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(encyclopédies secondaires, par catégories et/ou mot(s)-clef(s) ; plus de 200, au 19 Octobre 2024) :
- Plantes comestibles qui se pérennisent dans le Morbihan (depuis le début du réchauffement climatique)
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Plantes sauvages comestibles (et/ou alimentaires) *
* plantes pouvant pousser (se développer et se multiplier) spontanément (répertoriées à l'état sauvage)- En Europe
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Dans le Morbihan (56, Bretagne)
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Plantes comestibles
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- Comestibles : par noms français - par noms latins
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Algues
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par noms français - par noms latins
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Utilisation(s)/Usage(s) alimentaire(s)
- Légumes et plantes dont au moins une partie est utilisée comme légume
- Salades et plantes dont au moins une partie est utilisée comme salade et/ou en salades
- Potherbes et plantes utilisées comme potherbe (~~ épinard)
- Plantes à thés, tisanes et/ou infusions
- Plantes à café (substitut, ersatz et/ou succédané)
- Plantes à boissons/breuvages
- Plantes à épices, aromates et/ou condiments (et pour l'assaisonnement en général)
- Poivres
- Plantes à huile (oléagineux comestibles, sources de matière grasse type huile végétale de table et/ou de cuisson, graisse végétale, margarine, beurre...)
- Plantes à farine
- Plantes à fécule et/ou amidon
- Plantes agent de coagulation/caillage (caille-lait, substitut de présure)
- Plantes à marinades
- Plantes à graines germées comestibles
- Céréales
-
Parties comestibles (et/ou alimentaires)
- Plantes à semences comestibles et/ou alimentaires
- Plantes à fruits comestibles et/ou alimentaires
- Plantes à fleurs comestibles et/ou alimentaires
- Plantes à feuilles comestibles et/ou alimentaires
- Plantes à racines comestibles et/ou alimentaires
- Plantes à écorce(s) comestible(s) et/ou alimentaire(s)
- Plantes à sève, manne et/ou gomme comestible et/ou alimentaire
-
Livres
- Tous les légumes (de Victor Renaud, éditions Ulmer, 2003) / détails du livre
- Semences de Kokopelli (de Dominique Guillet, 6ème édition, 2007) / détails du livre
- Le Truffaut du Potager (collectif, éditions Larousse, 2010) / détails du livre
- Le potager d'un curieux / histoire, culture et usages de 250 plantes comestibles, peu connues ou inconnue (par Auguste Pailleux et Désiré Bois, 3ème édition de 1899) / détails du livre
- Sauvages & comestibles / herbes, fleurs et petites salades (de Marie-Claude Paume, éditions EDISUB, 2011) / détails du livre
- Le traité Rustica du potager (de Victor Renaud, Rustica, 2ème édition, 2007) / détails du livre
- Plantes sauvages comestibles (de S.G. Fleischhauer, J. Guthmann et R. Spiegelberger, éditions Ulmer, 2012) / détails du livre
- Herbier gourmand (de Marc Veyrat et François Couplan, éditions Hachette, 1997) /
détails du livre
- Plantes médicinales - mode d'emploi (de Olivier Escuder, éditions Ulmer, 2007) / détails du livre
-
L'essentiel des plantes comestibles et/ou alimentaires
- Principales plantes potagères
- Principales plantes alimentaires et/ou médicinales (espèces, par noms latins ; ppam)
- Principales plantes alimentaires et/ou médicinales (espèces, par noms français ; ppam1)
- Plantes cultivées par l'association (graines et plants en notre possession ; espèces)
- Plantes que l'association a déjà cultivées ou dont elle a déja tenté la culture (graines et plants qui ne sont plus en notre possession ; espèces)
- Autres plantes que nous aimerions cultiver (espèces)
- Fiches complémentaires (anciennes)
-
Tableaux
- Tableau des associations (compagnonnage)
- Principales plantes potagères (tableau récapitulatif)
- Potager perpétuel (espèces, par noms français ; pp)
- Principales plantes alimentaires et/ou médicinales (espèces, par noms latins ; ppam)
- Principales plantes alimentaires et/ou médicinales (espèces, par noms français ; ppam1)
- Plantes cultivées par l'association (graines et plants en notre possession ; espèces et plus, par noms latins ; ppamx)
- Plantes cultivées par l'association (graines et plants en notre possession ; espèces et plus, par noms français ; ppam1x)
- Plantes à partager (espèces et plus, par noms latins ; pav2)
- Plantes à partager (espèces et plus, par noms français ; pav)
- Autres : Base de données (extraits -> Archives)
- Tableau des associations (compagnonnage)
- Principales plantes potagères
-
Utilisation(s)/Usage(s) médicinal(e)(s)/médicinaux
- Abortif
- Altératif
- Analgésique
- Antalgique
- Antibiotique
- Antibactérien
- Antidiarrhéique
- Antidote
- Antifongique
- Antigrippal
- Anti-inflammatoire
- Antinévralgique
- Antiprotozoaire
- Antipyrétique
- Antirhumatismale
- Antiscorbique
- Antiseptique
- Antispasmodique
- Antisudorifique
- Antitussif
- Apéritif
- Aphrodisiaque
- Astringent
- Balsamique
- Cardiotonique
- Carminatif
- Céphalique
- Cholagogue
- Cholécystokinétique
- Cholérétique
- Cicatrisant
- Dépuratif
- Dermatologique
- Détersif
- Diaphorétique
- Digestif
- Diurétique
- Émétique (vomitif)
- Emollient
- Emménagogue
- Excitant
- Expectorant
- Fluidifiant bronchique
- Fluidifiant sanguin
- Fortifiant
- Galactostatique
- Galactogène
- Hémostatique
- Hypertensif
- Hypnotique
- Hypocholestérolémiant
- Hypoglycémiant
- Hypotensif
- Laxatif
- Ocytocique
- Ophtalmique
- Pectoral
- Purgatif
- Purificateur de sang
- Rafraichissant
- Reminéralisant
- Sédatif (calmant)
- Stimulant
- Stomachique
- Sudorifique
- Tonique
- Vasodilatateur
- Veinotonique
- Vermifuge
- Vulnéraire
- Plantes pouvant être mortellement toxiques (létales, venimeuses) - POISON
- Risques de confusion
- Plantes psychotropes
-
Plantes comestibles pour les animaux (listes non exhaustives)
-
Gerbilles
- Listes des plantes comestibles pour les gerbilles
- Liste des plantes comestibles pour les gerbilles, répertoriées dans la base de données du Potager de mes/nos Rêves
- Autres plantes comestibles pour les gerbilles (liste non exhaustive)
- Précisions et interrogations
- Annexes (autres aliments comestibles et liste des aliments toxiques)
- Listes des plantes comestibles pour les gerbilles
-
Hamsters
- Listes des plantes comestibles pour les hamsters
- Liste des plantes comestibles pour les hamsters, répertoriées dans la base de données du Potager de mes/nos Rêves
- Autres plantes comestibles pour les hamsters (liste non exhaustive)
- Précisions et interrogations
- Annexes (autres aliments comestibles et liste des aliments toxiques)
- Listes des plantes comestibles pour les hamsters
- Liste commune aux gerbilles et hamsters
- Autres animaux
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Encyclopédie(s) principale(s) :
Plantes comestibles/alimentaires et, dans une moindre mesure, "utiles" ;
sauvages à (perma)cultivées ; annuelles à pérenn(isé)es
(plantes "potagères"*, par noms français courant ou noms latins/botaniques)
* plantes "potagères" au sens (très) large du terme (voir explication détaillée sur la page concernée).
Classification :

Laxatif
(61 espèces - liste non exhaustive)A
Abutilon theophrasti, Abutilon d'avicenneSynonymes : Abutilon avicennae Gaertn. 1791, Sida tiliifolia Fisch.1808

Note : ***
Détails : Fruit (immatures (verts) : crus ; dont graines : immatures [crues] ou matures : séchées [farines] ; dont extrait [huile]) comestibles.
Fruits (jeunes gousses) et graines comestibles (crus ou cuits) :
-Les graines immatures sont consommées crues ou cuites ;
-Les graines mûres sont broyées en farine et utilisées dans les soupes et le pain ;
-Les vieilles graines sont lavées pour enlever le goût amer puis séchées au soleil et transformées en farine.
La graine contient environ 17,4 % de protéines, 16 % de matières grasses, 33,8 % de glucides et 4,4 % de cendres.

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : **
Usages médicinaux : Ophtalmique. Utilisé dans le traitement de la dysenterie et de l'opacité de la cornée[145, 178]. Les feuilles contiennent 0,01 % de rutine et sont utilisées comme adoucissant[240]. Un thé à base de feuilles séchées est utilisé dans le traitement de la dysenterie et des fièvres[222]. Un cataplasme de feuilles est appliqué sur les ulcères[222]. L'écorce est astringente et diurétique[240]. Un thé à base de racine séchée est utilisé dans le traitement de la dysenterie et de l'incontinence urinaire[222]. Il est également utilisé pour traiter les fièvres[240]. La graine est réduite en poudre et consommée dans le traitement de la dysenterie, des maux d'estomac, etc.[222]. Il est adoucissant, diurétique, émollient, laxatif et stomacal[218].{{{5(+)µ (traduction automatique).
Original : Ophthalmic. Used in the treatment of dysentery and opacity of the cornea[145, 178]. The leaves contain 0.01% rutin and are used as a demulcent[240]. A tea made from the dried leaves is used in the treatment of dysentery and fevers[222]. A poultice of the leaves is applied to ulcers[222]. The bark is astringent and diuretic[240]. A tea made from the dried root is used in the treatment of dysentery and urinary incontinence[222]. It is also used to treat fevers[240]. The seed is powdered and eaten in the treatment of dysentery, stomach-aches etc[222]. It is demulcent, diuretic, emollient, laxative and stomachic[218]{{{5(+).
Aloe arborescens, Aloe candélabre
Synonymes : Aloe arborea Medik., Aloe frutescens Salm-Dyck, Aloe fruticosa Lam., Aloe fulgens Tod., Aloe mutabilis Pillans 1933 (selon PFAF, non accepté selon TPL), Aloe perfoliata var. arborescens (Mill.) Aiton 1789
Rusticité (résistance face au froid/gel) : -4/-5/-6 °C (-2°C), zone 10-11

Note : **
Détails : Fleur (extraitµ~~12 fleursµ : nectar) comestible.(1*)
La plante serait également utilisée comme aliment de santé (nourriture/aliment et boisson/breuvage).

(1*) La sève des espèces du genre Aloe contient des anthraquinones ; ces composés ont plusieurs actions médicinales bénéfiques, notamment en tant que laxatif, et de nombreuses espèces d'Aloe sont ainsi employées en médecine traditionnelle ; bien que sans danger à petites doses et pendant de courtes périodes, les anthraquinones présentent des problèmes potentiels si elles sont utilisées en excès ; ceux-ci incluent la congestion et l'irritation des organes pelviens ; l'utilisation à long terme de laxatifs anthraquinoniques peut également jouer un rôle dans le développement du cancer colorectal car ils ont un potentiel génotoxique et un potentiel tumorigène {{{5(+) . Voir genre Aloe pour les précautions à prendre (possible toxicité de la sève à fortes doses) {{{(rp*) .
Note médicinale : *****
Usages médicinaux : Cette espèce est l'une des principales sources d'aloès à usage médicinal - les préparations qui en sont issues sont vendues en vente libre pour accélérer la sécrétion gastrique, comme purgatif et à usage dermatologique [299]. En Équateur, où la plante est cultivée, elle est considérée comme le premier traitement pour tout type d'éraflure, de morsure ou de brûlure et est utilisée dans les hôpitaux comme traitement primaire des brûlures jusqu'au troisième degré [372]. L'attention mondiale a été attirée sur la valeur possible du gel préparé à partir de cette espèce et d'autres espèces d'Aloe après la Seconde Guerre mondiale, lorsque les brûlures cutanées des victimes des bombes nucléaires sur le Japon ont été traitées avec succès [299]. Le gel de cette espèce contient des concentrations beaucoup plus élevées des composés primaires présents dans d'autres aloès, et cette concentration plus élevée est responsable de l'action plus rapide et plus efficace du gel contre les affections cutanées [372]. Comme dans la plupart des espèces d'Aloe, l'exsudat foliaire de cette espèce contient des dérivés d'anthraquinone tels que l'aloïne et les hydroxyaloïnes [299]. Bien que l'aloïne soit inactive comme laxatif, elle est activée dans le tube digestif par l'espèce Eubacterium en composé aloe-émodine anthrone, qui est un laxatif efficace [299]. Bien que certaines observations indiquent que dans la diarrhée induite par l'aloïne, l'augmentation de la teneur en eau pourrait être plus importante que le péristaltisme stimulé, les effets secondaires d'une utilisation prolongée indiquent un effet de préhension sur le côlon. Par conséquent, l'aloïne doit de préférence être administrée en association avec un antispasmodique pour modérer son action de préhension [299]. Dans tout les cas, Les laxatifs anthraquinoniques ne doivent pas être utilisés pendant plus de 8 à 10 jours, ni par des enfants de moins de 12 ans. Les contre-indications comprennent également la grossesse, l'allaitement, les inflammations intestinales et les hémorroïdes [299]. Les effets secondaires possibles de l'aloïne comprennent la congestion et l'irritation des organes pelviens. Les laxatifs anthraquinoniques peuvent jouer un rôle dans le développement du cancer colorectal car ils ont un potentiel génotoxique et également un potentiel tumorigène chez les rongeurs [299]. Il a été affirmé que l'aloïne est également responsable de l'activité antihistaminique et anti-inflammatoire [299]. L'aloïne et l'aloérésine B ont une activité blanchissante pour la peau [299]. Le gel contient des polysaccharides et des glycoprotéines. Outre le mannane et le glucomannane, l'arboran A et l'arboran B ont été identifiés, qui ont des effets hypoglycémiants. La relation structure-fonction des polysaccharides de gel de différentes espèces d'Aloe fait encore l'objet de recherches. On pense que l'activité biologique est, au moins en partie, due aux effets immunomodulateurs de ces polysaccharides [299]. L'épiderme des feuilles contient des lectines (aloctine A et aloctine B) qui inhibent la croissance du fibrosarcome chez les animaux. La poudre de feuilles a montré des effets protecteurs contre la carcinogenèse humaine [299]. En 2002, la Food and Drug Administration des États-Unis a retiré le «généralement reconnu comme sûr et efficace (GRASE)». statut des médicaments en vente libre basé sur les exsudats d'aloès [299]. Le gel d'Aloe arborescens agit comme un synergiste du sulfate de néomycine dans les gouttes oculaires; ils sont utiles dans le traitement de l'inflammation et des infections oculaires [299]. Les feuilles lyophilisées ont montré une inhibition de croissance de 70% de Trichophyton mentagrophytes (l'un des champignons responsables du pied d'athlète chez l'homme) [299]. Une décoction de feuilles est administrée aux femmes pour faciliter l'accouchement [299]. Les feuilles sont consommées comme légume comme traitement de la constipation [299]. Les feuilles fraîches fendues ou écrasées sont largement utilisées pour traiter les brûlures et les plaies [299].{{{5(+)µ (traduction automatique).
Original : This species is one of the main sources of Aloe for medicinal use - preparations made from it are sold as over-the-counter drugs for the acceleration of gastric secretion, as a purgative and for dermatological use[ 299 ]. In Ecuador, where the plant is cultivated, it is considered the first treatment for any type of scratch, bite, or burn, and is used in hospitals as a primary treatment for burns up to the third degree[ 372 ]. Worldwide attention was drawn to the possible value of the gel prepared from this and other Aloe species after the second World War, when skin burns of victims of the nuclear bombs on Japan were successfully treated with it[ 299 ]. The gel of this species contains much higher concentrations of the primary compounds present in other aloes, and this higher concentration is responsible for the faster and more effective action of the gel against skin conditions[ 372 ]. As in most Aloe species, the leaf exudate of this species contains anthraquinone derivatives such as aloin and hydroxyaloins[ 299 ]. Although aloin is inactive as a laxative, it is activated in the digestive tract by Eubacterium species to the compound aloe-emodin anthrone, which is an effective laxative[ 299 ]. Although some observations indicate that in diarrhoea induced by aloin, increased water content might be more important than stimulated peristalsis, the side effects of prolonged use point to a griping effect on the colon. Therefore, aloin should preferably be administered in combination with an antispasmodic to moderate its griping action[ 299 ]. In any case, anthraquinone laxatives should not be used for longer than 8 - 10 days, or by children younger than 12 years. Contra-indications also include pregnancy, breastfeeding, intestinal inflammations and haemorrhoids[ 299 ]. Possible side effects of aloin include congestion and irritation of the pelvic organs. Anthraquinone laxatives may play a role in development of colorectal cancer as they have genotoxic potential and also tumorigenic potential in rodents[ 299 ]. It has been claimed that aloin is also responsible for antihistamine and anti-inflammatory activity[ 299 ]. Both aloin and aloeresin B have skin-whitening activity[ 299 ]. The gel contains polysaccharides and glycoproteins. Apart from mannan and glucomannan, arboran A and arboran B have been identified, which have hypoglycaemic effects. The structure-function relationship of polysaccharides from gel from different Aloe species is still subject to research. Biological activity is thought to be, at least partly, due to immunomodulating effects of these polysaccharides[ 299 ]. The leaf epidermis contains lectins (aloctin A and aloctin B) that inhibit the growth of fibrosarcoma in animals. The leaf powder showed protective effects against human carcinogenesis[ 299 ]. In 2002 the United States Food and Drug Administration withdrew the ?generally recognized as safe and effective (GRASE)? status for over-the-counter drugs based on aloe exudates[ 299 ]. Aloe arborescens gel works as a synergist of neomycin sulphate in eye drops; they are useful in the treatment of inflammation and infections of the eye[ 299 ]. Freeze-dried leaves have shown a 70% growth inhibition of Trichophyton mentagrophytes (one of the fungi causing athlete?s foot in humans)[ 299 ]. A leaf decoction is given to women to ease childbirth[ 299 ]. The leaves are eaten as a vegetable as a treatment for constipation[ 299 ]. The split or crushed fresh leaves are widely used to treat burns and wounds[ 299 ]{{{5(+).
Aloe vera, Aloe vera
Synonymes : Aloe barbadensis Mill. 1768, Aloe vulgaris Lam. 1783
Rusticité (résistance face au froid/gel) : zone 9-11


Note : *
Détails : Feuille (feuilles : cuites [nourriture/aliment de famine (aide alimentaire d'urgence) très amer] ; extrait feuilles : sève (gel mucilagineux|) [base (ingrédient) nourriture/aliment : gelées ; boissons/breuvages (complément alimentaire pour régime naturel, parfois mélangé à d'autres jus de fruits et extrait d'herbes) ; base boissons/breuvages (ingrédient) : jus ; et assaisonnement : aromate (condiment aromatique/aromatisant) (saveur amère, pour boissons/breuvages et bonbons)]) et fruit (graines) comestibles.(1*)

