine traditionnelle indienne (Ayurveda) conseille d'ajouter au jus de citron une pincée de sel et de piment de Cayenne. En 2011 une publication britannique a confirmé que les composés amers, aromatiques et piquants du gingembre, de la menthe poivrée, de l'anis et du fenouil, des agrumes, du pissenlit et de l'artichaut, la mélisse et la camomille améliorent la digestion.

-Nettoie l'intestin : le jus de citron ajouté à l'eau chaude facilite l'évacuation. Ce serait une bonne pratique qu'on peut suivre au matin, à jeun, près d'une demi-heure avant le petit déjeuner. L'hydratation et l'apport de fibre aident le péristaltisme intestinal les pommes, poires, raisins etc. apportent du sorbitol favorable.

-Baisse le cholestérol, la glycémie, la pression artérielle : la vitamine C et les citroflavonoïdes (et plus en particulier la tangéritine) interviennent respectivement dans la transformation du cholestérol en acides biliaires et dans la production de ses précurseurs. Dans un test double aveugle il a été montré que le mélange d'ail et de jus de citron (traditionnellement recommandé) n'est pas meilleur que l'ail seul pour réduire la pression artérielle et l'indice de masse corporelle.

-Dépure le foie : le citron est un merveilleux stimulant pour le foie et il est aussi un bon solvant de l'acide urique et d'autre poisons. Seules études disponibles sont in vitro ou en modèle murin.

-Aide les yeux : la rutine et la vitamine B2 (ou riboflavine) exercent un rôle important dans le maintien d'une bonne santé de la structure oculaire et dans l'amélioration des symptômes de quelques pathologies de l'œil. En tant qu'antibactérien il combat la conjonctivite. Plusieurs publications montrent que les extraits de plantes auto-induits peuvent entraîner des complications oculaires.

-Hydrate et assouplit la peau : la vitamine C exerce un rôle fondamental dans la formation des fibres de collagène, une des protéines structurales les plus importantes de notre corps. Pour ce motif, le jus de citron maintient la peau en bonne santé et il exercerai un rôle important dans les processus d'ossification et pour la guérison des blessures. Le jus de citron avec sa capacité antibactérienne est un bon désinfectant de la peau.

Huile essentielle
du fruit :

L'huile essentielle a pour principal composé le limonène (55 %, dans l'IGP Limone di Rocca Imperiale le contenu minimal est 70%) suivi du néral (10,4 %) suivi de trans-verbénol (6,4 %) et décanal (3,2 %). Les autres composés présents sont le cinnamate d'éthyle (2,2 %), le p-méthoxycinnamate d'éthyle (2,2 %), le cis -?-bergamotène (1,6 %), le géraniol (1,5 %), le trans -carvéol, le nonanal, linalol, ?-terpinéol. Elle a une action antioxidante et anti nociceptive, antiallergique, antivirale, antimutagène et anticancérigène65 démontrée en modèle murin.

Huile essentielle de feuilles :

Le linalol (30,6 %), le géraniol (16 %), l' ? -terpinéol (14,5 %) et l'acétate de linalyle (13,7 %) sont les principaux constituants de l'huile essentielle. Elle a des capacités antioxydantes et antibactériennesµ{{{wikiµ.


Crataegus laevigata, Aubépine
Rusticité (résistance face au froid/gel) : zone 5-9

legume-fruit (tomate)legume-feuille (laitue)

Note : ***

Détails : Fruit (fruits [nourriture/aliment] crus ou cuits {en confitures}) et feuille (feuilles) comestibles.



Feuilles cuites (ex. : comme potherbe) ? (qp*).


Précautions

néant, inconnus ou indéterminés.

