Plantes "potagères" * :
encyclopédie(s) des plantes comestibles/alimentaires
et, dans une moindre mesure, "utiles" ;
sauvages à (perma)cultivées ;
annuelles à pérenn(isé)es
* Petite histoire et définition(s) : suite...
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on attribua, étymologiquement, l'adjectif "potager" aux plantes destinées au potage (cuits dans un pot : légumes, fruits, aromates, condiments, etc... ).
Les plantes potagères sont donc avant tout des plantes comestibles cultivées, essentiellement comme des herbacées annuelles, dans un lieu généralement clos et dont la surface varie d'une partie (parfois un simple carré) de jardin familial à un (ou plusieurs) champs communautaire(s), et ce dans le but de subvenir aux besoins alimentaires d'une famille ou d'un groupe.
Puis le terme "potager" engloba, peu à peu, à la fois ce lieu de culture et toutes les plantes dites "utiles" au jardin, à la maison et à l'homme en général, un peu à la manière d'un jardin de curé.
Mais l'industrialisation de notre société (et tout ce qui en découle) a relégué ce potager au (presque) dernier plan, le restreigant au simple lieu de culture des quelques légumes encore connus à la fin du siècle dernier ; ces mêmes légumes que l'on retrouvaient alors à perte de vue dans tous les marchés et supermarchés.
C'est à ce moment qu'il a failli disparaitre au profit du jardin d'agrément, des plantes décoratives (sans parler des artificielles !) et de leur paraître, seuls survivants, seul vestige de la nature dans nos maisons, nos jardins, nos rues, nos parcs (sans même évoquer la flore sauvage combattue sans relache à coups de pesticides) et jusque dans nos coeurs... Car les plantes potagères, devenues inutiles voir "contrariantes" (car possiblement toxiques d'une part et source de convoitise d'autre part) ont dès lors été purement et simplement interdites en public et/ou réglémentées au point d'être oubliées...
C'est grâce au combat de jardiniers, passionnés, semenciers, associations et amoureux de la nature (et du naturel), en général, que ces légumes oubliés refirent leur apparition au début du 21ème siècle, et c'est grâce à leur retour et à leur (re)découverte que le regard des personnes (comme moi) changea.
Les années se sont écoulées et le potager ne cesse de reprendre son importance légitime ; les quelques légumes qui se battaient en duel laissent de nouveau place aux multiples associations d'espèces et variétés aux saveurs, formes et couleurs plus surprenantes et plus merveilleuses les unes que les autres ; et toutes celles-ci, ainsi que leur connaissance, peuvent désormais être partagées de par le monde grâce à internet et aux sites d'échange, ce qui change tout !
Le potager est dès lors reparti d'où on l'avait abandonné et même au delà car on le respecte et le chérit lui et tout ce qu'il représente, jusqu'à redonner place aux auxiliaires et adventices...
Le Potager n'est plus seulement un lieu, il n'est maintenant plus que pour les annuelles comestibles, et n'est plus non plus que cultivé (une plante que l'on laisse se ressemer est-elle une plante sauvage ou cultivée ?); et cette signification, cette valeur est plus forte que jamais dans le coeur, l'esprit et l'âme de chaque individu qui a eu la chance et a pris le temps et le soin de cultiver cette diversité !
A l'heure actuelle, cette définition n'est (toujours ?) pas retenue alors en attendant que la langue francaise adopte un nom adéquate, j'ai décidé d'immortaliser ce concept à travers le Potager de mes Rêves dans lequel j'utilise ce sens large des plantes "potageres" : les comestibles* et, en moindre mesure*, les médicinales et utiles, sauvages et cultivées !
Cet oeuvre est donc en quelque sorte un dictionnaire ou une base de donnée encyclopédique (liste ordonnée/index, et fiches), non exhaustif (projet en cours de rédaction, de recherche et d'amélioration), des plantes vasculaires comestibles [(ayant été reportées/rapportées utilisées et/ou testées (ex : en laboratoires) et acceptées par l'homme comme source et/ou base (nouvelle et potentielle ou avérée) de consommation [nourriture et/ou boisson/breuvage et/ou assaisonnement]) et consommables à alimentaires, d'usage local et modéré à agricole intensif (mais également utiles et/ou ethnobotaniques, parfois usuelles, cf. annexe pour les non-comestibles et/ou toxiques), du monde (de tous continents et tous climats, à travers tous les peuples et tous les âges), sauvages à cultivées, classées par ordre alphabétique : nom d'espèce et certains synonymes - ou autre appellations - dont basionyme et homonyme(s)]...
...préface à la comestibiologie (ou comestibilogie ?) et la comestibotanique, mais aussi la comethnobiologie et la comethnobotanique.