(1*)Pris par la bouche, l'aloès peut causer des crampes douloureuses dans le tractus gastro-intestinal et des diarrhées (réduire la dose) ; des éruptions cutanées se présentent avec l'utilisation à long terme ; rares effets indésirables au niveau du rythme cardiaque, des lésions rénales et de l'oedème ; l'utilisation à long terme peut entraîner une perte d'électrolytes (en particulier le potassium) et peut augmenter l'effet de médicaments qui agissent à cet effet sur le coeur (par exemple digoxine) {{{5(+) . La sève des espèces du genre Aloe contient des anthraquinones ; ces composés ont plusieurs actions médicinales bénéfiques, notamment en tant que laxatif, et de nombreuses espèces d'Aloe sont ainsi employées en médecine traditionnelle ; bien que sans danger à petites doses et pendant de courtes périodes, les anthraquinones présentent des problèmes potentiels si elles sont utilisées en excès ; ceux-ci incluent la congestion et l'irritation des organes pelviens ; l'utilisation à long terme de laxatifs anthraquinoniques peut également jouer un rôle dans le développement du cancer colorectal car ils ont un potentiel génotoxique et un potentiel tumorigène {{{5(+) . Voir genre Aloe pour les précautions à prendre (possible toxicité de la sève à fortes doses) {{{(rp*) .
Note médicinale : *****
Usages médicinaux : L'Aloe vera est une préparation à base de plantes assez connue avec une longue histoire d'utilisation. Il est largement utilisé dans la pratique moderne des plantes médicinales et est souvent disponible dans les préparations à base de plantes brevetées [K]. Il a deux types distincts d'utilisation médicinale. Le gel transparent contenu dans la feuille constitue un excellent traitement pour les plaies, brûlures et autres troubles cutanés, plaçant une couche protectrice sur la zone touchée, accélérant le taux de guérison et réduisant le risque d'infection [254] [K]. Cette action est en partie due à la présence d'aloectine B, qui stimule le système immunitaire [254]. Pour obtenir ce gel, les feuilles peuvent être coupées en deux sur leur longueur et la pulpe interne frottée sur la zone de peau affectée [K]. Cela a un effet apaisant immédiat sur toutes sortes de brûlures et autres problèmes de peau [K]. La deuxième utilisation provient de la sève jaune à la base de la feuille. Les feuilles sont coupées transversalement à leur base et le liquide qui s'échappe de cette coupe est séché [4]. Il est appelé aloès amer et contient des anthraquinones qui sont un stimulant digestif utile et un laxatif puissant [254]. Lorsque les plantes sont cultivées en pots, la teneur en anthraquinone est considérablement réduite [254]. La plante est emménagogue, émolliente, laxative, purgative, stimulante, gastrique, tonique, vermifuge et vulnéraire [4, 21, 46, 57, 61, 165, 176]. Les extraits de la plante ont une activité antibactérienne [218]. Outre son utilisation externe sur la peau, l'aloe vera (généralement les aloès amers) est également pris en interne dans le traitement de la constipation chronique, du manque d'appétit, des problèmes digestifs, etc. [238]. Il ne doit pas être administré aux femmes enceintes ou aux personnes atteintes d'hémorroïdes ou du syndrome du côlon irritable [238, 243]. La plante est fortement purgative, il faut donc faire très attention au dosage [238]. La plante est utilisée pour tester s'il y a du sang dans les selles [61]. Cette plante a une histoire populaire de traitement en cas de cancer [218]. Les monographies allemandes de la Commission E, un guide thérapeutique de la phytothérapie approuvent l'Aloe vera pour la constipation (voir [302] pour les critiques de la commission E). En médecine chinoise, il est utilisé pour les maladies fongiques. En médecine indienne, il est utilisé pour les tumeurs de l'estomac, la constipation, les coliques, les maladies de la peau, l'aménorrhée, les infestations de vers et les infections [301]. Constituants chimiques: ** Acides aminés: ** Isoleucine, leucine, lysine, méthionine, phénylalanine, thréonine, valine ** Anthraquinones: ** Aloe-émodine, acide aloétique, aloïne, anthracène, anthranol, barbaloïne, acide chryscophanoïque, émodine, ester d'acide cinnamique, d'huile éthérée, d'isobarbaloïne,{{{5(+)µ (traduction automatique).
Original : Aloe vera is a fairly well known herbal preparation with a long history of use. It is widely used in modern herbal practice and is often available in proprietary herbal preparations[K]. It has two distinct types of medicinal use. The clear gel contained within the leaf makes an excellent treatment for wounds, burns and other skin disorders, placing a protective coat over the affected area, speeding up the rate of healing and reducing the risk of infection[254] [K]. This action is in part due to the presence of aloectin B, which stimulates the immune system[254]. To obtain this gel, the leaves can be cut in half along their length and the inner pulp rubbed over the affected area of skin[K]. This has an immediate soothing effect on all sorts of burns and other skin problems[K]. The second use comes from the yellow sap at the base of the leaf. The leaves are cut transversally at their base and the liquid that exudes from this cut is dried[4]. It is called bitter aloes and contains anthraquinones which are a useful digestive stimulant and a strong laxative[254]. When plants are grown in pots the anthraquinone content is greatly reduced[254]. The plant is emmenagogue, emollient, laxative, purgative, stimulant, stomachic, tonic, vermifuge and vulnerary[4, 21, 46, 57, 61, 165, 176]. Extracts of the plant have antibacterial activity[218]. Apart from its external use on the skin, aloe vera (usually the bitter aloes) is also taken internally in the treatment of chronic constipation, poor appetite, digestive problems etc[238]. It should not be given to pregnant women or people with haemorrhoids or irritable bowel syndrome[238, 243]. The plant is strongly purgative so great care should be taken over the dosage[238]. The plant is used to test if there is blood in the faeces[61]. This plant has a folk history of treatment in cases of cancer[218]. The German Commission E Monographs, a therapeutic guide to herbal medicine approve Aloe vera for constipation (see [302] for critics of commission E). In Chinese medicine it is used for fungal diseases. In Indian medicine it is used for stomach tumours, constipation, colic, skin diseases, amenorrhoea, worm infestation and infections [301]. Chemical Constituents: **Amino acids:** Isoleucine, leucine, lysine, methionine, phenylalanine, threonine, valine **Anthraquinones:** Aloe-emodin, aloetic acid, aloin, anthracene, anthranol, barbaloin, chryscophanoic acid, emodin, ester of cinnamic acid, ethereal oil, isobarbaloin, resistannol **Enzymes:** Alkaline phosphatase, amylase, catalase, lipase, oxidase **Minerals:** Calcium, chromium, copper, magnesium, manganese, sodium, zinc **Prostanoids:** gamma-linolenic acid **Saccharides:** Aldopentose, cellulose, glucose, L-rhamnose, mannose **Vitamins:** Alpha-tocopherol, beta-carotene, choline, folic acid, vitamins B1, B2, B6, C, and E **Other:** Beta-sitosterol, cholesterol, gibberellin, lignins, salicylic acid, steroids, uric acid, triglycerides{{{5(+).
Althaea officinalis, Guimauve officinale
Synonymes : Althaea kragujevacensis Pancic 1874, Althaea sublobata, Althaea taurinensi, Althaea vulgaris, Malva officinalis
Rusticité (résistance face au froid/gel) : -25°C, zone 3-7



Note : *****
Détails : Racine (racines cuites [nourriture/aliment, salade ; et base boissons/breuvages : tisanes {infusion}]) comestible.
Feuilles - crues ou cuites ; elle sont utilisées comme plante potagère (potherbe) ou pour épaissir soupes ; lorsqu'elles sont utilisées en petites proportions avec d'autres feuilles , le goût et la texture sont acceptables , mais si un grand nombre de feuilles est cuit ensemble leur texture mucilagineuse les rend désagréable ; les feuilles peuvent être consommées crues , mais sont plutôt fibreuses et un peu poilues, bien que le goût soit doux et agréable ; nous avons trouvé qu'elles étaient tout à fait acceptables dans les salades lorqu'elles sont hachées finement. Racines - crues ou cuites ; lorsqu'elles sont bouillies puis frites avec des oignons , elles sont dites faire un plat savoureux qui est souvent utilisé en période de pénurie ; la racine est utilisée comme légume, elle est également séchée puis broyée en une poudre , transormée en pâte et rôtie de faire la douce « guimauve » (marshmallow, chamallow) ; la racine contient environ 37 % d'amidon , 11 % de mucilage , 11 % de pectine ; l' eau qui reste après la cuisson d'une partie de la plante peut être utilisée comme un substitut de blanc d'oeuf dans la fabrication de meringues etc... ; l'eau de la racine est la plus efficace ; elle est concentrée par ébullition jusqu'à ce qu'elle ait une consistance semblable à du blanc d'oeuf ; un thé est fait à partir des fleurs ; un thé peut également être réalisé à partir de la racine ; la racine de guimauve est également utilisée comme masticatoire.

ATTENTION : pas d'effets indésirables documentés, mais des rapports anecdotiques sur des réactions allergiques et baisse de glycémie {{{5(+) .
Note médicinale : *****
Usages médicinaux : La mauve des marais est une plante médicinale domestique très utile. Ses propriétés adoucissantes apaisantes le rendent très efficace dans le traitement des inflammations et des irritations des muqueuses telles que le tube digestif, les organes urinaires et respiratoires [4, 254]. La racine combat l'excès d'acide gastrique, l'ulcération gastro-duodénale et la gastrite [254]. Il est également appliqué à l'extérieur sur les ecchymoses, les entorses, les douleurs musculaires, les piqûres d'insectes, les inflammations cutanées, les éclats, etc. [4, 238]. La plante entière, mais surtout la racine, est antitussive, adoucissante, diurétique, très émolliente, légèrement laxative et odontalgique [4, 17, 21, 46, 165]. Une infusion de feuilles est utilisée pour traiter la cystite et les mictions fréquentes [254]. Les feuilles sont récoltées en août, lorsque la plante vient juste de fleurir et peuvent être séchées pour une utilisation ultérieure [4]. La racine peut être utilisée dans une pommade pour traiter les furoncles et les abcès [254]. La racine est mieux récoltée à l'automne, de préférence sur des plantes âgées de 2 ans, et est séchée pour une utilisation ultérieure [238]. Les monographies allemandes de la Commission E, un guide thérapeutique de la phytothérapie, approuvent Althaea officinalis Marsh Mallow pour l'irritation de la bouche et de la gorge et la toux sèche / bronchite associée (racine et feuille), une légère inflammation de la muqueuse de l'estomac (racine) (voir [302] pour les critiques de la commission E).{{{5(+)µ (traduction automatique).
Original : Marsh mallow is a very useful household medicinal herb. Its soothing demulcent properties make it very effective in treating inflammations and irritations of the mucous membranes such as the alimentary canal, the urinary and the respiratory organs[4, 254]. The root counters excess stomach acid, peptic ulceration and gastritis[254]. It is also applied externally to bruises, sprains, aching muscles, insect bites, skin inflammations, splinters etc[4, 238]. The whole plant, but especially the root, is antitussive, demulcent, diuretic, highly emollient, slightly laxative and odontalgic[4, 17, 21, 46, 165]. An infusion of the leaves is used to treat cystitis and frequent urination[254]. The leaves are harvested in August when the plant is just coming into flower and can be dried for later use[4]. The root can be used in an ointment for treating boils and abscesses[254]. The root is best harvested in the autumn, preferably from 2 year old plants, and is dried for later use[238]. The German Commission E Monographs, a therapeutic guide to herbal medicine, approve Althaea officinalis Marsh Mallow for irritation of mouth and throat and associated dry cough/bronchitis (Root and leaf), mild stomach lining inflammation (root) (see [302] for critics of commission E){{{5(+).
Angelica sinensis, Angélique de Chine
Synonymes : Angelica polymorpha sinensis
Rusticité (résistance face au froid/gel) : -5°C, zone 6-9


Détails : Partie(s) comestible(s) : feuilles, racines.
Utilisation(s)/usage(s) comestible(s) :
-les racines sont utilisées dans les soupes toniques, les vins et les porridges (bouillies) à base de riz ; elles sont également utilisés avec des plats de viande et de volaille.
-jeunes pousses cuites (ex. : comme potherbe) ? (qp*).

(1*)ATTENTION : tous les membres de ce genre contiennent des furocoumarines, qui augmentent la sensibilité de la peau aux rayons du soleil et peut provoquer une dermatite ; des doses élevées de plus de 500 mg par jour peuvent provoquer des ballonnements abdominaux et des changements de calendrier / débit menstruel ; des informations non prouvées suggèrent que cela peut affecter le rythme cardiaque et abaisser la tension artérielle, la prudence est de mise pour les diabétiques, les infections virales aiguës (par exemple la grippe) et les traitements avec des anticoagulants (par exemple la warfarine) {{{5(+) . Elle ne doit pas être donnée aux femmes enceintes {{{0(+x) .
Note médicinale : *****
Usages médicinaux : Dang Gui est une herbe chinoise bien connue qui est utilisée dans le traitement des maladies féminines depuis des milliers d'années. Sa réputation est peut-être la deuxième derrière le ginseng (Panax ginseng) et il est particulièrement connu pour ses effets «toniques sanguins» sur les femmes [218]. La racine a un arôme doux et piquant qui est très distinctif et elle est souvent utilisée en cuisine, ce qui est la meilleure façon de la prendre comme tonique sanguin [254]. Un rapport indique que la racine contient de la vitamine B12 et peut être utilisée dans le traitement de l'anémie pernicieuse [176]. La racine est altérative, analgésique, anticholestérolémique, anti-inflammatoire, antispasmodique, désobstruante, emménagogue, émolliente, hépatique, laxative, sédative et vasodilatatrice périphérique [165, 176, 218]. Il est couramment utilisé dans le traitement d'un large éventail de femmes. s plaintes où il régule le cycle menstruel et soulage les douleurs menstruelles [218, 238, 254] et aussi pour assurer une grossesse saine et un accouchement facile [218]. Cependant, des informations contradictoires suggèrent qu'il ne doit pas être utilisé pendant la grossesse [301] et ne doit pas être utilisé si le flux menstruel est abondant ou pendant les règles [301]. C'est un tonique idéal pour les femmes aux menstruations abondantes qui risquent de devenir anémiques [254]. Les éléments hydrosolubles et non volatils de la racine augmentent la contraction de l'utérus tandis que les éléments volatils peuvent détendre le muscle de l'utérus [176]. Son utilisation empêche la diminution du glycogène hépatique et protège le foie [176]. Utilisé pour les symptômes de la ménopause (bouffées de chaleur) [301]. Il a une action antibactérienne, inhibant la croissance de diverses bactéries dont Bacillus dysenteriae, Bacillus typhi, B. comma, B. cholerae et streptocoques hémolytiques [176]. La racine est un ingrédient de «Four Things Soup», le tonique féminin le plus utilisé en Chine [254]. Les autres espèces utilisées sont Rehmannia glutinosa, Ligusticum wallichii et Paeonia lactiflora [254]. La racine est récoltée en automne ou en hiver et séchée pour une utilisation ultérieure [254, 283]. Il a été utilisé pour traiter l'hypertension pulmonaire en association avec le médicament allopathique nifédipine [301]. D'autres utilisations comprennent: la constipation (un laxatif), les traumatismes, les ulcères, les rhumatismes et le paludisme [301].{{{5(+)µ (traduction automatique).
Original : Dang Gui is a well-known Chinese herb that has been used in the treatment of female ailments for thousands of years. Its reputation is perhaps second only to ginseng (Panax ginseng) and it is particularly noted for its 'blood tonic' effects on women[218]. The root has a sweet pungent aroma that is very distinctive and it is often used in cooking, which is the best way to take it as a blood tonic[254]. One report says that the root contains vitamin B12 and can be used in the treatment of pernicious anaemia[176]. The root is alterative, analgesic, anticholesterolemic, anti-inflammatory, antispasmodic, deobstruent, emmenagogue, emollient, hepatic, laxative, sedative and peripheral vasodilator[165, 176, 218]. It is commonly used in the treatment of a wide range of women's complaints where it regulates the menstrual cycle and relieves period pain[218, 238, 254] and also to ensure a healthy pregnancy and easy delivery[218]. However conflicting information suggests it should not be used during pregnancy [301] and should not be used if menstrual flow is heavy or during menstration [301]. It is an ideal tonic for women with heavy menstruation who risk becoming anaemic[254]. The water-soluble and non-volatile elements of the root increase the contraction of the uterus whilst the volatile elements can relax the muscle of the uterus[176]. Its use prevents the decrease of liver glycogen and protects the liver[176]. Used for menopausal symptoms (hot flushes) [301]. It has an antibacterial action, inhibiting the growth of various bacteria including Bacillus dysenteriae, Bacillus typhi, B. comma, B. cholerae and haemolytic streptococci[176]. The root is an ingredient of 'Four Things Soup', the most widely used woman's tonic in China[254]. The other species used are Rehmannia glutinosa, Ligusticum wallichii and Paeonia lactiflora[254]. The root is harvested in the autumn or winter and dried for later use[254, 283]. It has been used to treat pulmonary hypertension in combination with the allopathic medication nifedipine [301]. Other uses include: constipation (a laxative), trauma injuries, ulcers, rheumatism and malaria [301]{{{5(+).
Anogeissus leiocarpus, Bouleau d'Afrique

Note : **
Détails : Gomme.

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : ****
Usages médicinaux : L'écorce, les feuilles et les racines sont toutes utilisées en médecine traditionnelle, généralement sous forme de décoctions[299]. Elles ont une activité antimicrobienne et vermifuge et sont généralement prises en décoctions[299]. Des extraits de l'écorce de la tige et de la racine et des feuilles ont montré une activité antifongique contre un certain nombre de champignons pathogènes. Une activité antibactérienne modérée de l'écorce a également été démontrée[299]. Des extraits de la plante ont montré une activité in vitro contre des souches de Plasmodium falciparum résistantes à la chloroquine[299]. Une décoction de feuilles ou de rameaux feuillés est utilisée contre la fièvre jaune, la jaunisse, différents types d'hépatite, le rhume et les maux de tête. En externe, une décoction de feuilles est appliquée contre les hémorroïdes et les maladies de la peau. L'écorce de racine est considérée comme aphrodisiaque et stimulante[332]. Dans certaines régions, l'écorce est utilisée comme fébrifuge dans des lotions chaudes et des infusions[332]. L'écorce réduite en poudre et la décoction d'écorce sont utilisées en usage externe pour traiter les plaies, l'eczéma, le psoriasis, l'anthrax, les anthrax, les furoncles et plusieurs types d'ulcères. La décoction d'écorce est également connue comme tonique musculaire. Il a été démontré que l'écorce et la gomme qui en résulte préviennent et guérissent les caries dentaires et les maux de dents et sont couramment utilisées en Afrique[299]. La gomme obtenue à partir de l'écorce est laxative[332]. Elle peut être utilisée en pharmacie comme agent émulsifiant[332]. L'écorce elle-même est mâchée pour obtenir la gomme[332]. Les racines charnues sont utilisées contre les douleurs de l'accouchement[299]. Les racines réduites en pulpe sont appliquées sur les plaies pour favoriser la guérison et accélérer la cicatrisation des plaies[299 , 332]. Les graines ont une large activité bactéricide et fongicide chez les humains et les animaux[299] {{{5(+)
Anthyllis vulneraria, Anthyllide vulnéraire
Rusticité (résistance face au froid/gel) : zone 4-9

Note : *
Détails : Feuilles. Les jeunes feuilles sont cuites comme légume (ex. : comme potherbe).