Note médicinale : *****

G

Glechoma hederacea, Lierre terrestre
Rusticité (résistance face au froid/gel) : -40°C

legume-fleurlegume-feuille (laitue)

Note : **

Détails : Feuille (dont jeunes et/ou tendres, dont pointes) et fleur comestibles. Les jeunes feuilles sont consommées crues ou cuites ; elles ont un goût amer et peuvent être mélangées dans les salades et soupes (en petites quantités) afin d'ajouter une légère saveur aromatique et/ou pimentée ; elles peuvent aussi être cuites comme les épinards, en soupes etc..., ou utilisées comme assaisonnement ; elles sont disponibles très tôt dans l'année. Une tisane (succédané de thé est faite à partir des feuilles fraîches ou séchées ; celle-ci peut-être sucrée avec du miel ; elles sont souvent mélangées avec des feuilles de verveine. La plante a été ajoutée à la bière de la même manière que le houblon afin d'enlever l'amertume et aussi d'améliorer son goût et sa qualité de conservation ; cette espèce était l'arôme le plus commun dans la bière avant l'utilisation du houblon à partir du 16ème siècle. Elle a servi à clarifier, aromatiser et préserver la bière jusqu'au XVIIe siècle. L'un de ses noms communs liés à la fabrication de la bière en anglais, est « gill », qui vient du français « guiller » (dit de la bière en fermentation). C'est une plante mellifère dont le parfum très particulier des feuilles (rappelant à la fois la menthe, le citron et l'humus) peut remplacer celui de la menthe pour relever les salades ou les soupes, aromatiser des apéritifs à base de jus de pomme ou de vin blanc, des cocktails, ou se marier avec des préparations à base de chocolat. Tout comme la menthe, le lierre terrestre peut être utilisé pour confectionner un sirop. Le chef étoilé Marc Veyrat s'en sert pour accompagner un rouget. Les fleurs servent parfois pour aromatiser et décorer les gâteaux, les glaces. Les feuilles et jeunes pousses utilisables toute l'année deviennent cependant amères et astringentes en raison de leur richesse en tanins, aussi est-il préférable de les cueillir lorsqu'elles sont assez jeunes ou les utiliser en tisane. Galles provoquées par une petite guêpe, Liposthenes glechomae (en), et jadis consommées comme un fruit, surnommé « la pomme du Lierre terrestre ».


Précautions

(1*)ATTENTION : la plante serait toxique pour des grandes quantités consomméesµ{{{27(+x)µ. Il est recommandé de ne pas l'ingérer en grandes quantités. Les chats et chiens peuvent se rendre malades en en mangeant beaucoup. L'ensemble de la plante est aussi dangereux pour les tortues terrestres et les reptiles de façon générale. Des cas d'intoxication, en Europe de l'Est, de bétail et de chevaux qui en ont consommé en quantité, sont reportésµ{{{wikiµ. A éviter en cas de grossesse car abortif. Contre-indiqué en cas d'épilepsie. A éviter en cas de maladie rénaleµ{{{5(+)µ.

Note médicinale : ***

Usages médicinaux : Le lierre terrestre contient du tanin, une huile essentielle, et un taux élevé de vitamine C. On y trouve aussi du 1,8-cinéole (également appelé eucalyptol), ?-pinène, apigénine, ?-sitostérol, bornéol, acide caféique, acide férulique, hyperoside, iode, lutéoline, menthol, acide oléanolique (un vasodilatateur démontré), acide rosmarinique, rutine, acide ursolique.

Ses qualités médicinales sont connues depuis au moins la Grèce ancienne. Galien la recommandait pour les inflammations oculaires. L'herbaliste anglais John Gerard (1545-1607) la recommandait pour les tintements d'oreille. Cette plante dite adaptogène est traditionnellement utilisée en phytothérapie comme diurétique (une aide pour les désordres rénaux), astringent, stomachique (aliment tonique et stimulant doux notamment pour les indigestions), vulnéraire (aide à la cicatrisation des blessures externes), anti-inflammatoire, expectorant (sommité fleurie utilisée pour les affections bronchiques), et pour soulager les hémorroïdes. Des recherches sont menées sur de possibles effets anticancéreuxµ{{{wikiµ.


