Démarche de l'auteur (2012/2013) :
Fiabilité" de l'auteur (compétences) et de son étude (qualité).
l'auteur de cet ouvrage (projet d' index et fiches) n'a suivi aucun(e) apprentissage/stage/formation et ne possède aucun, dîplôme et/ou
validation d'acquis sur le sujet et
la botanique ni
l'agronomie en général ; ses seuls qualifications,
expériences et connaissances sont issues d'un baccalauréat scientifique, en partie composé des bases de
la biologie, ou science du vivant, ainsi que le programme éducatif général/classique
de l'époque (années 80/90) puis d'une
autodidaxie (recherches semi-personnelles, essentiellement via internet) ;
de plus, le but de son étude étant de répertorier les plantes comestibles tout en rendant ces connaissances accessibles à tous,
l'auteur s'est vu contraint de trouver un compromis entre science/
formalisation
(langage formel) et compréhensibilité (langage naturel et quelque peu informel),
selon une certaine "
rationalisation" (au sens large);
Argumentation et/ou démonstration par
l'entendement (recherche de saisie puis d'englobage du problème) - et/avec/dont
inférence - et
à partir d'une certaine (tentative?)
d'objectivité (en évitant
rhéthorique (belles phrases) et paralogisme (raisonnement faux)) :
son choix s'est porté vers une
logique
d'indexion complète/totale des plantes comestibles selon cette définition : plantes ayant été (et demeurant ou non) considérées comme source potentielle de
nourriture/alimentation/consommation pour l'homme - et ce quelque soit l'intérêt culinaire (gastronomique et/ou nutritif) - à la seule et stricte
condition qu'aucune des parties consommables n'ait été déclarée/reportée toxique "à risques" (ou toxique subaiguë à "aiguë/grave" = danger potentiel réel
à court terme (dès la première ingestion considérée comme consommation) mais également à long terme (toxique dès le début (dès la première ingestion considérée
comme consommation) mais visible/ressenti uniquement au bout d'un certain lapse de temps), par opposition à une toxicité demandant une consommation
excessive (ponctuelle et/ou prolongée/répétée) pour être dangereuse pour l'organisme)
pour toutes (ou malgré toutes) les conditions de préparation(s) connue(s).
En partant du principe que les connaissances toxicologiques et "alimentaires" (au sens de "comestibles") d'une plante sont en grande partie superposables
dans le temps et dans ce sens : lorsque l'on connait la comestibilité d'une plante on connait également très souvent la toxicité de la(des) partie concernée(s)
(voir même de certaines autres parties et/ou de la plante entière).
Et que, selon l'observation de
Paracelse, "Toutes les choses sont poison, et rien n’est sans poison",
autrement dit "tout excès (même d'une bonne chose) est mauvais" ; ce qui est important c'est donc de déterminer les conditions de cet excès : la(les)
poison(s)/toxine(s), sa(leur) concentration, la tranche (ou la limite) ainsi que tout(e) autre condition/évènement/facteur entrainant cet excès ; on pourrait
également faire le rapprochemennt entre cette tranche et les vertus/propriétés médicinales des plantes.
Bien sûr cela demande en parallèle une(des) étude/recherches sur
la toxicologie dont les toxines (et,
en moindre mesure,
poisons (par extrapolation)),
l'étiologie (ou étiopathogénie) et parfois même
l'écotoxicologie.