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : **
B
Basella alba, BaselleSynonymes : Basella cordifolia Lam. 1785, Basella rubra L. 1753
Rusticité (résistance face au froid/gel) : zone 10


Note : ****
Détails : Feuille (feuilles cuites (bouillies) [nourriture/aliment : légume]) et fruit (fruits [colorant alimentaire]) comestible.
Aux Indes et en Amérique, on la cultive dans les jardins et l'on en mange les feuilles cuites (Brèdes), à la manière des épinards assaisonnées de diverses manières, et surtout épicées et pimentées, ce qu'on appelle alors Calalou-Baselle. Chaque pied peut fournir trois bons plats dans le cours de l'été.

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : **
Boerhavia diffusa, Ipecacuanha de Cayenne
Synonymes : Boerhavia paniculata Rich. 1792



Note : **
Détails : Feuilles, racines, fruits, graines, prudence, légumes. Les feuilles tendres sont consommées cuites comme légume (ex. : potherbe) ; les feuilles récoltées peuvent être stockés pendant 6-7 jours.
La racine pivotante charnue est cuite et mangée.
Les graines sont ajoutées aux céréales. Dans sa Flore phanérogamique des Antilles françaises, p. 481, le R. P. Duss, professeur au Collège de la Basse-Terre, décrit ainsi le Calalou : « On appelle Calalou un mets exquis préparé avec de la petite Valériane à feuilles argentées en dessous, vulgairement nommée Patagon (Boerhaavia paniculata), et de nombreux autres ingrédients (cf. Xanthosoma helleborifolium, pour la liste complète).(1*)

(1*)Attention : il peut causer de la diarrhée s'il est consommé en grandes quantités {{{0(+x)
Note médicinale : ****
Usages médicinaux : La berce du Caucase est utilisée en médecine traditionnelle dans plusieurs régions de son aire de répartition, mais elle est particulièrement populaire en Inde où elle fait partie de la tradition ayurvédique. On utilise toute la plante, y compris la racine, et on dit qu'elle est amère, diaphorétique, diurétique, émétique, expectorante, laxative et stomacale[46 , 304]. Des recherches ont montré la présence d'un alcaloïde, le bêta-sitostérol et de divers autres composés dans les racines[304]. Un extrait alcoolique de la plante entière a montré une activité anti-inflammatoire significative, un effet cardiotonique, une augmentation de la pression artérielle, un effet relaxant et une activité diurétique prometteuse[304]. La plante est émétique et purgative[348]. Elle est utilisée dans le traitement de diverses affections, notamment les troubles gastriques, l'asthme, la jaunisse, l'anascaris, l'anémie et l'inflammation interne[46 , 304 , 348]. Elle a également été utilisée comme antidote au venin de serpent[304]. Une décoction de feuilles est utilisée pour traiter la jaunisse[46 , 348]. Les feuilles sont utilisées en cataplasme pour traiter le foie induré[348]. La racine peut être utilisée comme substitut de l'ipéca (Carapichea ipecacuanha)[348]. Herbe antispasmodique, très astringente, diurétique, émétique, emménagogue, purgative et sudorifique, elle peut être utilisée en décoction pour traiter la dysenterie et toute une série d'autres affections[348]. Les racines bouillies sont appliquées sur les ulcères, les abcès et pour aider à l'extraction du ver de Guinée[299] {{{5(+)
C
Calotropis procera,
Pas d'illustration
pour le moment 😕
pour le moment 😕
Rusticité (résistance face au froid/gel) : zone 8-11



Note : *
Détails : -les pousses de fleurs sont consommées jeunes et crues ; -les feuilles sont parfois mangées ; les feuilles sont utilisées pour faire une boisson alcoolisée ; les feuilles ont été utilisées comme ingrédient de soupe dans les sauces

(1*)ATTENTION : le jus de la plante est toxique - il a été utilisé comme infanticide en Afrique ; l'écorce et le latex sont tous deux largement utilisés comme poisons de flèche et de lance ; le latex est cardiotoxique, l'ingrédient actif étant la calotropine {{{5(+) (toutes les parties de la plante sont toxiques si elles sont ingérées ; la manipulation de la plante peut provoquer une irritation cutanée ou une réaction allergique {{{5K) ).
Note médicinale : ***
Usages médicinaux : On a découvert que les composés dérivés de la plante avaient des propriétés émético-cathartiques et numériques. Les principaux composés actifs sont l'asclépine et la mudarine [303]. D'autres composés se sont avérés avoir des propriétés bactéricides et vermicides [303]. L'écorce de racine est un émétique [303]. Une infusion de poudre d'écorce est utilisée dans le traitement et la guérison de la lèpre et de l'éléphantiasis [46, 266, 303]. Il est déconseillé d'utiliser des écorces conservées plus d'un an [303]. Les racines extrêmement toxiques sont utilisées dans le traitement des morsures de serpent [303]. Les feuilles sont utilisées pour le traitement de l'asthme [266]. La sève laiteuse est utilisée comme rubéfiant et est également fortement purgative et caustique [303]. Le latex est utilisé pour traiter la teigne, les cloques du ver de Guinée, les piqûres de scorpion, les plaies vénériennes et les troubles ophtalmiques [303], il est également utilisé comme laxatif [303]. Son utilisation en Inde dans le traitement des maladies de la peau a provoqué une dermatite bulleuse sévère conduisant parfois à des cicatrices hypertrophiques [303]. L'effet local du latex sur la conjonctive est la congestion, l'épiphora et l'anesthésie locale [303]. Le latex contient une enzyme protéolytique appelée caloptropaïne [303]. La fleur est digestive et tonique [303]. Il est utilisé dans le traitement de l'asthme et du catarrhe [303]. Les brindilles sont utilisées pour la préparation de diurétiques, de toniques gastriques et d'antidiarrhétiques et pour l'asthme [303]. Également utilisé dans l'avortement, comme anthelminthique, pour les coliques, la toux, la coqueluche, la dysenterie, les maux de tête, le traitement des poux, la jaunisse, les douleurs des gencives et de la bouche, les maux de dents, la stérilité, les gonflements et les ulcères [303]. Son utilisation en Inde dans le traitement des maladies de la peau a provoqué une dermatite bulleuse sévère conduisant parfois à des cicatrices hypertrophiques [303]. L'effet local du latex sur la conjonctive est la congestion, l'épiphora et l'anesthésie locale [303]. Le latex contient une enzyme protéolytique appelée caloptropaïne [303]. La fleur est digestive et tonique [303]. Il est utilisé dans le traitement de l'asthme et du catarrhe [303]. Les brindilles sont utilisées pour la préparation de diurétiques, de toniques gastriques et d'antidiarrhétiques et pour l'asthme [303]. Également utilisé dans l'avortement, comme anthelminthique, pour les coliques, la toux, la coqueluche, la dysenterie, les maux de tête, le traitement des poux, la jaunisse, les douleurs des gencives et de la bouche, les maux de dents, la stérilité, les gonflements et les ulcères [303]. Son utilisation en Inde dans le traitement des maladies de la peau a provoqué une dermatite bulleuse sévère conduisant parfois à des cicatrices hypertrophiques [303]. L'effet local du latex sur la conjonctive est la congestion, l'épiphora et l'anesthésie locale [303]. Le latex contient une enzyme protéolytique appelée caloptropaïne [303]. La fleur est digestive et tonique [303]. Il est utilisé dans le traitement de l'asthme et du catarrhe [303]. Les brindilles sont utilisées pour la préparation de diurétiques, de toniques gastriques et d'antidiarrhétiques et pour l'asthme [303]. Également utilisé dans l'avortement, comme anthelminthique, pour les coliques, la toux, la coqueluche, la dysenterie, les maux de tête, le traitement des poux, la jaunisse, les douleurs des gencives et de la bouche, les maux de dents, la stérilité, les gonflements et les ulcères [303].
Cassia fistula, Baton casse
Rusticité (résistance face au froid/gel) : zone 9b/10



Note : *
Détails : Feuille, fleur, fruit (pulpe des gousses) comestibles.(1*)
Feuilles cuites (ex. : comme potherbe) ? (qp*).

(1*)La pulpe des gousses, bien que comestible, est également dite laxative{{{~ ~~27(+x) .
Note médicinale : ****
Usages médicinaux : Les gousses et les graines mûres sont largement utilisées en médecine traditionnelle et conventionnelle comme laxatif. L'écorce de la racine, les feuilles et les fleurs ont également des propriétés laxatives, mais dans une moindre mesure[299]. En médecine moderne, la pulpe du fruit est parfois utilisée comme laxatif doux en pédiatrie[299]. La pulpe du fruit et les feuilles sont riches en dérivés d'anthraquinone (environ 2 %) et en glycosides, qui sont responsables des propriétés laxatives[299]. La pulpe du fruit est riche en pectines et en mucilage[299]. Des tests in vitro et in vivo ont montré que la poudre de graines avait des propriétés amibicides et cysticides contre Entamoeba histolytica et qu'elle pouvait guérir l'amibiase intestinale de l'homme. La fraction aqueuse des gousses a produit une diminution significative de la glycémie[299]. Des extraits d'écorce aqueux et méthanoliques ont montré des activités antioxydantes et anti-inflammatoires significatives [299]. Un extrait alcoolique des feuilles a montré une activité antibactérienne in vivo contre Staphylococcus aureus et Pseudomonas aeruginosa, ainsi qu'une cicatrisation accélérée des plaies [299]. Un extrait aqueux des feuilles a montré une activité antifongique contre les agents pathogènes cutanés humains Trichophyton spp., Epidermatophyton floccosum et Microsporum ferruginum [299]. Les gousses sont utilisées comme remède contre le paludisme, l'empoisonnement du sang, l'anthrax, le diabète et la dysenterie [299]. Les gousses contiennent une pulpe sucrée et collante [307]. Une décoction de celle-ci est prise comme remède contre les calculs rénaux, comme vermifuge et comme laxatif [299]. La pulpe est extraite des gousses en les écrasant puis en les faisant bouillir dans de l'eau, après quoi la décoction est évaporée. On peut l'obtenir à partir de gousses fraîches en les ouvrant au niveau des sutures et en retirant la pulpe à l'aide d'une spatule[459]. La pulpe a tendance à devenir aigre si elle est longtemps exposée à l'air, ou à moisir si elle est conservée dans un endroit humide[459. L'écorce ou les feuilles sont largement appliquées sur les problèmes de peau[299. Les os cassés et les ulcères tropicaux sont bandés avec des raclures d'écorce et de la sève de feuille[299]. Le bois de cur est traditionnellement appliqué comme vermifuge[299]. Une décoction de racines est appliquée pour purifier les plaies et les ulcères[299]. En Inde, les racines sont utilisées pour traiter les fièvres[299]. La concentration de sennoside dans les feuilles de Cassia fistula est maximale peu après le début de la saison des pluies, lorsque de nouvelles feuilles sont apparues et que la floraison a commencé[299]. La teneur en sennosides des gousses est la plus élevée au milieu de la maturation des fruits, lorsque les gousses sont brun pâle[299] {{{5(+)
Cassia sieberiana, Casse du Sénégal
Rusticité (résistance face au froid/gel) : zone 10-12

Note : *
Détails : Partie comestible : feuilles, tiges ; l'extrait sucré des tiges est consommé ; des bâtonnets à mâcher peuvent également être fabriqués à partir de la partie boisée de la racine de la plante.

ATTENTION : les racines et les graines sont utilisées comme poison de poisson en Côte d'Ivoire et au Nigéria {{{5(+) .
Note médicinale : ****
Usages médicinaux : Les feuilles, les racines et les gousses sont largement utilisées en médecine traditionnelle [299]. Des recherches ont été menées sur les substances médicalement actives présentes dans la plante et plusieurs composés ont été identifiés, notamment l'oxalate de calcium, les flavones), une anthraquinone et des tanins [299]. L'action purgative de la plante peut être attribuée aux anthraquinones. Les flavones provoquent une diurèse et ont une activité antibactérienne et anti-inflammatoire. Un test d'activité antivirale contre le virus Herpes simplex de type 1 a montré que les extraits avaient une activité significative contre ce virus [299]. Les extraits de feuilles se sont révélés actifs contre Staphylococcus lutea, Mycobacterium phlei, Bacillus subtilis et Proteus sp., Mais pas contre Staphylococcus albus, Pseudomonas aeruginosa ou Escherichia coli [299]. La plante entière est purgative et diurétique. Une infusion est administrée contre toutes les maladies infantiles [299]. La poudre de différentes parties de la plante est appliquée sur les dents pour soigner les maux de dents; mélangé avec du beurre, il est utilisé pour traiter les maladies de la peau [299]. Une infusion de feuilles sucrées au miel se prend contre les maux d'estomac, les ulcères et la diarrhée [299]. Un bain de vapeur de brindilles feuillues bouillies dans de l'eau est prescrit pour lutter contre les attaques de paludisme et la fièvre; le liquide doit également être bu [299]. Les feuilles fraîches bouillies et pressées sont appliquées en cataplasme dans la pleurésie ou les brûlures [299]. La gonorrhée chez la femme est traitée en prenant de la poudre de feuilles avec de la nourriture [299]. Les brindilles sont utilisées pour traiter la maladie du sommeil [299]. Les racines, bouillies dans l'eau, sont utilisées pour traiter les hémorroïdes, la bilharziose, la lèpre, l'hydropisie et la dysenterie sanglante [299]. À fortes doses, il est utilisé pour traiter les vers intestinaux, y compris les ténias, bien que cela soit risqué [299]. On dit qu'une pincée de racines décortiquées séchées en poudre, prise à la fin de chaque repas, prévient le paludisme [299]. Après avoir trempé les racines dans l'eau, le liquide est utilisé pour un bain contre la fatigue et pour un massage corporel [299]. Les racines écrasées sont frottées sur les tempes pour traiter les maux de tête [299]. Une infusion d'écorce de racine est employée contre les maladies vénériennes, la stérilité et la dysménorrhée [299]. Les capsules faites à partir de l'écorce de racine sont prescrites contre le sida [299]. La pulpe jaune autour des graines et une infusion de gousses se prennent comme laxatif [299].
Cichorium intybus, Chicorée intybe



Note : ****
Détails : Feuille (de préférence jeunes et/ou tendres, ou saisies : crues ou cuites : dont tiges cuites), racine (cuites [légume], torréfées [café]) et fleur (décoratives [crues (salades, tartines), confites] comestibles.
Jeunes feuilles/tiges brutes/crues ; feuilles cuites comme potherbe.

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : ***
Convallaria majalis, Muguet
Synonymes : Convallaria bracteata, Convallaria fragrans, Convallaria latifolia, Polygonatum majale
Rusticité (résistance face au froid/gel) : {{{-20°C

Note : *
Détails : Un vin peut être préparé à partir des fleurs, mélangées à des raisins secs.(1*)

(1*)ATTENTION 0(+x) : Plante mortellement dangereuseµ{{{(dp*). Cette plante est très toxique {{{(dp*) ; elle contient des composés glycosidiques qui stimulent le rythme cardiaque {{{0(+x) . Toutes les parties de la plante sont toxiques ; toutefois, le principe toxique est très mal absorbé par voie orale si bien que l'intoxication est peu probable {{{5(+) .
Dans chacune des utilisations, il est très important de se souvenir que toutes les parties de la plante sont très toxiques. Le muguet est classé parmi les plantes à très haute toxicité, une ingestion d'une gorgée d'eau de muguet peut être fatale en quelques minutes. La plante contient des saponosides (à l'origine des irritations) et une vingtaine d'hétérosides cardiotoxiques (dangereux pour le cur) : convallatoxine, convallatoxol, convaloside
L'ingestion provoque des troubles digestifs constitués d'irritation de la bouche, de douleurs abdominales, de nausées, de vomissements, de diarrhées. Ensuite surviennent les troubles du rythme cardiaque accompagnés d'une accélération de la respiration. La mort est provoquée par arrêt cardiaque.
En cas d'ingestion appeler le centre antipoison le plus proche, le plus rapidement possible {{{wiki .
Note médicinale : ***
Usages médicinaux : Le muguet jouit d'une réputation de longue date en phytothérapie pour le traitement des affections cardiaques. Il contient les glycosides convallarine et convallamarine, puissants toniques cardiaques et diurétiques, également utilisés en médecine allopathique. Cependant, en raison de ses propriétés potentiellement toxiques, il ne faut jamais l'utiliser sans l'avis d'un spécialiste. Toutes les parties de la plante sont antispasmodiques, cardiotoniques, fortement diurétiques, émétiques, fébrifuges, laxatives et sédatives. La plante est généralement récoltée en fleur et peut être séchée pour une utilisation ultérieure, bien que son action soit plus forte fraîche. L'inflorescence est réputée pour être la plus active en médecine et est souvent récoltée séparément. Une infusion de fleurs et de racines est un substitut de la digitale (obtenu à partir d'espèces de Digitalis), bien que moins puissant, qui est particulièrement utile dans le traitement des valvulopathies, de la faiblesse cardiaque, de l'hydropisie et des problèmes pulmonaires chroniques tels que l'emphysème. Le muguet encourage le cur à battre plus lentement, plus régulièrement et plus efficacement, tout en étant fortement diurétique, réduisant le volume sanguin et abaissant la tension artérielle. Son effet est moins cumulatif que celui de la digitale, ce qui le rend plus sûr pour les patients âgés. Il est souvent prescrit en association avec les fruits de Crataegus spp. Une pommade à base de racines est utilisée dans le traitement des brûlures et pour prévenir les cicatrices. Les monographies de la Commission E allemande, un guide thérapeutique de la phytothérapie, approuvent Convallaria majalis : Muguet pour l'arythmie, l'insuffisance cardiaque et les troubles cardiaques nerveux {{{5(+)
Copaifera coriacea, Arbre sapucaia
Rusticité (résistance face au froid/gel) : zone 10-12

Note : **
Détails : La résine a été officiellement approuvée aux États-Unis comme additif alimentaire et est utilisée en petites quantités comme agent aromatisant dans les aliments et les boissons.