H

Hibiscus sabdariffa, Oseille de guinée

legume-fruit (tomate)legume-fleurlegume-feuille (laitue)

Note : ***

Détails : Fleur (calice {cru ou cuit [bouilli, grillé]} [nourriture/aliment, base boissons/breuvages {bissap/karkadé et ersatz/succédané, feuille (jeunes et/ou tendres feuilles, pousses et tiges consommées [nourriture/aliment {crues, en salade, ou cuites, comme légume{{{~}, base boissons fermenté(e)s et/ou assaisonnement]) et fruit (graines [nourriture/aliment et base boissons/breuvages {substitut du café} : séchées et/ou torréfiées et moulues]) comestibles.



Calices, feuilles, graines, fleurs - thé, légumes.

Le calice frais (le verticille, spire extérieure de la fleur, composé de sépales) est consommé cru, en salade, est cuit et utilisé comme aromatisant dans les gâteaux, etc, et est également utilisé dans la confection de gelées, soupes, sauces, marinades, puddings, confitures, etc... ; il est riche en acide citrique et pectine et est donc utile pour faire des confitures, gelées, etc... ; il est également utilisé pour ajouter une couleur rouge et pour aromatiser les tisanes ; il peut aussi être rôti et utilisé comme un substitut de café ; enfin, une boisson rafraîchissante et très populaire peut être obtenue en faisant bouillir le calice, en l'édulcorant/adoucissant avec du sucre et en ajoutant du gingembre.

Les fleurs peuvent être utilisées pour parfumer les boissons.

Jeunes et/ou tendres feuilles, pousses et tiges consommées crues, en salade, ou cuites, comme légume (feuilles cuites comme potherbe), et comme assaisonnement dans les currys (elles ont un une saveur acide, rappelant la rhubarbe), et aussi à la base d'une boisson fermentée. Les graines peuvent être mangées ; elles peuvent être séchées et/ou torréfiées et moulues (broyeés/réduites en poudre) puis ensuite utilisées dans les soupes et les sauces grasses/huileuses ; grillées, elles ont été utilisées comme substitut du café qui est dit avoir des propriétés aphrodisiaques ; elles peuvent également être pressées pour l'huile, probablement comestible, qu'elles produisent à hauteur de 20%. La racine est comestible mais très fibreuse, mucilagineuse, et sans trop de saveur.


Précautions

néant, inconnus ou indéterminés.

Note médicinale : ***

Hieracium pilosella, Piloselle
Rusticité (résistance face au froid/gel) : zone 5 ({{{-15°C)

legume-fleurlegume-feuille (laitue)

Détails : Feuille (dont extrait (jus) ; crues ou cuites, et fleur (dont bourgeons ; crues ou cuites) comestibles.



Plante utilisée localement comme masticatoire ? (question posée par l'auteur).


Précautions

néant, inconnus ou indéterminés.

L

Lepidium sativum, Cresson alénois
Rusticité (résistance face au froid/gel) : -12°C/-18°C ?

legume-fruit (tomate)legume-feuille (laitue)legume-racine (carotte)

Note : ***

Détails : On consomme principalement les graines germées, les jeunes feuilles et pousses tendres, crues, en salades, mais on peut également les faire cuire (ainsi que les plus anciennes) comme légume (potherbe) ; les gousses (fraîches ou séchées), les graines et les racines peuvent être utilisées comme assaisonnement piquant (condiment/épice) ; les graines donnent une huile alimentaire.



Feuilles, herbe, épice, légume, graines - huile.



Feuille (feuilles et jeunes pousses consommées [nourriture/aliment {comme légume ; en salades}]) ; fruit (gousses {fraîches ou séchées} [assaisonnement piquant] ; graines [ [assaisonnement {comme condiment}] ; extrait graines : huile [nourriture/aliment {huile alimentaire}] ; et graines germées [nourriture/aliment]) et racine (racines [assaisonnement {aromatisant ou épice}]) comestibles.



-les feuilles et jeunes pousses sont utilisées (consommées) en salades ; elles sont coupées quand elles sont jeunes ; les feuilles tendres sont cuites comme légume (ex. : potherbe, brède) ; elles sont utilisées dans les currys ;

-les gousses fraîches ou séchées peuvent être utilisées comme un assaisonnement piquant.