(procédant par méthodes
dialectiques (dont l'utilisation des blogs, forums et autres ressources de discutions
"interactives" rendues possibles et disponibles grâce à internet) et opérations cognitives (
cognition)
équivalentes (telles que l'abstraction des méthodes et habitudes courantes/traditionnelles
presque
inhérentes), pour et par l'emploi d'un raisonnement inverse (par élimination et/ou négation en prenant comme point de départ toutes les plantes
ayant été reportées consommées au moins une fois, pour terminer au point décrit plus haut) et/ou par l'absurde (
apagogie et ; en quelque sorte,
contraposition)
en partant du principe que toute plante "reportée consommée au moins une fois" est comestible tant qu'elle n'a pas été déclarée toxique "à risques"
pour toutes (ou malgré toutes) les conditions de préparation(s) connue(s) ; ce qui est distinct et voir donc même opposé du(au) raisonnement actuel qui a
tendance à imposer cette définition : qu'une plante est considérée comestible à condition qu'elle soit complètement dénuée de toxines (au moins dans sa(ses)
partie(s) dite(s) comestible(s)) et que ceci soit scientifiquement prouvé ; autrement dit "les plantes toxiques sont (copule) inconsomables (prédicat) or cette
plante (sujet) est (copule) toxique, donc cette plante est (copule) inconsomable" (syllogisme, raisonnement valide mais non concluant car la prémisse majeur
(la première donc) est erronée : les plantes peuvent à la fois être toxiques et comestibles/consomables)
Le but est donc également de "(ré)humaniser" les plantes comestibles en (re)plaçant le centre d'intéret correspondant de "plantes (décoratives) potentiellement
toxiques" à "plantes (potentiellement) utiles alimentairement parlant" et par extrapolation réhumaniser les sciences, la société et leurs philosophies, phsychologies
respectives (
épistémologie et/ou
gnoséologie) ancrées dans la peur "constante" de la mort et de l'inconnu au point de ne jamais faire
suffisamment confiance au savoir (remise en question permattente) ce qui est à mon avis un problème majeur car pour avancer harmonieusement il faut, paradoxalement,
faire confiance à ses connaissances pour pouvoir les remettre en cause.
Cela peut aussi servir de preuve que l'on peut encore actuellement (peut-être même plus que jamais, grâce à internet et l'informatisation) faire de grandes choses
en suivant un parcours complètement autodidacte ; l'essentiel est d'avoir envie (de le vouloir autant qu'on a envie de vivre) et de se sentir aimé.
Ce n'est pas pour remettre en cause l'intérêt de l'éducation qui demeure l'une des choses les plus belles et les plus importantes qu'ait jamais réalisé l'homme
mais c'est plutôt ; encore une fois, une manière de démontrer que la nouveauté naît bien souvent d'un environnement inhabituel, extérieur et que pour cela la différence
ne doit pas être rejetée/mise à l'écart.
Et finalement
le concept d'un genre de
paradigme (modèle
cohérent de
vision (manière de voir) et/ou de représentation des choses et/ou du monde)
idéaliste.
Ainsi les résultats sont actuellement - indivudellement parlant - insuffisamment
sourcés et/ou référencés et ne présentent
quasiment aucune citation (N.B. : ce n'est plus le cas depuis 2014) - sans compter le fait que certaines sources en question sont elles-mêmes peu vérifiables (sans pour autant manquer de
fondement et/ou de véracité/pertinence) -
ils ne doivent donc absolument pas, par conséquent, servir eux-même de
référence en la matière ;
Cependant, ayant pour priorité le respect des règles évidentes de sécurité (suivant en quelque sorte le principe de
"
notification"),
ces résultats peuvent néanmoins être apparentés à une (ou servir de) base/source/inspiration pour un projet
-et/ou des ouvrages/travaux- plus approfondis et/ou normalisés.
Enfin bien que réalisé avec passion et soin, cet index peut comporter des erreurs et sera toujours incomplet (une plante présente
dans cet index peut tout aussi bien être essentiellement comestible, que davantage toxique, et il en est de même pour toutes les plantes absentes/non répertoriées
dans celui-ci, à la différence que celles-ci peuvent aussi être très majoritairement toxiques, cf. liste de sites sur les toxines, poisons et toxicité en générale)
étant donné que la science des plantes comestibles est encore méconnue (voir même en est encore à ses balbutiements malgré les avancées scientifiques
notoires
dans le domaine de l'agronomie,
la biologie et des
sciences naturelles en général et autres disciplines étroitement liées à ce sujet) et que les recherches déjà entreprises (publiées ou non)
ne sont pas souvent -voir même rarement- évidentes à trouver ; il ne doit donc - en aucun cas - faire office de source/référence unique,
que ce soit pour un usage personnel ou qualifié (professionnel, associatif ou scientifique).
N.B. : la seconde phase de cette étude étant à présent de normaliser/formaliser ces informations, la recherche de sources et/ou références devient dès lors
prioritaire, nous sommes donc dès à présent ouverts à toute aide extérieur :
ressources.