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : ****
Usages médicinaux : Copaiba-balsam, une oléo-résine huileuse obtenue à partir du tronc de l'arbre, a une très longue histoire d'utilisation médicinale. Il était largement utilisé par les peuples indigènes avant que les Européens n'atteignent l'Amérique du Sud et ces utilisations furent bientôt reprises par les Européens [317]. La résine est particulièrement appréciée pour sa capacité à contrer les muqueuses du thorax et du système génito-urinaire [254]. La résine est une herbe aromatique et stimulante au goût amer et brûlant [238]. Elle et l'écorce sont toutes deux anodynes, antiacides, antibactériennes, antifongiques, anti-inflammatoires, antimicrobiennes, astringentes, cytostatiques, adoucissantes, digestives, désinfectantes, diurétiques, expectorantes, légèrement laxatives, vermifuges et vulnérables [318]. La résine obtenue à partir du tronc contient un certain nombre de constituants médicalement actifs, dont 30 à 90% d'huiles essentielles et des tanins condensés inhabituels [238]. L'huile essentielle contient de l'alpha et du bêta-caryophyllène, des sesquiterpènes, des résines et des acides terpéniques [254]. Il améliore la digestion, a des effets diurétiques et expectorants et contrôle les infections bactériennes [238]. Une grande partie de la recherche clinique effectuée à ce jour a vérifié les utilisations traditionnelles du copaïba. Il s'est par exemple avéré très efficace en tant que cicatrisant topique et agent anti-inflammatoire [318]. L'effet anti-inflammatoire est principalement dû aux sesquiterpènes, en particulier le caryophyllène qui a également démontré des propriétés analgésiques efficaces, des propriétés antifongiques contre la mycose des ongles et des propriétés gastroprotectrices [318]. La résine dans son ensemble (et, en particulier, deux de ses diterpènes - l'acide copalique et l'acide kaurénique) a démontré une activité antimicrobienne significative contre les bactéries à Gram positif. Un des autres produits chimiques du copaïba, l'acide kaurénoïque, a également démontré une activité antibactérienne sélective contre les bactéries Gram-positives dans d'autres études récentes [318. D'autres constituants de la résine ont démontré une activité antitumorale significative [318]. La résine est prise en interne dans le traitement de divers problèmes respiratoires tels que la tuberculose, la bronchite et la sinusite; affections des voies urinaires et du système reproducteur telles que la cystite, les infections des reins et de la vessie, les écoulements vaginaux et la gonorrhée [238, 254]. Les ulcères d'estomac, le tétanos, l'herpès, la pleurésie et les hémorragies ne sont que quelques-unes des autres affections traitées avec la résine [318]. À l'extérieur, il est utilisé dans le traitement de divers problèmes de peau, notamment les piqûres d'insectes, l'eczéma, les engelures, les plaies et le psoriasis [238, 254. Il est également utilisé pour traiter les plaies et arrêter les saignements [318]. En tant que gargarisme antiseptique, il est utilisé pour traiter les maux de gorge et l'amygdalite [318]. La résine doit être utilisée avec précaution, voir les notes ci-dessus sur la toxicité [238]. La résine est taraudée à intervalles de l'arbre et les trous sont ensuite comblés [238]. Il est utilisé en infusion ou distillé pour son huile essentielle [238].
Copaifera guyanensis, Copahier de Guyane
Rusticité (résistance face au froid/gel) : zone 10-12

Note : **
Détails : La résine a été officiellement approuvée aux États-Unis comme additif alimentaire et est utilisée en petites quantités comme agent aromatisant dans les aliments et les boissons.

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : ****
Usages médicinaux : Copaiba-balsam, une oléo-résine huileuse obtenue à partir du tronc de l'arbre, a une très longue histoire d'utilisation médicinale. Il était largement utilisé par les peuples indigènes avant que les Européens n'atteignent l'Amérique du Sud et ces utilisations furent bientôt reprises par les Européens [317]. La résine est particulièrement appréciée pour sa capacité à contrer les muqueuses du thorax et du système génito-urinaire [254]. La résine est une herbe aromatique et stimulante au goût amer et brûlant [238]. Elle et l'écorce sont toutes deux anodynes, antiacides, antibactériennes, antifongiques, anti-inflammatoires, antimicrobiennes, astringentes, cytostatiques, adoucissantes, digestives, désinfectantes, diurétiques, expectorantes, légèrement laxatives, vermifuges et vulnérables [318]. La résine obtenue à partir du tronc contient un certain nombre de constituants médicalement actifs, dont 30 à 90% d'huiles essentielles et des tanins condensés inhabituels [238]. L'huile essentielle contient de l'alpha et du bêta-caryophyllène, des sesquiterpènes, des résines et des acides terpéniques [254]. Il améliore la digestion, a des effets diurétiques et expectorants et contrôle les infections bactériennes [238]. Une grande partie de la recherche clinique effectuée à ce jour a vérifié les utilisations traditionnelles du copaïba. Il s'est par exemple avéré très efficace en tant que cicatrisant topique et agent anti-inflammatoire [318]. L'effet anti-inflammatoire est principalement dû aux sesquiterpènes, en particulier le caryophyllène qui a également démontré des propriétés analgésiques efficaces, des propriétés antifongiques contre la mycose des ongles et des propriétés gastroprotectrices [318]. La résine dans son ensemble (et, en particulier, deux de ses diterpènes - l'acide copalique et l'acide kaurénique) a démontré une activité antimicrobienne significative contre les bactéries à Gram positif. Un des autres produits chimiques du copaïba, l'acide kaurénoïque, a également démontré une activité antibactérienne sélective contre les bactéries Gram-positives dans d'autres études récentes [318. D'autres constituants de la résine ont démontré une activité antitumorale significative [318]. La résine est prise en interne dans le traitement de divers problèmes respiratoires tels que la tuberculose, la bronchite et la sinusite; affections des voies urinaires et du système reproducteur telles que la cystite, les infections des reins et de la vessie, les écoulements vaginaux et la gonorrhée [238, 254]. Les ulcères d'estomac, le tétanos, l'herpès, la pleurésie et les hémorragies ne sont que quelques-unes des autres affections traitées avec la résine [318]. À l'extérieur, il est utilisé dans le traitement de divers problèmes de peau, notamment les piqûres d'insectes, l'eczéma, les engelures, les plaies et le psoriasis [238, 254. Il est également utilisé pour traiter les plaies et arrêter les saignements [318]. En tant que gargarisme antiseptique, il est utilisé pour traiter les maux de gorge et l'amygdalite [318]. La résine doit être utilisée avec précaution, voir les notes ci-dessus sur la toxicité [238]. La résine est taraudée à intervalles de l'arbre et les trous sont ensuite comblés [238]. Il est utilisé en infusion ou distillé pour son huile essentielle [238].
Copaifera langsdorffii, Copahier de Langsdorf
Rusticité (résistance face au froid/gel) : zone 10-12

Note : **
Détails : La résine a été officiellement approuvée aux États-Unis comme additif alimentaire et est utilisée en petites quantités comme agent aromatisant dans les aliments et les boissons.

ATTENTION : utilisée en excès, la résine est purgative et peut provoquer des éruptions cutanées et des lésions rénales ; elle crée une action irritante sur toute la membrane muqueuse, provoque une éruption ressemblant à la rougeole accompagnée d'irritations et de picotements {{{5(+) .
Note médicinale : ****
Usages médicinaux : Copaiba-balsam, une oléo-résine huileuse obtenue à partir du tronc de l'arbre, a une très longue histoire d'utilisation médicinale. Il était largement utilisé par les peuples indigènes avant que les Européens n'atteignent l'Amérique du Sud et ces utilisations furent bientôt reprises par les Européens [317]. La résine est particulièrement appréciée pour sa capacité à contrer les muqueuses du thorax et du système génito-urinaire [254]. La résine est une herbe aromatique et stimulante au goût amer et brûlant [238]. Elle et l'écorce sont toutes deux anodynes, antiacides, antibactériennes, antifongiques, anti-inflammatoires, antimicrobiennes, astringentes, cytostatiques, adoucissantes, digestives, désinfectantes, diurétiques, expectorantes, légèrement laxatives, vermifuges et vulnérables [318]. La résine obtenue à partir du tronc contient un certain nombre de constituants médicalement actifs, dont 30 à 90% d'huiles essentielles et des tanins condensés inhabituels [238]. L'huile essentielle contient de l'alpha et du bêta-caryophyllène, des sesquiterpènes, des résines et des acides terpéniques [254]. Il améliore la digestion, a des effets diurétiques et expectorants et contrôle les infections bactériennes [238]. Une grande partie de la recherche clinique effectuée à ce jour a vérifié les utilisations traditionnelles du copaïba. Il s'est par exemple avéré très efficace en tant que cicatrisant topique et agent anti-inflammatoire [318]. L'effet anti-inflammatoire est principalement dû aux sesquiterpènes, en particulier le caryophyllène qui a également démontré des propriétés analgésiques efficaces, des propriétés antifongiques contre la mycose des ongles et des propriétés gastroprotectrices [318]. La résine dans son ensemble (et, en particulier, deux de ses diterpènes - l'acide copalique et l'acide kaurénique) a démontré une activité antimicrobienne significative contre les bactéries à Gram positif. Un des autres produits chimiques du copaïba, l'acide kaurénoïque, a également démontré une activité antibactérienne sélective contre les bactéries Gram-positives dans d'autres études récentes [318. D'autres constituants de la résine ont démontré une activité antitumorale significative [318]. La résine est prise en interne dans le traitement de divers problèmes respiratoires tels que la tuberculose, la bronchite et la sinusite; affections des voies urinaires et du système reproducteur telles que la cystite, les infections des reins et de la vessie, les écoulements vaginaux et la gonorrhée [238, 254]. Les ulcères d'estomac, le tétanos, l'herpès, la pleurésie et les hémorragies ne sont que quelques-unes des autres affections traitées avec la résine [318]. À l'extérieur, il est utilisé dans le traitement de divers problèmes de peau, notamment les piqûres d'insectes, l'eczéma, les engelures, les plaies et le psoriasis [238, 254. Il est également utilisé pour traiter les plaies et arrêter les saignements [318]. En tant que gargarisme antiseptique, il est utilisé pour traiter les maux de gorge et l'amygdalite [318]. La résine doit être utilisée avec précaution, voir les notes ci-dessus sur la toxicité [238]. La résine est taraudée à intervalles de l'arbre et les trous sont ensuite comblés [238]. Il est utilisé en infusion ou distillé pour son huile essentielle [238].
Copaifera multijuga, Copahier
Rusticité (résistance face au froid/gel) : zone 10-12

Note : *
Détails : La résine a été officiellement approuvée aux États-Unis comme additif alimentaire et est utilisée en petites quantités comme agent aromatisant dans les aliments et les boissons.

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : ****
Usages médicinaux : Copaiba-balsam, une oléo-résine huileuse obtenue à partir du tronc de l'arbre, a une très longue histoire d'utilisation médicinale. Il était largement utilisé par les peuples indigènes avant que les Européens n'atteignent l'Amérique du Sud et ces utilisations furent bientôt reprises par les Européens [317]. La résine est particulièrement appréciée pour sa capacité à contrer les muqueuses du thorax et du système génito-urinaire [254]. La résine est une herbe aromatique et stimulante au goût amer et brûlant [238]. Elle et l'écorce sont toutes deux anodynes, antiacides, antibactériennes, antifongiques, anti-inflammatoires, antimicrobiennes, astringentes, cytostatiques, adoucissantes, digestives, désinfectantes, diurétiques, expectorantes, légèrement laxatives, vermifuges et vulnérables [318]. La résine obtenue à partir du tronc contient un certain nombre de constituants médicalement actifs, dont 30 à 90% d'huiles essentielles et des tanins condensés inhabituels [238]. L'huile essentielle contient de l'alpha et du bêta-caryophyllène, des sesquiterpènes, des résines et des acides terpéniques [254]. Il améliore la digestion, a des effets diurétiques et expectorants et contrôle les infections bactériennes [238]. Une grande partie de la recherche clinique effectuée à ce jour a vérifié les utilisations traditionnelles du copaïba. Il s'est par exemple avéré très efficace en tant que cicatrisant topique et agent anti-inflammatoire [318]. L'effet anti-inflammatoire est principalement dû aux sesquiterpènes, en particulier le caryophyllène qui a également démontré des propriétés analgésiques efficaces, des propriétés antifongiques contre la mycose des ongles et des propriétés gastroprotectrices [318]. La résine dans son ensemble (et, en particulier, deux de ses diterpènes - l'acide copalique et l'acide kaurénique) a démontré une activité antimicrobienne significative contre les bactéries à Gram positif. Un des autres produits chimiques du copaïba, l'acide kaurénoïque, a également démontré une activité antibactérienne sélective contre les bactéries Gram-positives dans d'autres études récentes [318. D'autres constituants de la résine ont démontré une activité antitumorale significative [318]. La résine est prise en interne dans le traitement de divers problèmes respiratoires tels que la tuberculose, la bronchite et la sinusite; affections des voies urinaires et du système reproducteur telles que la cystite, les infections des reins et de la vessie, les écoulements vaginaux et la gonorrhée [238, 254]. Les ulcères d'estomac, le tétanos, l'herpès, la pleurésie et les hémorragies ne sont que quelques-unes des autres affections traitées avec la résine [318]. À l'extérieur, il est utilisé dans le traitement de divers problèmes de peau, notamment les piqûres d'insectes, l'eczéma, les engelures, les plaies et le psoriasis [238, 254. Il est également utilisé pour traiter les plaies et arrêter les saignements [318]. En tant que gargarisme antiseptique, il est utilisé pour traiter les maux de gorge et l'amygdalite [318]. La résine doit être utilisée avec précaution, voir les notes ci-dessus sur la toxicité [238]. La résine est taraudée à intervalles de l'arbre et les trous sont ensuite comblés [238]. Il est utilisé en infusion ou distillé pour son huile essentielle [238].
Copaifera officinalis, Copahier officinal
Rusticité (résistance face au froid/gel) : zone 10-12

Note : **
Détails : Comme les autres espèces du genre Copaifera, c'est une source d'une oléo-résine huileuse appelée copaiba-balsam ; la résine est utilisée comme additif alimentaire et comme agents aromatisants dans les aliments et les boissons.

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : ****
Usages médicinaux : Copaiba-balsam, une oléo-résine huileuse obtenue à partir du tronc de l'arbre, a une très longue histoire d'utilisation médicinale. Il était largement utilisé par les peuples indigènes avant que les Européens n'atteignent l'Amérique du Sud et ces utilisations furent bientôt reprises par les Européens [317]. La résine est particulièrement appréciée pour sa capacité à contrer les muqueuses du thorax et du système génito-urinaire [254]. La résine est une herbe aromatique et stimulante au goût amer et brûlant [238]. Elle et l'écorce sont toutes deux anodynes, antiacides, antibactériennes, antifongiques, anti-inflammatoires, antimicrobiennes, astringentes, cytostatiques, adoucissantes, digestives, désinfectantes, diurétiques, expectorantes, légèrement laxatives, vermifuges et vulnérables [318]. La résine obtenue à partir du tronc contient un certain nombre de constituants médicalement actifs, dont 30 à 90% d'huiles essentielles et des tanins condensés inhabituels [238]. L'huile essentielle contient de l'alpha et du bêta-caryophyllène, des sesquiterpènes, des résines et des acides terpéniques [254]. Il améliore la digestion, a des effets diurétiques et expectorants et contrôle les infections bactériennes [238]. Une grande partie de la recherche clinique effectuée à ce jour a vérifié les utilisations traditionnelles du copaïba. Il s'est par exemple avéré très efficace en tant que cicatrisant topique et agent anti-inflammatoire [318]. L'effet anti-inflammatoire est principalement dû aux sesquiterpènes, en particulier le caryophyllène qui a également démontré des propriétés analgésiques efficaces, des propriétés antifongiques contre la mycose des ongles et des propriétés gastroprotectrices [318]. La résine dans son ensemble (et, en particulier, deux de ses diterpènes - l'acide copalique et l'acide kaurénique) a démontré une activité antimicrobienne significative contre les bactéries à Gram positif. Un des autres produits chimiques du copaïba, l'acide kaurénoïque, a également démontré une activité antibactérienne sélective contre les bactéries Gram-positives dans d'autres études récentes [318. D'autres constituants de la résine ont démontré une activité antitumorale significative [318]. La résine est prise en interne dans le traitement de divers problèmes respiratoires tels que la tuberculose, la bronchite et la sinusite; affections des voies urinaires et du système reproducteur telles que la cystite, les infections des reins et de la vessie, les écoulements vaginaux et la gonorrhée [238, 254]. Les ulcères d'estomac, le tétanos, l'herpès, la pleurésie et les hémorragies ne sont que quelques-unes des autres affections traitées avec la résine [318]. À l'extérieur, il est utilisé dans le traitement de divers problèmes de peau, notamment les piqûres d'insectes, l'eczéma, les engelures, les plaies et le psoriasis [238, 254. Il est également utilisé pour traiter les plaies et arrêter les saignements [318]. En tant que gargarisme antiseptique, il est utilisé pour traiter les maux de gorge et l'amygdalite [318]. La résine doit être utilisée avec précaution, voir les notes ci-dessus sur la toxicité [238]. La résine est taraudée à intervalles de l'arbre et les trous sont ensuite comblés [238]. Il est utilisé en infusion ou distillé pour son huile essentielle [238].
Copaifera reticulata, Copahier réticulé
Rusticité (résistance face au froid/gel) : zone 10-12

Détails : Comme les autres espèces du genre Copaifera, c'est une source d'une oléo-résine huileuse appelée copaiba-balsam ; la résine est utilisée comme additif alimentaire et comme agents aromatisants dans les aliments et les boissons.

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : ****
Usages médicinaux : Copaiba-balsam, une oléo-résine huileuse obtenue à partir du tronc de l'arbre, a une très longue histoire d'utilisation médicinale. Il était largement utilisé par les peuples indigènes avant que les Européens n'atteignent l'Amérique du Sud et ces utilisations furent bientôt reprises par les Européens [317]. La résine est particulièrement appréciée pour sa capacité à contrer les muqueuses du thorax et du système génito-urinaire [254]. La résine est une herbe aromatique et stimulante au goût amer et brûlant [238]. Elle et l'écorce sont toutes deux anodynes, antiacides, antibactériennes, antifongiques, anti-inflammatoires, antimicrobiennes, astringentes, cytostatiques, adoucissantes, digestives, désinfectantes, diurétiques, expectorantes, légèrement laxatives, vermifuges et vulnérables [318]. La résine obtenue à partir du tronc contient un certain nombre de constituants médicalement actifs, dont 30 à 90% d'huiles essentielles et des tanins condensés inhabituels [238]. L'huile essentielle contient de l'alpha et du bêta-caryophyllène, des sesquiterpènes, des résines et des acides terpéniques [254]. Il améliore la digestion, a des effets diurétiques et expectorants et contrôle les infections bactériennes [238]. Une grande partie de la recherche clinique effectuée à ce jour a vérifié les utilisations traditionnelles du copaïba. Il s'est par exemple avéré très efficace en tant que cicatrisant topique et agent anti-inflammatoire [318]. L'effet anti-inflammatoire est principalement dû aux sesquiterpènes, en particulier le caryophyllène qui a également démontré des propriétés analgésiques efficaces, des propriétés antifongiques contre la mycose des ongles et des propriétés gastroprotectrices [318]. La résine dans son ensemble (et, en particulier, deux de ses diterpènes - l'acide copalique et l'acide kaurénique) a démontré une activité antimicrobienne significative contre les bactéries à Gram positif. Un des autres produits chimiques du copaïba, l'acide kaurénoïque, a également démontré une activité antibactérienne sélective contre les bactéries Gram-positives dans d'autres études récentes [318. D'autres constituants de la résine ont démontré une activité antitumorale significative [318]. La résine est prise en interne dans le traitement de divers problèmes respiratoires tels que la tuberculose, la bronchite et la sinusite; affections des voies urinaires et du système reproducteur telles que la cystite, les infections des reins et de la vessie, les écoulements vaginaux et la gonorrhée [238, 254]. Les ulcères d'estomac, le tétanos, l'herpès, la pleurésie et les hémorragies ne sont que quelques-unes des autres affections traitées avec la résine [318]. À l'extérieur, il est utilisé dans le traitement de divers problèmes de peau, notamment les piqûres d'insectes, l'eczéma, les engelures, les plaies et le psoriasis [238, 254. Il est également utilisé pour traiter les plaies et arrêter les saignements [318]. En tant que gargarisme antiseptique, il est utilisé pour traiter les maux de gorge et l'amygdalite [318]. La résine doit être utilisée avec précaution, voir les notes ci-dessus sur la toxicité [238]. La résine est taraudée à intervalles de l'arbre et les trous sont ensuite comblés [238]. Il est utilisé en infusion ou distillé pour son huile essentielle [238].
Costus afer, Costus africain
Rusticité (résistance face au froid/gel) : zone 10-12


Note : **
Détails : Feuilles ; une saveur acide ; le rhizome est parfois utilisé comme épice ou comme arôme.