Graines utilisées comme condiment ;

-les graines donnent aussi une huile comestible ; les graines peuvent être germées et mangées ;

-les racines sont parfois utilisées comme assaisonnement ou épice.


Précautions

néant, inconnus ou indéterminés.

Note médicinale : *

M

Menyanthes trifoliata, Menyanthe

legume-feuille (laitue)legume-racine (carotte)

Note : **

Détails : Partie(s) comestible(s) : racine, feuilles - aromatisant, feuilles - thé.

Utilisation(s)/usage(s) comestible(s) :

-les racines sont lavées à l'eau courante, pour enlever l'élément amer, puis broyées en farine laquelle est utilisée dans le pain ; elles sont séchées et moulues et lessivées et séchées ;

-les feuilles ont été utilisées comme un substitut pour le houblon dans le brassage ; les feuilles séchées sont brassées dans le thé.


Précautions

néant, inconnus ou indéterminés.

Note médicinale : ***

P

Petroselinum crispum, Persil

legume-feuille (laitue)

Note : ****

Détails : Partie(s) comestible(s) : feuilles, herbe, épice, légume culinaire(s) :

-les feuilles sont utilisées pour aromatiser ; elles sont utilisées dans les salades, les sauces, les ragoûts, les farces, et dans d'autres plats cuisinés ; les feuilles peuvent être séchées ou utilisées fraîches pour le thé ;

-l'huile de persil obtenue à partir des feuilles ou des graines est utilisée dans les aliments.


Précautions

néant, inconnus ou indéterminés.

Note médicinale : ****

Peucedanum cervaria, Toute bonne


Précautions

néant, inconnus ou indéterminés.

Usages médicinaux : Parties utilisables : les feuilles, les graines, les racines. La racine contient une huile essentielle appelée "huile de benjoin français", qui rappelle l'angélique.
Propriétés : les peucédans sont diurétiques, stomachiques et antiscorbutiques.
Utilisation : infusion de feuilles et racines (de 15 à 30g/l)µ{{{87µ.


Peucedanum gallicum, Peucédan parisien


Précautions

ATTENTION : bien qu'aucune mention de la toxicité n'ait été vu pour cette espèce, le contact cutané avec la sève d'un certain nombre de membres de ce genre est dit provoquer une photo-sensibilité et/ou une dermatite chez certaines personnes ; ils sont également dits contenir la prétendue "'psychotrope" myristicineµ{{{(dp*)(5(+))µ.

Usages médicinaux : Parties utilisables : les feuilles, les graines, les racines. La racine contient une huile essentielle appelée "huile de benjoin français", qui rappelle l'angélique.
Propriétés : les peucédans sont diurétiques, stomachiques et antiscorbutiques.
Utilisation : infusion de feuilles et racines (de 15 à 30g/l)µ{{{87µ.


Peucedanum officinale, Fenouil de porc


Précautions

(1*)ATTENTION : le contact cutané avec la sève de cette plante est dit provoquer une photo-sensibilité et/ou une dermatite chez certaines personnes ; il est également indiqué contenir le prétendu "psychotrope" myristicineµ{{{5(+)µ.

Usages médicinaux : Parties utilisables : les feuilles, les graines, les racines. La racine contient une huile essentielle appelée "huile de benjoin français", qui rappelle l'angélique.
Propriétés : les peucédans sont diurétiques, stomachiques et antiscorbutiques.
Utilisation : infusion de feuilles et racines (de 15 à 30g/l)µ{{{87µ.


Peucedanum ostruthium, Impératoire

legume-feuille (laitue)legume-racine (carotte)

Note : **

Détails : Feuilles, racines. Feuilles consommées localement comme légume (potherbe). Racines utilisées dans la préparation du gin et du fromage (comme aromatisant), en Suisse.(1*)


Précautions

(1*)ATTENTION : Le contact cutané avec la sève de cette plante est dit provoquer une photo-sensibilité et/ou une dermatite chez certaines personnes ; il est également indiqué contenir le prétendu "psychotrope" myristicineµ{{{5(+)µ.