* pour moi le plus important est la comestibilité, et plus particulièrement l'intérêt culinaire/alimentaire (nutritivité et/ou intérêt gastronomique = gastronomicité ?), car qui dit "comestible" dit nécessairement "médicinale" et "utile", étant donné que la première des médecines est l'alimentation variée et équilibrée (auxquelles j'ajouterais "naturelle et/ou respectueuse de la nature" et "agréable" voir "rafinée" -ou quelque chose comme çà- qualités jouant un rôle important sur le moral et donc la santé "mentale"), ce qui n'est pas forcément réciproque.
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on attribua, étymologiquement, l'adjectif "potager" aux plantes destinées au potage (cuits dans un pot : légumes, fruits, aromates, condiments, etc... ).
Les plantes potagères sont donc avant tout des plantes comestibles cultivées, essentiellement comme des herbacées annuelles, dans un lieu généralement clos et dont la surface varie d'une partie (parfois un simple carré) de jardin familial à un (ou plusieurs) champs communautaire(s), et ce dans le but de subvenir aux besoins alimentaires d'une famille ou d'un groupe.
Puis le terme "potager" engloba, peu à peu, à la fois ce lieu de culture et toutes les plantes dites "utiles" au jardin, à la maison et à l'homme en général, un peu à la manière d'un jardin de curé.
Mais l'industrialisation de notre société (et tout ce qui en découle) a relégué ce potager au (presque) dernier plan, le restreigant au simple lieu de culture des quelques légumes encore connus à la fin du siècle dernier ; ces mêmes légumes que l'on retrouvaient alors à perte de vue dans tous les marchés et supermarchés.
C'est à ce moment qu'il a failli disparaitre au profit du jardin d'agrément, des plantes décoratives (sans parler des artificielles !) et de leur paraître, seuls survivants, seul vestige de la nature dans nos maisons, nos jardins, nos rues, nos parcs (sans même évoquer la flore sauvage combattue sans relache à coups de pesticides) et jusque dans nos coeurs... Car les plantes potagères, devenues inutiles voir "contrariantes" (car possiblement toxiques d'une part et source de convoitise d'autre part) ont dès lors été purement et simplement interdites en public et/ou réglémentées au point d'être oubliées...
C'est grâce au combat de jardiniers, passionnés, semenciers, associations et amoureux de la nature (et du naturel), en général, que ces légumes oubliés refirent leur apparition au début du 21ème siècle, et c'est grâce à leur retour et à leur (re)découverte que le regard des personnes (comme moi) changea.
Les années se sont écoulées et le potager ne cesse de reprendre son importance légitime ; les quelques légumes qui se battaient en duel laissent de nouveau place aux multiples associations d'espèces et variétés aux saveurs, formes et couleurs plus surprenantes et plus merveilleuses les unes que les autres ; et toutes celles-ci, ainsi que leur connaissance, peuvent désormais être partagées de par le monde grâce à internet et aux sites d'échange, ce qui change tout !
Le potager est dès lors reparti d'où on l'avait abandonné et même au delà car on le respecte et le chérit lui et tout ce qu'il représente, jusqu'à redonner place aux auxiliaires et adventices...
Le Potager n'est plus seulement un lieu, il n'est maintenant plus que pour les annuelles comestibles, et n'est plus non plus que cultivé (une plante que l'on laisse se ressemer est-elle une plante sauvage ou cultivée ?); et cette signification, cette valeur est plus forte que jamais dans le coeur, l'esprit et l'âme de chaque individu qui a eu la chance et a pris le temps et le soin de cultiver cette diversité !
A l'heure actuelle, cette définition n'est (toujours ?) pas retenue alors en attendant que la langue francaise adopte un nom adéquate, j'ai décidé d'immortaliser ce concept à travers le Potager de mes Rêves dans lequel j'utilise ce sens large des plantes "potageres" : les comestibles* et, en moindre mesure*, les médicinales et utiles, sauvages et cultivées !
Cet oeuvre est donc en quelque sorte un dictionnaire ou une base de donnée encyclopédique (liste ordonnée/index, et fiches), non exhaustif (projet en cours de rédaction, de recherche et d'amélioration), des plantes vasculaires comestibles [(ayant été reportées/rapportées utilisées et/ou testées (ex : en laboratoires) et acceptées par l'homme comme source et/ou base (nouvelle et potentielle ou avérée) de consommation [nourriture et/ou boisson/breuvage et/ou assaisonnement]) et consommables à alimentaires, d'usage local et modéré à agricole intensif (mais également utiles et/ou ethnobotaniques, parfois usuelles, cf. annexe pour les non-comestibles et/ou toxiques), du monde (de tous continents et tous climats, à travers tous les peuples et tous les âges), sauvages à cultivées, classées par ordre alphabétique : nom d'espèce et certains synonymes - ou autre appellations - dont basionyme et homonyme(s)]...
...préface à la comestibiologie (ou comestibilogie ?) et la comestibotanique, mais aussi la comethnobiologie et la comethnobotanique.