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : ****
Usages médicinaux : Le gingembre en spirale est couramment utilisé comme plante médicinale dans toute l'Afrique tropicale et la recherche moderne a confirmé la validité de nombre de ses utilisations [299]. La tige, les graines et le rhizome contiennent plusieurs sapogénines stéroïdiennes, dont la diosgénine est la plus importante. Le rhizome donne 0,5% de diosgénine. La diosgénine est une matière première très importante utilisée comme précurseur dans la synthèse d'un certain nombre de médicaments stéroïdiens, y compris les corticostéroïdes, les hormones sexuelles, les contraceptifs oraux et les agents anabolisants [299]. Les rhizomes contiennent également les saponines aférosides A et C, ainsi que la dioscine et la paryphylline C et le flavonoïde glycoside kaempférol 3-O -_- L-rhamnopyranoside. Le dernier composé a montré une capacité à potentialiser la cytotoxicité du cisplatine in vitro dans une lignée cellulaire de cancer du côlon humain [299]. Un alcaloïde de type papavérine se trouve dans le rhizome, ce qui provoque la relaxation des muscles lisses et est antispasmodique, diurétique et dépresseur du système nerveux central [299]. L'extrait méthanolique du rhizome a montré une activité anti-inflammatoire topique significative [299]. La fraction saponine des rhizomes et l'extrait de feuille méthanolique ont montré une activité abortive significative [299]. Les sesquiterpénoïdes sont le groupe le plus abondant de composés volatils dans l'huile essentielle des feuilles [299]. L'huile essentielle n'a montré aucune activité antimicrobienne [299]. L'extrait aqueux des feuilles et des tiges a montré une activité antibactérienne et amibicide significative in vitro [299]. L'extrait de feuille méthanolique a montré une cytotoxicité significative [299]. Le même extrait a montré une activité anesthésique locale modérée [299]. L'extrait présentait une activité antihyperglycémique et diminuait le taux de glucose sanguin lorsqu'il était appliqué à petites doses; des doses plus élevées ont cependant augmenté la glycémie [299]. Une décoction de fruits en poudre est utilisée comme médicament contre la toux [46]. La tige est fortement diurétique [299]. La tige écorcée est mâchée pour soulager les nausées et étancher la soif [46, 299]. Une décoction de tige, la tige écrasée ou mâchée ou le fruit pilé, parfois mélangé avec du jus de canne à sucre, sont pris pour soulager les nausées; pour traiter la polyarthrite rhumatoïde; toux problèmes respiratoires et maux de gorge [299]. Un extrait d'eau froide de la tige est utilisé pour traiter les petites crises d'épilepsie [299]. Les tiges en poudre sont utilisées comme lavement pour traiter les vers et les hémorroïdes [299]. La fumée de la tige séchée est inhalée pour traiter la toux [299]. Le jus de tige est utilisé pour traiter la jaunisse et pour prévenir les fausses couches [299]. Le jus de la tige est acide et rubéfiant et brûle sur les plaies ouvertes, mais il est également anodin et cicatrisant [299]. Il est appliqué à l'extérieur pour traiter une gamme de maux de peau; écoulements urétraux et maladies vénériennes [299]. Il est également frotté sur le corps pour traiter les coliques [299]. Une infusion de l'inflorescence est prise pour traiter la tachycardie [299]. La même infusion ou une infusion de rhizome est prise pour traiter les maux d'estomac [299]. Le jus des feuilles, ou une décoction de rhizome, se prend pour traiter le paludisme [299]. En externe, le jus des feuilles est utilisé sous forme de collyre pour traiter les troubles oculaires et sous forme de gouttes nasales pour traiter les maux de tête avec vertige [299]. Il est utilisé dans les frictions pour traiter les ?dèmes et la fièvre [299]. Une infusion des parties aériennes séchées est prise pour traiter l'hypertension [299]. La pulpe du rhizome est appliquée sur les abcès et les ulcères pour les faire mûrir; il est appliqué sur les dents pour soigner les maux de dents; et mélangé avec de l'eau, il est pris en interne pour traiter la diarrhée et la dysenterie amibienne [299]. Une décoction de rhizome ou le rhizome cru se prend pour traiter la lèpre et les maladies vénériennes [299].Le gingembre en spirale est couramment utilisé comme plante médicinale dans toute l'Afrique tropicale et la recherche moderne a confirmé la validité de nombre de ses utilisations [299]. La tige, les graines et le rhizome contiennent plusieurs sapogénines stéroïdiennes, dont la diosgénine est la plus importante. Le rhizome donne 0,5% de diosgénine. La diosgénine est une matière première très importante utilisée comme précurseur dans la synthèse d'un certain nombre de médicaments stéroïdiens, y compris les corticostéroïdes, les hormones sexuelles, les contraceptifs oraux et les agents anabolisants [299]. Les rhizomes contiennent également les saponines aférosides A et C, ainsi que la dioscine et la paryphylline C et le flavonoïde glycoside kaempférol 3-O -_- L-rhamnopyranoside. Le dernier composé a montré une capacité à potentialiser la cytotoxicité du cisplatine in vitro dans une lignée cellulaire de cancer du côlon humain [299]. Un alcaloïde de type papavérine se trouve dans le rhizome, ce qui provoque la relaxation des muscles lisses et est antispasmodique, diurétique et dépresseur du système nerveux central [299]. L'extrait méthanolique du rhizome a montré une activité anti-inflammatoire topique significative [299]. La fraction saponine des rhizomes et l'extrait de feuille méthanolique ont montré une activité abortive significative [299]. Les sesquiterpénoïdes sont le groupe le plus abondant de composés volatils dans l'huile essentielle des feuilles [299]. L'huile essentielle n'a montré aucune activité antimicrobienne [299]. L'extrait aqueux des feuilles et des tiges a montré une activité antibactérienne et amibicide significative in vitro [299]. L'extrait de feuille méthanolique a montré une cytotoxicité significative [299]. Le même extrait a montré une activité anesthésique locale modérée [299]. L'extrait présentait une activité antihyperglycémique et diminuait le taux de glucose sanguin lorsqu'il était appliqué à petites doses; des doses plus élevées ont cependant augmenté la glycémie [299]. Une décoction de fruits en poudre est utilisée comme médicament contre la toux [46]. La tige est fortement diurétique [299]. La tige écorcée est mâchée pour soulager les nausées et étancher la soif [46, 299]. Une décoction de tige, la tige écrasée ou mâchée ou le fruit pilé, parfois mélangé avec du jus de canne à sucre, sont pris pour soulager les nausées; pour traiter la polyarthrite rhumatoïde; toux problèmes respiratoires et maux de gorge [299]. Un extrait d'eau froide de la tige est utilisé pour traiter les petites crises d'épilepsie [299]. Les tiges en poudre sont utilisées comme lavement pour traiter les vers et les hémorroïdes [299]. La fumée de la tige séchée est inhalée pour traiter la toux [299]. Le jus de tige est utilisé pour traiter la jaunisse et pour prévenir les fausses couches [299]. Le jus de la tige est acide et rubéfiant et brûle sur les plaies ouvertes, mais il est également anodin et cicatrisant [299]. Il est appliqué à l'extérieur pour traiter une gamme de maux de peau; écoulements urétraux et maladies vénériennes [299]. Il est également frotté sur le corps pour traiter les coliques [299]. Une infusion de l'inflorescence est prise pour traiter la tachycardie [299]. La même infusion ou une infusion de rhizome est prise pour traiter les maux d'estomac [299]. Le jus des feuilles, ou une décoction de rhizome, se prend pour traiter le paludisme [299]. En externe, le jus des feuilles est utilisé sous forme de collyre pour traiter les troubles oculaires et sous forme de gouttes nasales pour traiter les maux de tête avec vertige [299]. Il est utilisé dans les frictions pour traiter les ?dèmes et la fièvre [299]. Une infusion des parties aériennes séchées est prise pour traiter l'hypertension [299]. La pulpe du rhizome est appliquée sur les abcès et les ulcères pour les faire mûrir; il est appliqué sur les dents pour soigner les maux de dents; et mélangé avec de l'eau, il est pris en interne pour traiter la diarrhée et la dysenterie amibienne [299]. Une décoction de rhizome ou le rhizome cru se prend pour traiter la lèpre et les maladies vénériennes [299].
Cyclanthera pedata, Cyclanthère
Synonymes : Anguria pedisecta Nees & Mart. 1824, Anguria Pedisecta Ser. 1824, Cyclanthera digitata Arn. 1841, Cyclanthera edulis Naudin 1872, Cyclanthera pedata var. edulis (Naudin) Cogn. 1881, Momordica pedisecta L. ex Ser. 1828

Note : ****
Détails : Fruit (fruits [nourriture/aliment : crus {en salade ou marinés/confits dans du vinaigre} ou cuits {comme des légumes (à la manière des courges}]) et feuille (feuilles) comestibles.

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : ****
Usages médicinaux :
Une tisane à base de graines est utilisée dans le traitement de l'hypertension artérielle[284 , 318]. Les graines séchées et réduites en poudre sont prises en doses de 1 gramme comme remède contre les parasites intestinaux[318]. Ce type de traitement est généralement suivi d'un laxatif pour s'assurer que les parasites sont éliminés du corps[K]. Les graines et/ou les fruits sont recommandés pour le traitement des troubles gastro-intestinaux[318]. Les fruits sont diurétiques. Ils sont bouillis dans du lait et gargarisés comme traitement de l'amygdalite[318]. Le jus de fruit est recommandé comme traitement pour des affections telles que des taux élevés de cholestérol sanguin, l'hypertension, l'amygdalite, l'artériosclérose, les problèmes circulatoires et le diabète[318]. Les fruits et/ou les feuilles sont bouillis dans de l'huile d'olive et utilisés en externe comme anti-inflammatoire et analgésique topique[318]. Les feuilles sont considérées comme hypoglycémiantes et sont préparées en décoction pour traiter le diabète[318]. Des recherches menées au Pérou ont montré que la plante peut réduire le taux de cholestérol sanguin chez l'homme, un essai montrant une réduction de 18,3 % en 12 mois et d'autres essais montrant des réductions encore plus importantes[318] {{{5(+)
Cydonia oblonga, Cognassier
Rusticité (résistance face au froid/gel) : -18°C


Note : ****
Détails : Fruit (fruits [nourriture/aliment] ; et graines [base boissons/breuvages]) et fleur (fleurs) comestibles Fruits utilisés essentiellement à la fabrication d'une gelée.
Fruits - crus ou cuits. Lorsqu'ils sont cultivés dans des climats tempérés assez chauds ou les climats tropicaux, les fruits peuvent devenir mous et juteux et peuvent être consommés crus. Dans les climats plus froids comme la Grande-Bretagne, cependant, il reste dur et astringent et doit être cuit avant d'être mangé.
Le coing est un fruit jaune et très odorant à maturité, riche en pectine, avec une chair ferme mais plutôt granuleuse, à la base de nombreuses préparations (confiture, compote, fruit confit?).
On le consomme principalement cuit sous forme de gelées, de confitures, de pâtes de fruits, de gâteaux ou de conserves. Il ajoute une saveur délicieuse aux pommes cuites.
Une boisson peut être préparée en ajoutant les graines séchées broyées à de l'eau, en laissant mijoter pendant 5 minutes et en sucrant au goût.
Fleurs. Aucun autre détail n'est donné.
Composition du fruit (poids sec) :
Chiffres en grammes (g) ou en milligrammes (mg) pour 100g d'aliment.
-355 Calories pour 100g ;
-eau : 0% ;
-protéines : 2,7 g ;
-matières grasses : 1,2 g ;
-glucides : 94g ;
-fibres : 14g ;
-cendres : 2,5 g ;
-minéraux :
- Calcium : 55mg ;
-phosphore : 95 mg ;
-fer : 4,3 mg ;
-magnésium : 0mg ;
-sodium : 25 mg ;
-potassium : 1216 mg ;
-zinc : 0mg ;
-vitamines
-A : 130 mg ;
-thiamine (B1) : 0,15 mg ;
-riboflavine (B2) : 0,18 mg ;
-niacine : 1,8 mg ;
-B6 : 0 mg ;
-C : 95 mg ;
Notes : ces chiffres sont la médiane d'une fourchette donnée dans le rapport.

La graine est toxique. Comme beaucoup d'espèces de la famille des Rosacées, elle contient du cyanure d'hydrogène (c'est la substance qui donne aux amandes leur saveur caractéristique). En petites quantités, il a été démontré que le cyanure d'hydrogène stimule la respiration et améliore la digestion, il est également prétendu être bénéfique dans le traitement du cancer. En excès, cependant, il peut provoquer une insuffisance respiratoire et même la mort {{{5(+) .
Note médicinale : **
Usages médicinaux : L'écorce de tige est astringente, elle est utilisée dans le traitement des ulcères[218]. La graine est un laxatif doux mais fiable, astringent et anti-inflammatoire [9]. Lorsqu'elle est trempée dans l'eau, la graine gonfle pour former une masse mucilagineuse. Ceci a une action apaisante et adoucissante lorsqu'il est pris en interne[4] et est utilisé dans le traitement des maladies respiratoires, en particulier chez les enfants[240]. Ce mucilage est également appliqué à l'extérieur sur des brûlures mineures, etc.[9]. Le fruit est antivinique, astringent, cardiaque, carminatif, digestif, diurétique, émollient, expectorant, pectoral, peptique, réfrigérant, réparateur, stimulant et tonique [4, 9, 46, 218]. Le fruit non mûr est très astringent, un sirop fabriqué à partir de celui-ci est utilisé dans le traitement de la diarrhée et est particulièrement sûr pour les enfants[4, 254]. Le fruit et son jus peuvent être utilisés en bain de bouche ou en gargarisme pour traiter les aphtes, problèmes de gencives et maux de gorge[254]. Les feuilles contiennent du tanin et de la pectine[240]. Le tanin peut être utilisé comme astringent tandis que la pectine a un effet bénéfique sur le système circulatoire et aide à réduire la pression artérielle[K]{{{5(+)µ (traduction automatique).
Original : The stem bark is astringent, it is used in the treatment of ulcers[218]. The seed is a mild but reliable laxative, astringent and anti-inflammatory[9]. When soaked in water, the seed swells up to form a mucilaginous mass. This has a soothing and demulcent action when taken internally[4] and is used in the treatment of respiratory diseases, especially in children[240]. This mucilage is also applied externally to minor burns etc[9]. The fruit is antivinous, astringent, cardiac, carminative, digestive, diuretic, emollient, expectorant, pectoral, peptic, refrigerant, restorative, stimulant and tonic[4, 9, 46, 218]. The unripe fruit is very astringent, a syrup made from it is used in the treatment of diarrhoea and is particularly safe for children[4, 254]. The fruit, and its juice, can be used as a mouthwash or gargle to treat mouth ulcers, gum problems and sore throats[254]. The leaves contain tannin and pectin[240]. Tannin can be used as an astringent whilst pectin has a beneficial effect on the circulatory system and helps to reduce blood pressure[K]{{{5(+).
Cynara scolymus, Artichaut
Synonymes : Cynara cardunculus L. subsp. cardunculus (nom accepté et "synonyme de" {nom retenu}, selon GRIN), Cynara cardunculus subsp. flavescens Wiklund 1992 (nom accepté et "synonyme de" {nom retenu}, selon TPL)
Rusticité (résistance face au froid/gel) : -10/-12°C (souche) ; -5/-6°C voire -8°C (parties aériennes)


Note : *****
Détails : c'est le bourgeon floral (capitule) que l'on consomme généralement cuit (bouilli), ou plus exactement le fond de chaque bractée puis la base (le cur) à partir de laquelle ces pétales se développent ; les plus petits peuvent être marinés ou utilisés dans les potées... ; les jeunes tiges pelées ainsi que les feuilles blanchies peuvent également être consommées.
Fleur (capitules cuits [nourriture/aliment : légume]) et feuille (feuilles et tiges (cardes) cuites [nourriture/aliment : légume {ex. : comme potherbe}]) comestibles.
Plante très cultivée ; plusieurs cultivars. Les bourgeons/boutons (capitules) floraux sont consommés crus ou cuits (généralement bouillis) avant que les fleurs ne s'ouvrent ; le goût est doux et agréable ; les artichauts sont considérés comme une nourriture gastronomique, mais ils sont très fastidieux à manger ; seule le fond de chaque bractée se mange, plus le «coeur» ou la base à partir de laquelle les pétales se développent ; les petits ou bébés artichauts, qui sont produits sur les tiges latérales, peuvent être picklés ou utilisés dans les soupes et les ragoûts ; les plantes produisent environ 5 à 6 têtes principales par an, à partir de leur deuxième année. Les tiges fleuries/florales/florissantes sont pelées et consommées crues ou cuites ; elles ont un doux goût de noisette. Les jeunes tiges des feuilles sont utilisées comme un substitut de céleri ; elles sont normalement blanchies pour enlever l'amertume et ensuite bouillies ou consommés crues mais la saveur est reportée comme trop amère pour être agréable. Les feuilles peuvent être consommées cuites mais le goût est amer. Les feuilles et les fleurs séchées sont un substitut de présure, utilisé pour cailler les laits végétaux (agent de caillage/coagulation / caille-lait).