Note médicinale : **

Usages médicinaux : Parties utilisables : les feuilles, les graines, les racines. La racine contient une huile essentielle appelée "huile de benjoin français", qui rappelle l'angélique.
Propriétés : les peucédans sont diurétiques, stomachiques et antiscorbutiques.
Utilisation : infusion de feuilles et racines (de 15 à 30g/l)µ{{{{87µ.


Peucedanum palustre, Persil des marais

legume-racine (carotte)

Note : *

Détails : Racines, épice. Racines utilisées comme condiment (substitut de gingembre), localement.


Précautions

ATTENTION : bien qu'aucune mention de la toxicité n'ait été vu pour cette espèce, le contact cutané avec la sève d'un certain nombre de membres de ce genre est dit provoquer une photo-sensibilité et/ou une dermatite chez certaines personnes ; ils sont également dits contenir la prétendue "'psychotrope" myristicineµ{{{5(+)µ.

Note médicinale : *

Usages médicinaux : Parties utilisables : les feuilles, les graines, les racines. La racine contient une huile essentielle appelée "huile de benjoin français", qui rappelle l'angélique.
Propriétés : les peucédans sont diurétiques, stomachiques et antiscorbutiques.
Utilisation : infusion de feuilles et racines (de 15 à 30g/l)µ{{{87µ.


Peucedanum pubescens,
legume-feuille (laitue)


Précautions

néant, inconnus ou indéterminés.

R

Ribes nigrum, Cassissier d'europe

legume-fruit (tomate)legume-feuille (laitue)

Note : *****

Détails : Partie(s) comestible(s) : fruit, feuilles - thé.

Utilisation(s)/usage(s) culinaire(s) :

-les fruits sont utilisés pour les confitures et boissons ; ils peuvent également être utilisés dans les sauces et les tartes ; les fruits sont utilisés pour faire du vin ;

-les bourgeons sont utilisés pour l'aromatisation ;

-les feuilles fraîches sont consommées en soupes ; elles sont également utilisées comme épice dans la choucroute ;

-les fleurs sont utilisées dans la crème glacée et les liqueurs ;

-les graines sont la source d'une huile à haute teneur en oméga-6 utilisée dans les vinaigrettes ; elle est uniquement utilisée comme complément alimentaire.


Précautions

néant, inconnus ou indéterminés.

Note médicinale : ***

Usages médicinaux : Le cassis aurait des propriétés anti-inflammatoires en stimulant les cortico-surrénales et en inhibant le processus des inflammations, notamment sur les cellules mises en action par le système immunitaire lors des réactions inflammatoires. Il permet donc de lutter efficacement contre les douleurs de l'arthrose, mais surtout en traitement préventif pour limiter l'usure du cartilage.

Le cassis est un concentré de principes actifs :

anti-oxydant connu pour son activité apaisante au niveau des articulations.
calcium (60 mg pour 100 g) qui contribue aussi à la santé des os.
fer et vitamine C (il contient deux fois plus de vitamine C que le kiwi et trois fois plus que l?orange), qui en font un excellent fortifiant anti-fatigue et anti-infectieux.
Il favorise l?élimination de l'acide urique. Il est donc conseillé pour soulager les rhumatismes, la goutte, et l?arthrose, on trouve dans le commerce des préparations à base de bourgeons et d'« harpagophytum ».
C'est un anti-diarrhéique indiqué en cas de dysenterie.
Diurétique et dépuratif puissant, il stimule la fonction hépatique et la fonction rénale. Il est recommandé en cas d?obésité.
Il est bénéfique dans le cadre de troubles circulatoires et d?hypertension.
C'est un cicatrisant efficace, il accélère la guérison des plaies, des furoncles, des abcès et des piqûres d'insectes (application externe).

Ses feuilles sont très utilisées en herboristerie, séchées et finement broyées, pour leurs propriétés antirhumatismales. C'est le bourgeon qui contient le plus de principes actifs, offrant un volume de substances équivalente à la galénique SIPF. La macération de bourgeons utilisée en gemmothérapie agissent sur tous les paramètres de l'inflammationµ{{{wikiµ.