* pour moi le plus important est la comestibilité, et plus particulièrement l'intérêt culinaire/alimentaire (nutritivité et/ou intérêt gastronomique = gastronomicité ?), car qui dit "comestible" dit nécessairement "médicinale" et "utile", étant donné que la première des médecines est l'alimentation variée et équilibrée (auxquelles j'ajouterais "naturelle et/ou respectueuse de la nature" et "agréable" voir "rafinée" -ou quelque chose comme çà- qualités jouant un rôle important sur le moral et donc la santé "mentale"), ce qui n'est pas forcément réciproque.
Sommaire
- Noms français Noms français(c'est à dire soit un nom usuel/vernaculaire - souvent issu d'une autre langue véhiculaire, parfois traduit ou francisé - , soit - pour les plus connus - un nom courant/commun/vulgaire, soit - dans le meilleur des cas - un nom normalisé équivalant, dans notre langue, au nom latin accepté)
-> liste simple (chargement instantané)
-> liste avec résumés et illustrations (chargement plus long)
- Noms latins Noms latins(botanique ou scientifique international : binominal/binomial/binôme linnéen, généralement accepté, issu d'une combinaison du genre et d'un autre mot (généralement déterminé à partir d'une caractéristique/particularité du taxon inférieur) permettant la désignation officielle internationale de l'espèce)
-> liste simple (chargement instantané)
-> liste avec résumés, sans illustrations
-> liste avec résumés et illustrations (chargement plus long)
(1) comportant au moins une partie consommable (avec ou sans condition, préparation, etc...).
(2) inconsommables ou dont les données sur la comestibilité sont insuffisantes.
(précautions à prendre concernant les plantes comestibles/alimentaires)
Un très grand nombre de plantes comestibles comportent également une ou plusieurs partie(s) toxique(s) pour les êtres vivants, les animaux vertébrés et l'homme (en particulier) ; si tel est le cas nous ajoutons une information sur cet élément dès lors qu'il présente un risque pour l'homme (cf. Précautions) et que nous en avons connaissance ; pour plus d'informations, cf. liste de sites sur les toxines, poisons et la toxicité en générale.
De plus, certaines parties comestibles peuvent également être toxique(s) sans préparation adéquate, et/ou consommées en excès (trop forte concentration ponctuelle et/ou absorption répétée et/ou prolongée), et ceci pour l'homme en général ou seulement pour les personnes plus ou moins "sensibles" telles que les femmes enceintes, les nourrissons, les enfants, certaines personnes plus ou moins fragilisées et/ou sous divers traitements médicaux/ médicamenteux, et/ou atteints d'allergie(s) ; dans ces cas, nous considérons la comestibilité comme "moyenne" ou "très moyenne" et ajoutons également une information sur cet élément (cf. Précautions ) dès lors que nous en avons connaissance.
En outre, nous considérons que certaines plantes ont une comestibilité incertaine (douteuse, prêtant à confusion) soit parce que un ou plusieurs cas d'intoxication (ou, plus précisément, intoxination) a (ont) été averré(s) par le passé sans que cela n'ait été (ou pu être) vérifié et/ou prouvé/démontré et/ou soit parce que plusieurs sources sérieuses émettent un (des) avis contradictoire(s).
Enfin certaines plantes parfaitement inoffensives peuvent devenir dangereuses lorsqu'elles poussent dans un certain environnement ; ceci peut être lié à une source de pollution environnante - en règle générale, éviter les cueillettes sauvages dans des (ou près de) lieux trop fréquentés - ou a la nature et aux composants du sol mais dans ce cas le risque (lié à la biologie) peut être connu et répertorié comme tel.
Dans tous les cas, il est indispensable pour notre santé, lorsque l'on souhaite goûter une nouvelle plante, et d'autant plus si on envisage une consommation régulière, de :
-se poser la question, avant même d'aller plus loin, du rapport intérêt (essentiellement nutrionnel, mais aussi culinaire/gastronomique) / toxicité (autrement dit : si il y a un risque connu, est-ce que la plante vaut le coup d'être mangée et, si oui, a quelle fréquence maximum et sous quelles conditions ?)
-s'assurer que celle-ci corresponde bien au nom (scientifique, français...), d'une part (attention aux homonymes), et aux photos et/ou descriptions, d'autre part ; en vérifiant sur différentes sources reconnues et/ou en se renseignant auprès d'une ou plusieurs personne(s) habilité(s) ; et, d'une manière générale, rechercher les plantes avec lesquelles une confusion serait possible (autrement dit : être sûr que la plante que l'on souhaite consommer est bien celle que l'on pense).
-vérifier également le(s) risque(s) du(s) à cette (ces) possible(s) confusion(s) et toxicité(s) correspondante(s) afin de déterminer le(s) danger(s) potentiellement encouru(s) et ce même si le second point est accompli et son résultat plutôt satisfaisant (autrement dit : savoir quels sont les empoisonnements desquels on pourrait être victime afin d'en informer les secours et/ou le centre anti-poison dans le cas où l'un d'entre eux se produirait).