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : *****
Usages médicinaux : L'artichaut est devenu une plante médicinale importante ces dernières années suite à la découverte de la cynarine. Ce composé au goût amer, présent dans les feuilles, améliore la fonction hépatique et biliaire, stimule la sécrétion de sucs digestifs, notamment de bile, et abaisse le taux de cholestérol sanguin[238, 254]. Les feuilles sont anticholestérolémiques, antirhumatismales, cholagogues, digestives, diurétiques, hypoglycémiques et lithontripiques[7, 21, 165]. Elles sont utilisées en interne dans le traitement des maladies chroniques du foie et de la vésicule biliaire, de la jaunisse, de l'hépatite, de l'artériosclérose et des premiers stades du diabète tardif[238, 254]. Les feuilles sont mieux récoltées juste avant la floraison de la plante et peuvent être utilisées fraîches ou séchées[238]. Les monographies de la Commission E allemande, un guide thérapeutique de la phytothérapie, approuvent Cynara scolymus (Cynara cardunculus subsp. flavescens) pour les troubles du foie et de la vésicule biliaire, la perte d'appétit (voir [302] pour les critiques de la commission E) {{{5(+)
E
Embelia ribes, EmbelieRusticité (résistance face au froid/gel) : zone 10-12


Note : ***
Détails : Parties comestibles : feuilles, fruits, épices ; -jeunes feuilles et pousses - crues ; souvent utilisé comme plat d'accompagnement avec du riz, lorsque les feuilles sont généralement mélangées avec d'autres légumes verts ; de saveur acide, les feuilles peuvent être utilisées comme substitut du tamarin dans les soupes et les plats de légumes ; -fruits - crus ; de saveur aigre-douce, ils sont consommés comme un mets délicat, principalement par les enfants ; le fruit séché est utilisé comme adultérant du poivre noir ; une boisson sucrée et rafraîchissante peut être préparée à partir des feuilles et des fruits ; les jeunes tiges sont mâchées comme une friandise.

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : ****
Usages médicinaux : Les baies séchées (graines) sont altératives, anthelminthiques, carminatives et stimulantes [304]. Un extrait aqueux des baies a montré une activité antifertilité [304]. Les baies en poudre sont largement utilisées pour tuer les ténias - l'huile de ricin est prise plus tard pour expulser le ver mort [304, 310]. Une pâte de baies est utilisée pour traiter les problèmes de peau tels que la teigne [304]. La pâte, mélangée à de l'huile, a été utilisée comme cataplasme pour traiter les maux de tête [304]. La pulpe est purgative [304]. Le jus frais est rafraîchissant, diurétique et laxatif [304]. Les feuilles, associées au gingembre, ont été utilisées comme bain de bouche pour traiter les ulcères et les maux de gorge [304]. Une pâte d'écorce est appliquée sur la poitrine pour traiter les maladies pulmonaires telles que la pneumonie [304]. Une infusion de racines est administrée pour traiter la toux et la diarrhée [310].
Euonymus europaeus, Fusain d'Europe
Synonymes : Euonymus europeus (erreur (dp*))
Rusticité (résistance face au froid/gel) : -25°C (zone 4-9)


Note : *
Détails : Les fruits et les graines sont la source d'un colorant jaune utilisé pour la coloration du beurre et la manne serait comestible, mais toute la plante est considérée comme toxique.
Graines - colorant, manne, prudence.
Parties comestibles : manne, huile ;
Utilisations comestibles : coloration, huile ;
-les fruits et les graines sont la source d'un colorant jaune utilisé pour la coloration du beurre ; rose à partir de l'enveloppe du fruit, orange à partir de la graine. Ces rapports doivent être interprétés avec prudence, car de nombreux membres de ce genre sont toxiques.
-il produit aussi une manne comestible ; un rapport suggère que la plante est une source de manne, sans plus de détails.(1*)

(1*)ATTENTION : poison. Pas plus de détails {{{5(+x) . Toutes les parties sont nocives si elles sont consommées {{{0(+x) .
Note médicinale : **
Usages médicinaux : L'écorce est altérative, cholagogue, hépatique, laxative, stimulante et tonique. L'écorce de racine est la partie habituellement utilisée, bien que l'écorce des tiges soit parfois employée comme substitut. À petites doses, elle stimule l'appétit ; à doses plus élevées, elle irrite les intestins. L'écorce est particulièrement utile dans le traitement des troubles hépatiques qui suivent ou accompagnent les fièvres. Les graines sont fortement émétiques et purgatives. Les feuilles fraîches, ainsi que les fruits et graines séchés, sont utilisés en usage externe pour traiter la gale, les poux (de tête, du corps ou du pubis), les tiques et autres parasites cutanés {{{5(+)
F
Frangula alnus, BourdaineSynonymes : Frangula dodonei Ard. 1766 (nom accepté et "synonyme de" {nom retenu}, selon TPL), Rhamnus frangula L. 1753



Détails : non comestible et/ou toxique

néant, inconnus ou indéterminés.
Fraxinus excelsior, Frêne commun
Rusticité (résistance face au froid/gel) : {{{-15°C (-20°C), zone 4


Note : **
Détails : Fruit (samares, immatures (verts) : frais (cuitsµ1, confits et/ou aromatisants) ou séchés (farine) ; ou mûres (graines : farineµ1, huile5(15)µ)), manne (exsudation/sève)(2*) et feuille (dont pousses et rejets, aromatisantes : jeunes et/ou tendres (crues) ou plus âgées (boissons (dont tisanes (ex : thé noir adulthéré), et cidre de frêne (frênette))) comestibles.(1*)
Cambium (seconde écorce) consommée comme légume.
Les feuilles d'été sont à la base d'une boisson fermentée, la "frênette", fabriquée en France ; elles sont parfois ajoutées au thé.
Les très jeunes fruits ailés sont picklés (confits, par trempage dans l'eau salée et le vinaigre) puis consommés comme condiment ou comme pickles.
La plante est aussi la source d'une manne comestible.(1*)

(1*)les parties vertes du Frêne (essentiellement fraîches, jeunes et/ou tendres, dont les feuilles et fruits immatures) sont très amères ; il est donc conseillé de n'utiliser celles-ci (crues ou cuites) qu'a des fins aromatiques (apport d'amertume = note forte 1 ), et peut(-)être même recommandé de jeter/changer plusieurs l'eau de cuisson afin d'en supprimer le maximum d'amertume 1,8,(dp*) .
(2*)il est également recommandé de prélever la sève en quantités modérées pour ne pas nuire à la santé (et, pire, la survie) de l'arbre. 1
Note médicinale : **
Fumaria officinalis, Fumeterre officinale


Note : *
Détails : Feuille (feuilles, tiges et pousses [assaisonnement {aromate} : fraîches ou séchées]) et fleur (fleurs [assaisonnement {aromate} : fraîches ou séchées]) comestibles.
La plante (herbe fraîche ou séchée), y compris les fleurs, est ajoutée aux laits aigres (lait végétaux fermentés) pour lui donner un arôme : quelques morceaux sont ajoutés à chaque litre de liquide puis, une fois que le lait a épaissi aigre, la plante est enlevée ; elle donne un goût acidulé, agit comme un conservateur et empêche le goût rance qui peut accompagner le lait aigri.
Les feuilles peuvent être utilisées fraîches ou séchées. Agent de caillage/coagulation / caille-lait ? (qp*)

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : ***
G
Globimetula braunii,
Pas d'illustration
pour le moment 😕
pour le moment 😕

Parties comestibles : feuilles, légumes, attention (traduction automatique) | Original : Leaves, Vegetable, Caution

néant, inconnus ou indéterminés.
Glycyrrhiza uralensis, Réglisse chinoise

Note : ***
Détails : Racine (racines [assaisonnement {condiment, aromate : substitut de réglisse} et édulcorant]) comestible.(1*)
La racine est fibreuse ; elle est utilisée comme édulcorant dans les aliments ; la racine contient de la glycyrrhizine, qui est cinquante fois plus sucré que le sucre. En Sibérie, les racines sont utilisées, après ébullition (pour en extraire les sucres (etc...)), comme aromatisant (substitut de réglisse) de confiserie (bonbons), mais également dans les médicaments, boissons etc...(1*)

(1*)ATTENTION : les racines peuvent être toxiques et ne doivent être utilisées qu'en petites quantités {{{0(+x) .
Note médicinale : ****
Usages médicinaux : Le Gan Cao est couramment utilisé en phytothérapie chinoise, où il est considéré comme l'une des 50 plantes fondamentales[218]. Il est considéré comme le deuxième en importance après le ginseng (Panax spp)[218]. Cependant, utilisé en excès, il peut provoquer un dysfonctionnement cardiaque et une hypertension sévère[218]. La racine est une herbe tonique douce qui stimule les hormones corticostéroïdes, neutralise les toxines et équilibre les niveaux de sucre dans le sang[238]. Il est également antibactérien, anti-inflammatoire, antiphlogistique, antispasmodique, antitussif, cholagogue, adoucissant, émollient, expectorant et laxatif[61, 176, 218, 238]. Il est utilisé en interne dans le traitement de la maladie d'Addison, de l'asthme, de la toux et des ulcères gastroduodénaux[238]. En externe, il est utilisé pour traiter l'acné, les furoncles et les maux de gorge[238]. Il est inclus dans presque toutes les formules à base de plantes chinoises, où il est censé harmoniser et diriger les effets des différents ingrédients[238]. Il précipite de nombreux composés et est donc considéré comme inadapté à l'utilisation avec certaines herbes telles que Daphne genkwa, Euphorbia pekinensis et Corydalis solida[238]. Il augmente la toxicité de certains composés tels que l'éphédrine, les salicylates, l'adrénaline et la cortisone[238]. Il ne doit pas être prescrit aux femmes enceintes ou aux personnes souffrant d'hypertension artérielle, de maladie rénale ou à toute personne prenant des médicaments à base de digoxine[238]. Des doses excessives provoquent une rétention d'eau et une hypertension artérielle[238]. Il peut provoquer l'impuissance chez certaines personnes[238]. Les racines sont récoltées au début de l'automne, de préférence à partir de plantes âgées de 3 à 4 ans, et sont séchées pour une utilisation ultérieure[238]. Les fleurs sont alteratives et expectorantes[218] {{{5(+)
Guiera senegalensis, N'guere
Rusticité (résistance face au froid/gel) : zone 10-12

Note : *
Détails : Les feuilles servent également à cailler le lait.

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : ****
Usages médicinaux : Les feuilles ont une forte réputation de «panacée» en Afrique, où elles sont utilisées dans le traitement d'un large éventail de conditions. Ils sont le plus souvent pris en décoctions ou sont mélangés à des aliments [332]. Les feuilles au goût amer sont antitussives, apéritives, purifiantes sanguines, diurétiques, fébrifugeuses, galactagogue, laxatives, pectorales et toniques [332]. Ils sont utilisés pour traiter un large éventail d'affections telles que: les troubles pulmonaires et respiratoires, y compris la toux et la fièvre; problèmes du tube digestif, y compris coliques, dysenterie et diarrhée; les maladies infectieuses, y compris la syphilis, le béribéri et la lèpre; et diverses autres conditions telles que l'impuissance, les rhumatismes et l'?dème [332]. Les feuilles en poudre sont mélangées à de la nourriture comme tonique général et réparateur du sang après toute condition épuisante, et surtout donnée aux femmes après l'accouchement pour favoriser l'écoulement du lait [332]. Les feuilles sont communément transformées en infusion, associées à celles de Combretum micranthum, pour traiter la fièvre, les affections thoraciques et rhumatismales, et en douche nasale pour le rhume dans la tête [332 '. Associées à la pulpe de tamarin, les feuilles sont considérées comme un bon laxatif et un apéritif [332]. La plante a une réputation particulière en tant que préventif de la lèpre et de nombreuses personnes boivent une décoction froide de feuilles chaque matin et soir; en particulier, il est administré au nouveau-né et à l'enfant d'un parent lépreux, ou lorsqu'il y a le moindre soupçon de souillure héréditaire ou de symptômes précoces [332]. Les feuilles séchées sont fumées dans une pipe et la fumée est soufflée par le nez comme remède contre le rhume [332]. Ils sont mélangés avec du tabac pour fumer comme traitement de la toux et des troubles respiratoires [332]. Les feuilles en poudre sont ajoutées à un tabac à priser pour les maux de tête et la sinusite [332]. Les feuilles sont appliquées à l'extérieur pour apporter la guérison au corps - elles sont considérées comme antiseptiques et vulnérables. Ils sont appliqués sur les plaies, les plaies dans la bouche, les chancres syphilitiques et les ulcères phagadéniques [332]. Les feuilles sont appliquées sur les infections cutanées et en cataplasmes sur les gonflements inflammatoires et pour le ver de Guinée; ils ont été appliqués aux tumeurs pour les maturer et comme traitement des maladies de la peau [332]. La décoction de feuilles est utilisée comme gel douche et pour le bain des nouveau-nés [332]. Les fruits et les feuilles sont des ingrédients communs dans les prescriptions plus ou moins cérémonielles pour renforcer et prévenir les maladies chez les jeunes enfants [332]. Les brindilles sont mâchées pour un soulagement symptomatique des piqûres de scorpion [332]. Les racines en poudre et bouillies sont considérées comme un remède contre la diarrhée et la dysenterie [332]. Les fruits, cuits au four et réduits en poudre avec du sel ajouté pour masquer le goût amer, sont considérés comme un remède souverain contre le hoquet [332]. Les tiges feuillues contiennent des traces d'alcaloïdes et de tanins [332]. Les cendres des racines et des feuilles semblent particulièrement riches en magnésium, calcium, strontium, titane, fer et aluminium [332]. Pharmacologiquement, la plante a une action positive sur la toux, est hypotensive, antidiarrhéique et anti-inflammatoire [332].
H
Hibiscus sabdariffa, Oseille de guinée


Note : ***
Détails : Fleur (calice {cru ou cuit [bouilli, grillé]} [nourriture/aliment, base boissons/breuvages {bissap/karkadé et ersatz/succédané, feuille (jeunes et/ou tendres feuilles, pousses et tiges consommées [nourriture/aliment {crues, en salade, ou cuites, comme légume{{{~}, base boissons fermenté(e)s et/ou assaisonnement]) et fruit (graines [nourriture/aliment et base boissons/breuvages {substitut du café} : séchées et/ou torréfiées et moulues]) comestibles.
Calices, feuilles, graines, fleurs - thé, légumes.
Le calice frais (le verticille, spire extérieure de la fleur, composé de sépales) est consommé cru, en salade, est cuit et utilisé comme aromatisant dans les gâteaux, etc, et est également utilisé dans la confection de gelées, soupes, sauces, marinades, puddings, confitures, etc... ; il est riche en acide citrique et pectine et est donc utile pour faire des confitures, gelées, etc... ; il est également utilisé pour ajouter une couleur rouge et pour aromatiser les tisanes ; il peut aussi être rôti et utilisé comme un substitut de café ; enfin, une boisson rafraîchissante et très populaire peut être obtenue en faisant bouillir le calice, en l'édulcorant/adoucissant avec du sucre et en ajoutant du gingembre.
Les fleurs peuvent être utilisées pour parfumer les boissons.
Jeunes et/ou tendres feuilles, pousses et tiges consommées crues, en salade, ou cuites, comme légume (feuilles cuites comme potherbe), et comme assaisonnement dans les currys (elles ont un une saveur acide, rappelant la rhubarbe), et aussi à la base d'une boisson fermentée. Les graines peuvent être mangées ; elles peuvent être séchées et/ou torréfiées et moulues (broyeés/réduites en poudre) puis ensuite utilisées dans les soupes et les sauces grasses/huileuses ; grillées, elles ont été utilisées comme substitut du café qui est dit avoir des propriétés aphrodisiaques ; elles peuvent également être pressées pour l'huile, probablement comestible, qu'elles produisent à hauteur de 20%. La racine est comestible mais très fibreuse, mucilagineuse, et sans trop de saveur.

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : ***
L
Linum usitatissimum, Lin cultivé

Note : ****
Détails : Fruit (graines grilllées [nourriture/aliment {pseudo-céréale secondaire, substitut d'oeuf} et base boissons/breuvages {tisanes et substitut de café}] ; extrait graines : huile [nourriture/aliment : huile alimentaire {de cuisson}] ; et graines germées) et feuille (feuilles [nourriture/aliment {comme légume}]) comestibles.
Graines, cosses, huile.
Graines broyées sources d'huile alimentaire (l'huile de lin) ; celle-ci est riche en acides gras oméga-3 et a parfois été utilisée comme huile de cuisson. Graines consommées également localement grillées et utilisées pour faire du thé ou comme substitut de café ; elles sont aussi utilisées dans le pain et les céréales et peuvent être mises à germer ; elles peuvent être utilisées comme substitut d'oeuf dans des muffins, des gâteaux et des scones.
Les feuilles sont également consommées comme légume (ex. : potherbe) avec de la crème aigre et du citron.(1*)

(1*)ATTENTION : les graines crues contiennent des cyanures détruits à la cuisson {{{27(+x) ; certains types contiennent des niveaux élevés d'alcaloïdes toxiques {{{0(+x) ; les graines de certaines souches contiennent des glycosides cyanogènes bien que la toxicité soit faible, surtout si la graine est consommée lentement ; elles deviennent plus toxiques si de l'eau est bue en même temps ; les glycosides cyanogènes sont également présents dans d'autres parties de la plante et ont provoqué l'intoxication de bétail {{{5(+) ; voir lien "pfaf" ("5"), pour plus d'informations, dont contre-indications {{{(rp*) .
Note médicinale : ***
M
Malva sylvestris, Mauve sylvestreRusticité (résistance face au froid/gel) : -20°C




Note : ***
Détails : Feuille (tendres) et fleur1 (dont bourgeons), fruit (jeunes (tendres et verts))1 et racine1 comestibles.(1*)
Partie(s) comestible(s) : feuilles, graines, fleurs, gousses, fruit.
Utilisation(s)/usage(s) comestible(s) :
- feuilles consommées crues ou cuites (comme potherbe) ; mucilagineuse avec une saveur douce et plaisante, elles sont agréables dans les soupes où elles agissent comme un épaississant (cela donne au soupe une texture onctueuse) ; les jeunes feuilles font aussi un substitut très acceptable pour la laitue en salade ; feuilles utilisées comme substitut de thé, en Australie ;
-graines immatures - crues ; consommées localement ; utilisées comme collation, les graines ont une saveur agréable de noisette, mais elles sont trop fastidieuses/délicates à récolter pour la plupart des gens qui veulent en obtenir en quantité ;
-fleurs - crues ; ajoutées aux salades ou utilisées comme garniture ; un goût agréable, avec une texture semblable aux feuilles, elles font une garniture agréable et jolie dans le saladier ; elles sont également utilisées pour le thé.
La plante a également été utilisée comme agent de coagulation / caillage (caille-lait) pour la préparation de fromage.(1*)

(1*)ATTENTION : lorsqu'elles sont cultivées sur des sols riches en azote (et en particulier lorsque ceux-ci sont cultivés inorganiquement), la plante a tendance à concentrer des niveaux élevés de nitrates dans ses feuilles {{{5(+) ; les feuilles sont parfaitement saines à tout autre moment {{{5 .
Note médicinale : ***
Malva verticillata, Mauve crépue


Note : *****
Détails : Feuille (jeunes pousses et feuilles consommées [nourriture/aliment : crues {en salades{{{5(K)µ, substitut de laiture} ou cuites {comme potherbe / légume-feuille}]) et fruit (jeunes graines {vertes et immatures} [nourriture/aliment {crues ou cuites}]) comestibles.(1*)
Partie(s) comestible(s) : feuilles, graines, légume.
Utilisation(s)/usage(s) comestible(s) :
-jeunes pousses et feuilles - crues ou cuites (comme potherbe) ; consommées localement comme potherbe (herbe potagère / légume-feuille) ; les feuilles des plantes bien développées peuvent mesurer 15cm ou plus de diamètre ; elles ont une saveur douce et très agréable qui font d'elles une excellent addition aux salades ; on les utilise comme une alternative savoureuse à la laitue ; elles sont également utilisées dans les pickles (marinades) et les sautés ;
-jeunes graines - crues ou cuites ; utilisées vertes et immatures ; un goût agréable de noisette, mais la graine est trop petite et délicate pour la plupart des gens qui veulent la récolter.