Rubus idaeus, Framboisier

legume-fruit (tomate)legume-fleurlegume-feuille (laitue)

Note : *****

Détails : Feuille (jeunes et/ou tendres/molles : fraîches (crues/cuites (dont pousses = drageon)) ou séchées (tisanes) ; matures : tisanes, fruit (framboises (dont graines) : fraîches (crues) ou séchées) et fleur (décoratives) comestibles.



Fruits - crus ou cuits. Délicieux lorsqu'il est récolté et consommé sur place, le fruit est également utilisé dans les tartes, les conserves, etc...

Les fruits frais, les framboises, se consomment nature, au sucre, en salade de fruits, ou donnent lieu à des transformations en confiture, gelée, sirops, coulis, glace... Ils peuvent se congeler.

Ces fruits contiennent surtout du lévulose et du fructose, et très peu de saccharose. La framboise se démarque comme un des fruits les moins énergétiques tout étant riche en vitamine C et en potassium, calcium, magnésium et fer.



Racine - cuite. La racine, qui ne doit être ni trop jeune ni trop vieille, nécessite beaucoup d'ébullition.



Jeunes ou très jeunes feuilles crues/cuites (ex. : en salades ou comme potherbe) et/ou aromatisantes, ou utilisées en tisanes.

Jeunes pousses - pelées et consommées crues ou cuites comme des asperges. Elles sont récoltées à leur sortie de terre au printemps et alors qu'elles sont encore tendres. Une tisane est fabriquée à partir des feuilles séchées. Un autre rapport indique qu'un type de thé à base de feuilles de framboise et de mûre est un excellent substitut de café.


Précautions

néant, inconnus ou indéterminés.

Note médicinale : ***

Usages médicinaux : Antiémétique[13, 165]. Les feuilles et les racines sont anti-inflammatoires, astringentes, décongestionnantes, ophtalmiques, ocytociques et stimulantes [4, 13, 165, 222, 254]. Une tisane à base d'eux est utilisée dans le traitement de la diarrhée, comme tonique de l'utérus pour fortifier les femmes enceintes et comme aide à l'accouchement[4, 222, 257]. Le thé s'est également avéré efficace pour soulager les crampes menstruelles douloureuses [222]. Les principes actifs stimulent et détendent l'utérus[222]. Ils peuvent être utilisés au cours des trois derniers mois de la grossesse et lors de l'accouchement, mais ne doivent pas être utilisés plus tôt[238]. À l'extérieur, les feuilles et les racines sont utilisées en gargarisme pour traiter les amygdalites et les inflammations de la bouche, en cataplasme et en lavage pour traiter les plaies, la conjonctivite, les plaies mineures, les brûlures et les ulcères variqueux [238, 257]. Les feuilles sont récoltées en été et séchées pour une utilisation ultérieure[9]. Le fruit est antiscorbutique et diurétique[7]. Le jus de framboise frais, mélangé avec un peu de miel, fait une excellente boisson réfrigérante à prendre en cas de fièvre[21]. Transformé en sirop, il aurait un effet bénéfique sur le c?ur[21].

S

Sambucus nigra, Sureau noir

legume-fruit (tomate)legume-fleur

Note : ****

Détails : fleur (crues [salades (sans pédoncule)] et/ou aromatisantes [boissons, vinaigre, plats, desserts] ; dont bourgeons [cuits (confits)]), fruit (baies immatures (vertes) : confites (avec parcimonie)1 ; ou mûres et fraiches [crues (avec parcimonie)/cuites (jus/sirop : boissons, gelées, confitures, vinaigre)] ou séchées [crues (brutes) et/ou aromatisantes (condiment)]) comestibles.(1*)



fleurs - crues ou cuites ; fruits - cuits



La limonade de fleurs de sureau est une boisson très appréciée. Le sirop aussi. Les fleurs se cuisent en beignets.

Les boutons conservés dans le vinaigre peuvent accommoder des salades.

Les baies cuites parfument les gâteaux aux pommes et sont consommées en jus, en gelée et en confiture. On en fait aussi du vin. Enfin, elles sont utilisées comme colorant naturel, notamment pour les boissons et aliments.