(1*)ATTENTION : lorsqu'elles sont cultivées sur des sols riches en azote (et en particulier lorsque ceux-ci sont cultivés inorganiquement), la plante a tendance à concentrer des niveaux élevés de nitrates dans ses feuilles {{{5(+) ; les feuilles sont parfaitement saines à tout autre moment {{{5 .
Note médicinale : **
Usages médicinaux : La graine contient du mucilage, des polysaccharides et des flavonoïdes. Elle est adoucissante, diurétique, émolliente, galactogène et laxative. Les graines sont utilisées en médecine tibétaine, où on leur attribue un goût sucré et astringent ainsi qu'un pouvoir chauffant. Elles sont utilisées dans le traitement des troubles rénaux, de la rétention d'eau, de la soif fréquente et de la diarrhée. La racine est utilisée pour provoquer des vomissements dans le traitement de la coqueluche. Les feuilles et les tiges sont réputées être digestives. Elles sont administrées aux femmes en stade avancé de grossesse {{{5(+) .
Une étude ethnobotanique de 1984) sur les usages domestiques quotidiens anciens des plantes à Bagnes en Suisse cite cette plante (dénommée grôsa motëta («grande mauve» en patois local) comme étant « adoucissante ; avec la tisane, on fait des bains ou des compresses pour les entorses, les infections, les maux de pieds des vaches (abcès, etc.) ; sur les enflures (aussi celles du bétail), on met des compresses de mauve et de camomille ; la tisane est aussi administrée en injection ».
Généralement utilisée en tisane, c'est une plante dépurative, amollissant les selles, voire laxative et donc indiquée pour les personnes constipées ou au transit capricieux (hors femmes enceintes et jeunes enfants) ; elle est réputée nettoyer les émonctoires (foie, reins, intestins) et drainer lorganisme en favorisant l'élimination de ses toxines ; elle peut ainsi préparer lorganisme à perdre du poids dans un corps saint {{{wiki
Menyanthes trifoliata, Menyanthe


Note : **
Détails : Partie(s) comestible(s) : racine, feuilles - aromatisant, feuilles - thé.
Utilisation(s)/usage(s) comestible(s) :
-les racines sont lavées à l'eau courante, pour enlever l'élément amer, puis broyées en farine laquelle est utilisée dans le pain ; elles sont séchées et moulues et lessivées et séchées ;
-les feuilles ont été utilisées comme un substitut pour le houblon dans le brassage ; les feuilles séchées sont brassées dans le thé.

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : ***
Morinda citrifolia, Noni
Rusticité (résistance face au froid/gel) : zone 10/11 (0/2/4?)


Note : ***
Détails : Partie(s) comestible(s) : fruits, feuilles, légumes.
Utilisation(s)/usage(s) comestible(s) :
-les jeunes feuilles sont cuites comme légume ou potherbe ; elles sont également blanchies et consommées crues ;
-le fruit peut être mangé cru ou cuit ; il est souvent consommé avec du sel ; les fruits verts sont préparés en currys ; les fruits mûrs sont transformés en boisson avec du sucre et du sirop ; il est également utilisé dans les marinades, les sauces et les vinaigrettes ;
-les graines de certaines formes sont rôties et mangées.

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : ****
Usages médicinaux : La plupart des parties du noni sont largement utilisées en médecine depuis l'Antiquité[238 , 303]. Il a été mentionné pour la première fois dans la littérature en Chine pendant la dynastie Han (206 av. J.-C. - 23 apr. J.-C.)[238]. De nos jours, les arbres isolés sont encouragés ou cultivés dans les jardins principalement à des fins médicinales[303]. Les propriétés curatives des parties de la plante sont attribuées à la présence de dérivés d'anthraquinone actifs sur le plan médicinal[303]. Le fruit contient de l'acide caprique à l'odeur rance et de l'acide caprylique au goût désagréable[303]. On pense que des composés antibiotiques actifs sont présents[303]. Les racines sont fébrifuges, toniques et antiseptiques[303]. Elles sont utilisées pour traiter la raideur et le tétanos et il a été prouvé qu'elles combattent la tension artérielle[303]. Une infusion de la racine est utilisée dans le traitement des troubles urinaires[311]. L'écorce est utilisée dans un traitement pour faciliter l'accouchement[311]. En usage externe, la racine est écrasée et mélangée à de l'huile et est utilisée comme pommade contre la variole[311]. Une infusion de l'écorce de racine est utilisée pour traiter les maladies de la peau[311]. Les racines sont récoltées selon les besoins et utilisées en décoctions[238]. La feuille fanée ou chauffée est appliquée en cataplasme sur les gonflements douloureux afin d'apporter un soulagement[307]. Un cataplasme de feuilles est appliqué sur les plaies ou sur la tête afin de soulager les maux de tête[307]. Les feuilles écrasées, mélangées à de l'huile, sont appliquées sur le visage pour le traitement de la névralgie[307]. Les feuilles sont récoltées selon les besoins pendant la saison de croissance[238]. Les fruits sont utilisés comme diurétique, laxatif, émollient et comme emménagogue, pour traiter l'asthme et d'autres problèmes respiratoires, comme traitement des inflammations arthritiques et comparables, dans les cas de leucorrhée et de saprémie et pour les maladies des organes internes[303]. Le liquide pressé à partir des jeunes fruits est inhalé dans chaque narine pour traiter la mauvaise haleine et la voix rauque[311]. Il est également utilisé dans le traitement des aphtes, des hémorroïdes, des hernies ou des testicules gonflés, des maux de tête, des douleurs causées par les ardillons de poissons venimeux, pour l'ablation d'une écharde, l'accouchement, le diabète, la diarrhée et la dysenterie, la fièvre, les vers intestinaux, la filariose, la lèpre et la tuberculose[311]. Les jeunes fruits sont utilisés pour traiter l'hypertension artérielle[311]. Les fruits peuvent être récoltés mûrs ou non mûrs et sont parfois carbonisés et mélangés à du sel pour un usage médicinal[238]. Les racines, les feuilles et les fruits peuvent avoir des propriétés vermifuges. En médecine traditionnelle, les parties utilisées sont administrées crues ou sous forme de jus et d'infusions ou dans des pommades et des cataplasmes[303] {{{5(+)
Moringa oleifera, Moringa
Rusticité (résistance face au froid/gel) : 0/-2°C




Note : ****
Détails : Partie(s) comestible(s) : feuilles, fleurs, fruits, graines, racines, écorce, gousses, épice, légume.
Utilisation(s)/usage(s) comestible(s) :
-les jeunes pousses et les feuilles sont consommées cuites ; elles sont consommées comme potherbes, brède, ou utilisées dans les soupes et les currys ; elles peuvent être séchées et stockées pour une utilisation ultérieure ;
-les fleurs sont également utilisées pour les currys ;
-les très jeunes longues gousses sont consommées cuites, en particulier dans les currys et la soupe ; elles sont également picklées ;
-les jeunes graines sont consommées grillées ou frites ;
-parfois, les racines sont utilisées comme substitut du raifort ;
-une gomme de l'écorce est utilisée comme assaisonnement ;
-l'écorce est utilisée pour le thé ;
-les racines, les feuilles, les fleurs et les fruits sont consommés cuits à l'eau et mélangés avec du sel et du piment ;
-l'huile extraite des graines est utilisée dans les salades.

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : ****
Usages médicinaux : L'arbre à raifort est une plante nutritive, diurétique, laxative, expectorante, qui augmente le débit de lait, contrôle les infections bactériennes et est rubéfiante lorsqu'elle est appliquée localement[238]. Il contient un antibiotique puissant[238]. L'huile de ben, obtenue à partir des graines, n'a ni goût, ni odeur, ni couleur et est exceptionnellement résistante à l'oxydation[238]. Les jeunes feuilles sont prises en interne pour augmenter le débit de lait chez les mères qui allaitent[238]. La racine est utilisée comme vésicant[287]. L'alcaloïde spirachine (un paralysant nerveux) a été trouvé dans les racines[303]. Le jus de racine est utilisé en interne dans le traitement de l'asthme, de la goutte, des rhumatismes, de l'hypertrophie de la rate et du foie, des calculs vésicaux et rénaux, des états inflammatoires[238]. En externe, la racine est utilisée pour traiter les furoncles, les ulcères, les gonflements glandulaires, les plaies infectées, les maladies de la peau, les infections dentaires, les morsures de serpent et la goutte[238]. Les racines et l'écorce sont utilisées pour les problèmes cardiaques et circulatoires, comme tonique et contre les inflammations[303]. L'écorce est un apéritif et un digestif[303]. La gomme est émolliente, diurétique, astringente et abortive[303 , 307]. Elle est utilisée dans les sirops contre la toux et dans le traitement de l'asthme[303]. L'écorce et la gomme sont utilisées dans le traitement de la tuberculose et de la septicémie[238]. Les fleurs et les fruits immatures sont réputés être un bon rubéfiant[287]. Une décoction de fleurs est utilisée comme remède contre le rhume[303]. Les graines sont efficaces contre les bactéries infectant la peau Staphylococcus aureus et Pseudomonas aeruginosa. Elles contiennent un antibiotique et un fongicide puissant, la térygospermine[303]. L'huile de Ben est utilisée contre l'hystérie, le scorbut, les problèmes de prostate et les troubles de la vessie[303]. Plusieurs composés aux propriétés médicinales ont été isolés. Le fruit et la feuille contiennent de l'acide oxalique, l'écorce de la moringinine, la tige de la vanilline, la fleur de kaempférol et de la quercétine, et la racine de la spirochine et de la ptérygospermine[299]. Les graines contiennent un glucosinolate qui, par hydrolyse, produit du 4-(alpha-L-rhamnosyloxy)-benzylisothiocyanate, un bactéricide et un fongicide actif[299] {{{5(+)
O
Olea europaea, OlivierSynonymes : Olea europea (nom invalide [erreur = écriture/orthographe incorrecte/fausse/erronée] ou variante orthographique valide ? (qp*))



Note : ****
Détails : Partie(s) comestible(s) : fruit, herbe, épice, manne, feuilles.
Utilisation(s)/usage(s) comestible(s) :
-le fruit est utilisé après avoir été picklé (mariné) ou en mis en conserve ; il est également utilisé pour son huile ; les fruits crus contiennent un alcaloïde qui les rend amers et désagréables ; celui-ci est éliminé par durcissement à la soude (de 1,3 à 2% de soude caustique), puis lavage à l'eau puis transfert dans une solution saline ;
-l'arbre est la source d'une manne comestible ;
-feuilles cuites (ex. : comme potherbe) ? (qp*).

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : ***
P
Petroselinum crispum, PersilSynonymes : Apium Petroselinum L., Petroselinum sativum Hoffm.

Note : ****
Détails : Partie(s) comestible(s) : feuilles, herbe, épice, légume culinaire(s) :
-les feuilles sont utilisées pour aromatiser ; elles sont utilisées dans les salades, les sauces, les ragoûts, les farces, et dans d'autres plats cuisinés ; les feuilles peuvent être séchées ou utilisées fraîches pour le thé (riche en vitamine C) ;
-l'huile de persil obtenue à partir des feuilles ou des graines est utilisée dans les aliments.

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : ****
Usages médicinaux : Le persil est une plante médicinale et culinaire couramment cultivée, souvent utilisée comme médicament domestique. Les feuilles fraîches sont très nutritives et peuvent être considérées comme un supplément naturel de vitamines et de minéraux à part entière[254]. La plante est principalement utilisée comme diurétique, où elle est efficace pour débarrasser le corps des calculs et pour traiter la jaunisse, l'hydropisie, la cystite, etc.[4, 238]. C'est également un bon détoxifiant, aidant le corps à se débarrasser des toxines par l'urine et aidant donc au traitement d'un large éventail de maladies telles que les rhumatismes[254]. La graine est une plante sans danger à des doses normales, mais en excès, elle peut avoir des effets toxiques[254]. Le persil ne doit pas être utilisé par les femmes enceintes car il est utilisé pour stimuler le flux menstruel et peut donc provoquer une fausse couche[7, 238]. Toutes les parties de la plante peuvent être utilisées en médecine, la racine est la partie la plus souvent utilisée bien que les graines aient une action plus forte. Le persil est antipelliculaire, antispasmodique, apéritif, carminatif, digestif, diurétique, emménagogue, expectorant, galactofuge, rénal, stomacal et tonique[4, 7, 9, 21, 165, 201, 238]. Une infusion de racines et de graines se prend après l'accouchement pour favoriser la lactation et aider à contracter l'utérus[238]. Le persil est également un laxatif doux et est utile pour traiter l'anémie et les convalescents[244]. La prudence est recommandée quant à l'utilisation interne de cette plante, en particulier sous forme d'huile essentielle. Des doses excessives peuvent provoquer des lésions hépatiques et rénales, une inflammation des nerfs et une hémorragie gastro-intestinale[238]. Il ne doit pas être prescrit aux femmes enceintes ou aux personnes atteintes de maladies rénales[238]. Un cataplasme de feuilles a été appliqué en externe pour apaiser les morsures et les piqûres[4, 7], il est également réputé pour être utile dans le traitement des tumeurs de nature cancéreuse[4]. Il a été utilisé pour traiter les infections oculaires, tandis qu'un tampon de coton imbibé de jus soulagera les maux de dents ou d'oreilles[244]. On dit également qu'il prévient la chute des cheveux et fait disparaître les taches de rousseur[244]. Si les feuilles sont gardées près des seins d'une mère qui allaite pendant quelques jours, le flux de lait cessera[7]. Les monographies de la Commission E allemande, un guide thérapeutique de la phytothérapie, approuvent le persil Petroselinum crispum pour l'infection des voies urinaires, des calculs rénaux et vésicaux (voir [302] pour les critiques de la commission E) {{{5(+)
Phyllanthus emblica, Malaka
Synonymes : Emblica officinalis Gaertn. 1790



Note : ***
Détails : Partie(s) comestible(s) : graines, fruit, feuilles, pétales de fleur culinaire(s) :
-les fruits sont cuits et utilisée dans les conserves ; les fruits sont acides et peuvent être consommés frais ou utilisés pour l'aromatisation ; ils sont également utilisés comme assaisonnement dans les aliments cuits ; ils sont picklés et transformés en confitures, gelées, conserves, tartes et autres aliments ; les copeaux de fruits secs sont assaisonnés avec des graines de cumin, du sel et du yaourt et consommés ;
-graines et feuilles vertes sont comestibles ; feuilles cuites (ex. : comme potherbe) ? (qp*).

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : *****
Usages médicinaux : L'emblic est d'une grande importance dans la médecine traditionnelle asiatique, non seulement comme antiscorbutique, mais aussi dans le traitement de diverses affections, notamment celles associées aux organes digestifs. En Thaïlande, les fruits de l'emblic sont traditionnellement utilisés comme expectorant, antipyrétique, diurétique, antidiarrhéique et antiscorbutique[306]. Bon nombre de ces utilisations traditionnelles ont été confirmées par des recherches sur les principes actifs des plantes et leurs propriétés. Les fruits, l'écorce et les feuilles sont riches en tannin[299]. La pulpe séchée des fruits non mûrs contient 18 à 35 % de tannin ; la teneur des fruits mûrs est beaucoup plus faible. L'écorce de la tige sèche contient 8 à 20 % de tannin. L'écorce des rameaux est généralement plus riche, contenant 12 à 24 % de tannin sur la base du poids sec. Les feuilles peuvent produire 22 à 28 % de tannin[299]. Les tannins du fruit appartiennent au groupe des gallotanins et des ellagitanins, donnant par hydrolyse de grandes quantités d'acide gallique, de petites quantités d'acide ellagique et de glucose[299]. Le tannin de l'écorce appartient au groupe des proanthocyanidines, donnant par hydrolyse de la (+)leucodelphinidine[299]. Le fruit est une source extrêmement riche d'acide ascorbique, 100 g de jus en contenant 600 à 1 300 mg, parfois même plus[299]. Le tannin du fruit empêche ou retarde l'oxydation de la vitamine, de sorte que les fruits peuvent être conservés en solution saline ou sous forme de poudre sèche tout en conservant leur valeur antiscorbutique[299]. Les principes tannoïdes sont de puissants inhibiteurs de l'aldose réductase et peuvent être efficaces dans la gestion des complications diabétiques, notamment la cataracte[299]. Les fruits sont une riche source de pectine[299]. De nombreuses applications médicinales des fruits peuvent être attribuées à la présence d'acide ascorbique et à l'action astringente des tannins, mais les fruits contiennent également d'autres composés actifs. Des extraits de fruits ont montré des activités antioxydantes et antitumorales dans des tests in vitro et sur des animaux. Ils ont également montré des propriétés hypocholestérolémiantes, antitussives, anti-ulcéreuses et hépatoprotectrices et ont montré une puissante activité inhibitrice sur la transcriptase inverse du VIH ; pour cette dernière activité, la putranjivaïne A était le composé le plus actif isolé[299]. La phyllembline a également été isolée des fruits ; elle potentialise l'action de l'adrénaline, a une légère action dépressive sur le système nerveux central et a des propriétés spasmolytiques[299]. Des extraits de feuilles ont montré une activité inhibitrice sur les leucocytes et les plaquettes humaines, ce qui confirme au moins en partie leurs propriétés anti-inflammatoires et antipyrétiques[299]. Les fruits ont des activités diurétiques, laxatives et purgatives et présentent également des propriétés molluscicides et antimicrobiennes. Ingrédient principal de diverses formules toniques ayurvédiques[301], le fruit est administré afin d'atténuer les effets du vieillissement et de restaurer les organes[254]. Les fruits acides sont l'un des ingrédients du « triphala », un tonique laxatif rajeunissant ayurvédique à base de cette espèce ainsi que des fruits de Terminalia bellirica et de Terminalia chebula[238].Le jus du fruit est également donné afin de renforcer le pancréas des diabétiques, ainsi que dans le traitement des problèmes oculaires, des douleurs articulaires, de la diarrhée et de la dysenterie[254] {{{5(+)
Plantago afra, Plantain psyllium

Note : *
Détails : Partie(s) comestible(s) : feuilles.
Utilisation(s)/usage(s) culinaire(s) : inconnus ou indéterminés ; feuilles cuites (ex. : comme potherbe) ? (qp*).