Précautions

(1*)les baies vertes immatures (crues ou cuites), de même que les noires mûres (crues), sont toxiques et peuvent parfois causer des diarrhées et nausées ; il est donc fortement recommandé de n'en consommer, ainsi, que de petites quantitésµ{{{1µ. (irrégulièrement/ponctuellement ? (qp*))

Le sureau noir peut être confondu avec le Sureau hièble (Sambucus ebulus) dont les baies peuvent être très toxiquesµ{{{wikiµ.

Note médicinale : ***

Usages médicinaux : Le sureau noir fait partie à la pharmacopée traditionnelle, au moins dès l'Antiquité et y compris pour la médecine ayurvédique d'Inde.

Au Ier siècle de notre ère, Pline l'Ancien le recommandait contre les catarrhes et les excès de mucus, tout comme le médecin grec Galien au IIe siècle.

Les Amérindiens d'Amérique du Nord lui attribuaient les mêmes propriétés qu'au sureau blanc (Sambucus canadensis, dont la composition est semblable à celle de son cousin européen).

Dans diverses régions du monde, les fleurs du Sambucus nigra, en tisane, étaient utilisées ou le sont encore comme diaphorétique contre les refroidissements et la grippe. Les études de Caroline M, Camille N., Justine T. et Charline N. vont dans ce sens et ajoutent aux fleurs des propriétés antioxydantes aux fleurs, grâce à la présence de monomères d'anthocyane.

En France, une étude ethnobotanique a en 1984 porté sur les usages des plantes dans la vie quotidienne à Bagnes au début du XXe siècle. Le sureau (dont les noms patois de cette région étaient sy?u, sy?, s? ou s?u) était utilisé via ses fruits (en sirop), ses fleurs (en tisane et en inhalation contre le rhume et les refroidissements) ; il était dans cette région considéré comme « bon pour la circulation », et en particulier un mélange de Sureau et de Benoîte était utilisé en compresse pour soulager les varices.

En 1986, la Commission E, un organisme gouvernemental allemand, approuvait l'usage médicinal des fleurs de sureau pour le traitement du rhume. En 1999, l'organisation mondiale de la santé a reconnu les usages traditionnels des fleurs de sureau comme diaphorétique (qui provoque la sudation) et expectorant.

En 1995, un essai clinique à double insu avec placebo, mené dans un kibboutz israélien lors d'une épidémie de grippe, a conclu qu'un extrait de baies de sureau était nettement supérieur au placebo pour soulager les symptômes de la grippe : en deux jours, 93,3 % des sujets traités au sureau voyaient déjà un soulagement significatif de leurs symptômes, tandis qu'il a fallu six jours pour que 91,7 % des personnes sous placebo éprouvent une amélioration similaire.

En 2002, une étude de pharmacovigilance a porté sur 762 femmes enceintes ayant durant leur grossesse pris une préparation renfermant, entre autres plantes, des fleurs de sureau. Aucun effet tératogène ni embryotoxique n'a été observé.

Les fleurs contiennent des anthocyanes, des flavonoïdes, du mucilage, des tanins et une petite quantité d'huile essentielle très aromatique. Les fruits contiennent les mêmes flavonoïdes, des vitamines A, B et C.

A noter que chez l'espèce proche sambucus ebulus (dont les baies sont toxiques), les feuilles fraîches, toxiques car très riches en acide cyanhydrique, ont été utilisées en cataplasmesµ{{{wikiµ.


U

Urtica dioica, Ortie

legume-fruit (tomate)legume-fleurlegume-feuille (laitue)

Note : *****

Détails : Feuille (dont jeunes et/ou tendres pousses ; fraîches ou sèches ; saisies ou cuites), graines (mûres ou immatures ; aromatisantes (dont séchées ou rôties)) et fleur (bourgeons ; crus) comestibles. Les feuilles comme les fruits sont comestibles : ils peuvent être mangés crus, pliés ou roulés entre les doigts en boulette. Une fois secs, hachés ou cuits, ils perdent leur pouvoir urticant. Il est préférable toutefois de ne consommer que les jeunes plantes, car après floraison les feuilles contiennent d?abondantes concrétions minérales, les cystolithes, qui peuvent irriter les voies urinaires. Elles peuvent tout de même alors être préparées en tisane. Les jeunes feuilles peuvent être mangées crues (hachées en salade, dans un pesto, dans du beurre sur des canapés). Elles apportent alors une saveur fraîche et « verte », qui évoque crue le haricot vert et cuite l'épinard, saveur bien différente de celle des feuilles plus âgées, au goût plus fort et qui prennent en cuisant une odeur et un goût de poisson marqués, avec lesquelles on prépare une « brandade d'ortie ». Les jeunes feuilles d'ortie sont consommées plus fréquemment cuites, en légume dans de nombreuses préparations (soupes, gratins, quiches, soufflés, potées) à la façon des épinards. Elles sont également employées dans des desserts (tarte, sorbet). Moins connues, il existe aussi une recette d'escargots aux orties et de la bière d'ortie. Autrefois considérée comme un « plat de pauvre », l'ortie était dans la plupart des recettes associée aux pommes de terre. Les feuilles d'orties contiennent des protéines foliaires en bonne quantité (7,37 g pour 100 g de feuilles), une grande quantité de fer (4,1 mg pour 100 g, plus que la viande) et du zinc. On peut manger tel quel les fleurs, les femelles étant plus goûteuses car plus charnues, ou les mettre dans les plats. L'ortie est cultivée à des fins alimentaires pour ensuite être vendue dans les magasins d'alimentation bio, par exemple sous forme de potage en sachet déshydraté.(1*)



Les jeunes feuilles sont cuites comme herbe potagère (légume-feuille / légume vert, à la manière des épinards) et ajoutées aux soupes etc .. ; elles peuvent également être séchées pour l'hiver ; les orties sont un complément très précieux pour l'alimentation ; ils sont un aliment très nutritif qui est facilement digéré et est riche en minéraux (surtout le fer) et vitamines (surtout A et C) ; les jeunes pousses, récoltées au printemps, lorsqu'elles mesurent 15 - 20 cm de haut en plus de la tige souterraine sont très agréables. Les plantes sont récoltées commercialement pour l'extraction de la chlorophylle, qui est utilisée en tant qu'agent de coloration vert (E140) dans l'alimentation et la médecine ; un thé est fait à partir des feuilles séchées, celui-ci réchauffe pendant les journées d'hivers ; la saveur est fade, il peut être ajouté comme tonique au thé de Chine. Le jus des feuilles, ou une décoction de la plante, peut être utilisé comme un substitut de présure dans le caillage de laits végétaux (agent de coagulation/caillage / caille-lait). Une bière d'ortie est brassée à partir des jeunes pousses.


Précautions

(1*)ATTENTION : les feuilles des plantes ont des poils urticants, provoquant une irritation de la peau ; cette action est neutralisée par la chaleur (cuisson) ou par un séchage complet, de sorte que les feuilles cuites sont parfaitement saines (propres à la consommation) et nutritives ; toutefois, seules les jeunes feuilles doivent être utilisées parce que les feuilles plus âgées développent des particules granuleuses appelés cystolithes qui agissent comme un irritant pour les reins ; les vieilles feuilles peuvent être laxatives ; n'utiliser que de jeunes feuilles et porter des gants robustes lors de leur récolte pour éviter d'être piqué . Interférences/intéractions possibles avec certains médicaments. Éviter pendant la grossesseµ{{{5(+)µ. Voir lien "PFAF" ("5"), pour plus d'informationsµ{{{5(+)µ.

Note médicinale : *****

V

Vaccinium myrtillus Myrtillier

legume-fruit (tomate)legume-fleur

Note : ****

Détails : fleur (tisaness), feuille (indéterminé) et fruit (frais (crus ou cuits) ou séchés (crus, tisanes (infusion)) comestibles.


Précautions

néant, inconnus ou indéterminés.

Note médicinale : ***



Dans "en savoir plus", je raconte les "dessous"...


A suivre !


Contact :

Patrick Le Ménahèze

Tel. : 07.69.99.25.77

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