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : ***
Plantago major, Plantain officinal
Rusticité (résistance face au froid/gel) : -20/-23°C




Note : **
Détails : -Jeunes feuilles (riches en mucilages) en salade ; plus âgées elles sont cuites comme potherbe (en soupe ou accompagnement) ; on peut aussi les lactofermenter en choucroute originale ; -Jeunes inflorescences crues ou blanchies ; leur saveur rappelle celle
Graines ; feuilles crues ou cuites (ex. : comme potherbe) ; racines
Feuille (jeunes et/ou tendres de préférence , graines (aromatisantes (blé tendre) ; dont extrait (huile)) et racine (cuites) comestibles.
Les feuilles jeunes riches en mucilages se mangent en salade. Plus âgées elles peuvent être consommées cuites comme potherbe (en soupe ou accompagnement). On peut aussi les faire lactofermenter et concocter une choucroute originale.
Les jeunes inflorescences se mangent crues en salade ou blanchies.
Graines riches en vitamine B.
Aussi commune le plantain lancéolé, elle en connait les mêmes usages alimentaires. On consomme cette plante jusqu'en Chine.

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : ***
Usages médicinaux : Propriétés : dépuratif, diurétique, hémostatique, vulnéraire, antiallergique, anti-inflammatoire respiratoire.
Applications : infusion, cataplasme, jus, teinture, eau distillée.
Les graines sont laxatives par effet mécanique dû au mucilage qu'elles contiennent.
Les feuilles fraîches écrasées sont utilisées comme cicatrisant et en massage sur les piqûres de moustiques et d'orties. Depuis l'Antiquité, elles sont considérées comme hémostatique à action rapide sur les blessures. Elles étaient également utilisées comme collyre sous forme d'eau distillée. Leur teinture est toujours utilisée dans les odontalgies.
Les racines du plantain, broyées, servaient pour préparer des cataplasmes anti-infectieux et pour leurs propriétés antiallergiques et anti-inflammatoires sur les voies respiratoires et les maladies de peau.
Au début du XXe siècle, l'abbé Johann Künzle (de), herboriste populaire suisse, écrit que « le plantain est utilisé, quelle que soit l'espèce, avec la racine, la plante avec les feuilles, la fleur et les graines. Il purifie comme aucune autre plante ne peut le faire le sang, les poumons et l'estomac et est indiqué pour cette raison aux personnes anémiques ou dont le sang est de mauvaise qualité, dont les poumons et les reins sont faibles, qui sont de pâleur maladive, qui ont des exanthèmes, des dartres ou qui toussotent, qui sont enroués, et restent maigres comme des clous même si on les gave comme des oies » {{{wiki
Plantago media, Plantain moyen
Rusticité (résistance face au froid/gel) : -20°C




Note : **
Détails : -Les jeunes feuilles peuvent être consommées (crues ou cuites) comme potherbe ou en salades ; -Les jeunes inflorescences se mangent crues en salade ou blanchies ; Leur saveur rappelle celle du champignon.
feuilles crues ou cuites (ex. : comme potherbe).
Feuille (jeunes et/ou tendres de préférence , graines (aromatisantes (blé tendre) ; dont extrait (huile)) et racine (cuites) comestibles.
Très largement répandu, c'est un légume sauvage presque aussi courant que le plantain lancéolé ou le grand plantain.

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : **
Usages médicinaux : Le plantain moyen est composé daucubine, de tanin, de pectine, dacides, de sels, de gomme et de saponine. On lutilise pour ses propriétés dépuratives, astringentes, vulnéraires et ophtalmiques.
Les graines sont laxatives par effet mécanique dû au mucilage qu'elles contiennent.
Depuis l'Antiquité, la plante est considérée comme hémostatique à action rapide sur les blessures. Elle était utilisée également contre la rage de dent et comme collyre sous forme d'eau distillée.
Les feuilles fraiches écrasées sont utilisées comme cicatrisant et en massage doux sur les piqures de moustiques, guêpe, abeille, frelon ou d'ortie.
On récoltait (toute l'année) les racines du plantain qui, broyées servaient pour préparer des cataplasmes anti-infectieux.
Au début du XXe siècle, l'abbé Johann Künzle (de), herboriste populaire suisse, écrit que « le plantain est utilisé, quelle que soit l'espèce, avec la racine, la plante avec les feuilles, la fleur et les graines. Il purifie comme aucune autre plante ne peut le faire le sang, les poumons et l'estomac et est indiqué pour cette raison aux personnes anémiques ou dont le sang est de mauvaise qualité, dont les poumons et les reins sont faibles, qui sont de pâleur maladive, qui ont des exanthèmes, des dartres ou qui toussotent, qui sont enroués, et restent maigres comme des clous même si on les gave comme des oies » {{{wiki
Primula veris, Primevère officinale
Synonymes : Primula officinalis (L.) Hill 1765 (synonyme selon GRIN ; nom accepté et espèce différente, selon TPL)


Note : ***
Détails : fleurs, feuilles - crues ou cuites, transformées en sirop ou utilisées localement comme succédané du thé. Les feuilles et fleurs peuvent être consommées crues ou cuites comme pour la primevère élevée (Primula eliator), la primevère acaule (Primula vulgaris) et Primula juliae. Les feuilles sont meilleures lorsqu'elles sont jeunes et apportent une note légèrement anisée un peu piquante (que l'on retrouve en plus fort dans les racines) dans une salade composée. Après le printemps, il vaut mieux les cuire en soupe ou en légume mais de préférence avec d'autres plantes car elles sont parfois un peu fortes. La friture les rend croustillantes à souhait. Elles flétrissent lorsque la plante a formé ses graines. Les fleurs sont consommées en salade mêlées à d'autres fleurs et interviennent dans différents breuvages (thés, tisanes, infusions, sirops ; aromatisation du vin et des vinaigres). Elles décorent les plats chauds ou froids et sont également utilisées confites au sucre en pâtisserieµ{{{wiki.
Partie(s) comestible(s) : fleurs, feuilles, épice, feuilles - thé, nectar.
Utilisation(s)/usage(s) culinaire(s) :
-les fleurs sont ajoutées aux salades ; elles sont également utilisées dans les conserves et pickles ; elles sont également utilisées pour les vins et pour le thé ; les fleurs ont également été confites ;
-les jeunes feuilles sont consommées crues en salade et cuites comme potherbe et utilisées comme un substitut pour le thé.

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : ***
Usages médicinaux : ce sont les mêmes que ceux de la primevère commune et de la primevère élevée :
?les fleurs, adoucissantes et calmantes, sont utilisées dans des mélanges pectoraux ;
?les feuilles sont anti-ecchymotiques ;
?toute la plante et particulièrement la racine ont des propriétés analgésiques, antispasmodiques, diurétiques et expectorantes {{{wiki .
Q
Quassia amara, Quassia amèreRusticité (résistance face au froid/gel) : zone 10-12

Note : **
Détails : Le principe amer que l'on trouve dans l'écorce et le bois est utilisé comme base d'Angostura Bitters, qui est utilisé comme arôme dans les boissons à base de gin ; il est également utilisé comme substitut du houblon lors du brassage de la bière.

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : ****
Usages médicinaux : Toutes les parties de la plante contiennent un principe amer appelé quassimarine [307]. Cela a une gamme de propriétés médicales comprenant antileucémique, antitumorale, astringente, digestive, fébrifuge, laxative, tonique et vermifuge [307]. Il a été démontré que la quassimarine stimule la sécrétion des sucs gastriques, augmente l'appétit et facilite la digestion [307]. Il a été utilisé avec succès dans le traitement de l'anorexie mentale et est également utilisé dans le traitement du paludisme et de la fièvre [307, 348]. Toutes les parties de la plante peuvent être utilisées seules ou en combinaison pour restaurer l'appétit, stimuler la digestion et combattre les fièvres, y compris le paludisme [348]. Un thé à base de feuilles infusées est utilisé pour baigner la peau des patients atteints de rougeole [307]. Il est également utilisé comme bain de bouche après des extractions dentaires [307]. Une décoction d'écorce est utilisée comme purificateur de sang et pour traiter le paludisme, diarrhée et dysenterie [348]. Une décoction d'écorce interne est utilisée pour traiter le rhume [348 La tige et l'écorce sont utilisées dans les remèdes pour traiter les maladies de la rate, du foie (cirrhose) et des voies urinaires [348]. L'écorce est utilisée pour traiter les yeux faibles des alcooliques et, macérée dans du rhum, comme vermifuge [348]. Associé à la tige macérée de Tinospora crispa dans du rhum, du cognac ou de l'absinthe, il est utilisé pour fabriquer une boisson pour traiter le diabète et l'albuminurie [348]. Une décoction de bois est utilisée dans les lotions pour laver les ulcères vénériens persistants [348]. Une décoction d'écorce et de feuilles est utilisée comme lavage pour débarrasser la peau des parasites externes tels que les poux d'agouti et comme traitement contre la rougeole et la variole [348]. L'écorce de tige contient les composés insecticides néoquassine et quassine [348]. La sève présente une activité contre les cellules dérivées du carcinome du nasopharynx humain [348]. Les extraits de plantes contiennent les composés antileucémiques quassimarine et similikalactone [348].
R
Rheum palmatum, Rhubarbe palmée
Note : ***
Détails : Tige de feuille - crue ou cuite [2, 7, 105, 183]. La tige est supérieure en saveur à la rhubarbe commune et assez tendre [2]. Arôme acide, elle est parfois utilisée comme succédané de fruits cuits [K]. Additifs alimentaires : aromatisant.

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : *****
Usages médicinaux : La rhubarbe chinoise, appelée Da Huang en Chine, est utilisée depuis longtemps comme plante médicinale, son principal effet étant un effet positif et équilibrant sur l'ensemble du système digestif. C'est l'une des plantes les plus utilisées en médecine chinoise[238]. Son action est sûre et douce, et même sans danger pour les enfants[254]. La plante fait également partie d'une formule nord-américaine appelée essiac, qui est un traitement populaire contre le cancer. Son efficacité n'a jamais été prouvée ou réfutée de manière fiable, car aucune étude contrôlée n'a été réalisée. Les autres plantes incluses dans la formule sont Arctium lappa, Ulmus rubra et Rumex acetosella[254]. La racine est anticholestérolémique, antiseptique, antispasmodique, antitumorale, apéritive, astringente, cholagogue, émolliente, diurétique, laxative, purgative, stomacale et tonique[4, 7, 9, 21, 91, 171, 176, 238]. Les racines contiennent des anthraquinones, qui ont un effet purgatif, ainsi que des tannins et des amers, qui ont un effet astringent opposé[244]. Prise à petites doses, elle agit comme un tonique astringent pour le système digestif, tandis que des doses plus importantes agissent comme un laxatif doux[232, 244]. La racine est prise en interne dans le traitement de la constipation chronique, de la diarrhée, des troubles du foie et de la vésicule biliaire, des hémorroïdes, des problèmes menstruels et des éruptions cutanées dues à une accumulation de toxines[238]. Ce remède n'est pas prescrit aux femmes enceintes ou allaitantes, ni aux patients souffrant d'occlusion intestinale[238]. En externe, la racine est utilisée dans le traitement des brûlures[238]. Les racines sont récoltées en octobre sur des plantes âgées d'au moins six ans, puis séchées pour une utilisation ultérieure[4]. Un remède homéopathique est préparé à partir de la racine séchée[232]. Il est notamment utilisé dans le traitement de la diarrhée chez les enfants qui font leurs dents[232]. Les monographies de la Commission E allemande, un guide thérapeutique de la phytothérapie, approuvent Rheum palmatum pour la constipation (voir [302] pour les critiques de la commission E) {{{5(+)
Rheum x hybridum, Rhubarbe
Synonymes : Rheum hybridum Murray 1775, Rheum ondulatum (nom invalide ? (qp*)), Rheum rhaponticum auct. mult. (non L.), Rheum undulatum L. 1762, Rheum x cultorum Thorsrud & Reisaeter 1948, Rheum rhabarbarum L. 1753 ? (qp*), Rheum rhabarbarum L. (1753) sensu auct. mult.
Rusticité (résistance face au froid/gel) : {{{-20°C (zone 3-7)

Note : ****
Détails : Usages : Les pétioles charnus sont coupés en morceaux et cuits en compote dans du sucre. Le produit obtenu se mange tantôt comme garniture avec un aliment de base et de la viande, tantôt en dessert sucré, ou sous forme de tartes ou de confitures. Certains y ajoutent de la chaux pour réduire l?acidité, mais cela fait aussi disparaître le goût. Les espèces sauvages de Rheum, mais aussi la rhubarbe, sont utilisées en médecine traditionnelle en Asie pour faire baisser la pression artérielle et le cholestérol, freiner la progression de la néphropathie diabétique et soigner les lésions cérébrales. Propriétés : La composition nutritionnelle de la rhubarbe crue, par 100 g de partie comestible, est de : eau 93,6 g, énergie 88 kJ (21 kcal), protéines 0,9 g, lipides 0,2 g, glucides 4,5 g, fibres 1,8 g, Ca 86 mg, Mg 12 mg, P 14 mg, Fe 0,2 mg, Zn 0,1 mg, vitamine A 102 UI, thiamine 0,02 mg, riboflavine 0,03 mg, niacine 0,30 mg, folate 7 ?g, acide ascorbique 8 mg (USDA, 2002). Son goût agréablement acidulé est dû à la présence d?acides malique, oxalique et citrique ainsi que d?aldéhydes et d?acides en C6, saturés et insaturés. La rhubarbe contient de l?acide oxalique libre. La teneur en oxalate varie entre les cultivars et les échantillons. Sur 71 génotypes de rhubarbe, la teneur moyenne en oxalate soluble dans l?eau sur la base de la matière sèche était de 3,1% (1,6?6,0%), et celle d?oxalate total de 5,9% (3,2?9,2%) ; la teneur moyenne en malate était de 21,0% (12,2?29,2%). Consommée en quantités modérées, pas plus de quelques fois par semaine, la rhubarbe est sans danger pour la santé. Des anthocyanines dans le jus des pétioles sont responsables de sa coloration rouge. Un composant antinutritionnel commun chez les espèces de Rheum est l?anthraquinone, qui est mutagène, mais on n?a détecté aucune preuve de mutagénicité dans les pétioles de rhubarbe. Les concentrations d?anthraquinone sont plus élevées dans les limbes des feuilles et dans les racines.
Pétioles (pédoncules/tiges foliaires), légume. Les pétioles acides sont consommés après cuisson avec du sucre. Ils sont également utilisés dans les sauces et les tartes.

ATTENTION : les feuilles sont toxiques par les fortes concentrations d'oxalates (acide oxalique) solubles contenues {{{~~0(+x),{{{~~5(+x),{{{~~27(+x) ; ceux-ci peuvent bloquer certains minéraux (en particulier le calcium) dans le corps, ce qui conduit à une carence nutritionnelle ; cuire la plante réduira la concentration d'acide oxalique. Un autre rapport indique que la concentration d'acide oxalique est la même dans les tiges et les feuilles et que ce n'est pas l'acide oxalique qui les rend toxiques ; il affirme que toutes les propriétés toxiques des feuilles sont plus susceptibles d'être dûes à la présence de glycosides. Les personnes ayant une tendance aux rhumatismes, à l'arthrite, à la goutte, aux calculs rénaux ou à l'hyperacidité devraient prendre des précautions particulière si elles incluent cette plante dans leur alimentation, car celle-ci peut aggraver leur état {{{5(+) .
Note médicinale : ***
Usages médicinaux : La rhubarbe est utilisée depuis longtemps comme plante médicinale, son principal effet étant un effet positif et équilibrant sur l'ensemble du système digestif. C'est l'une des plantes les plus utilisées en médecine chinoise. La principale espèce utilisée est R. palmatum. Bien que sa composition chimique varie légèrement, cette espèce est utilisée de manière interchangeable. Un autre rapport indique que cette espèce ne contient que de faibles quantités de composés médicinaux actifs et qu'elle n'est donc utilisée que comme laxatif doux. La racine est anticholestérolémique, antiseptique, antispasmodique, antitumorale, apéritive, astringente, cholagogue, adoucissante, diurétique, laxative, purgative, stomachique et tonique. À petites doses, elle agit comme un tonique astringent pour le système digestif, tandis qu'à doses plus importantes, elle agit comme un laxatif doux. La racine est prise en interne pour traiter la constipation chronique, la diarrhée, les affections du foie et de la vésicule biliaire, les hémorroïdes, les troubles menstruels et les éruptions cutanées dues à une accumulation de toxines. Ce remède n'est pas prescrit aux femmes enceintes ou allaitantes, ni aux patients souffrant d'occlusion intestinale. En usage externe, la racine est utilisée dans le traitement des brûlures. Les racines sont récoltées en octobre sur des plantes âgées d'au moins six ans, puis séchées pour une utilisation ultérieure. Un remède homéopathique est préparé à partir de la racine séchée. Il est notamment utilisé dans le traitement de la diarrhée chez les enfants qui font leurs dents {{{5(+)
Ricinus communis, Ricin



Note : *
Détails : Feuilles, huile, PRUDENCE, POISON, racines, graines. Populaire dans de nombreux villages de Papouasie-Nouvelle-Guinée (PNG) affirmant/assurant manger les graines, cuites. Apparemment, certains types moins toxiques se produisent.
Les feuilles ont été enregistrées comme mangées. Les racines sont également comptabilisées être consommées crues. La graine contient 35 à 55% d'une huile comestible ; celle-ci doit être raffinée avant utilisation ; elle est utilisée en cuisine, par exemple en addition de beurre et de noix pour aromatiser les aliments, y compris les produits de boulangerie ; la graine est une riche source de phosphore, dont 90% est sous forme phytique. Les fruits sont utilisés pour les pickles.(1*)

(1*)ATTENTION : la plante est normalement enregistrée comme mortellement toxique, principalement les graines, et ne devrait donc jamais être consommée crue {{{0(+x) ; la plante entière est très toxique, même une graine a été connue pour être mortelle pour les enfants ; le tégument contient un poison extrêmement violent qui était autrefois utilisé par le KGB pour disposer de leurs ennemis ; les feuilles ne sont que légèrement toxique ; le principe toxique est soluble dans l'eau et ne se trouve donc pas dans l'huile {{{5(+) ; les poisons sont détruits par la chaleur {{{0(+x) ; les graines contiennent des composés très toxiques en partie détruits par la chaleur {{{27(+x) ; douleurs abdominales, crampes, nausées, perte de liquide et d'électrolytes ; possible présence d'allergènes ; ne pas utiliser pendant la grossesse étant donné que cela peut provoquer l'accouchement prématuré et une fausse couche {{{5(+) .
La littérature ne fait état d'aucun cas d'empoisonnement dû à l'ingestion de ricine purifiée. Tous les rapports cliniques concernant l'empoisonnement font référence à l'ingestion de graines de ricin. La dose létale médiane orale (DL50) chez la souris est de 30 mg/kg, soit environ 1000 fois plus élevée que par injection ou inhalation (donc la ricine est mille fois plus toxique par voie pulmonaire ou parentérale). Cette toxicité plus faible par voie orale est due à la dégradation de la toxine dans le tractus gastro-intestinal. Dans des rapports sur l'ingestion de graines de ricin chez l'homme, la dose orale létale chez l'homme a été estimée à 1-20 mg/kg de poids corporel (ce qui correspond à environ 8 graines de ricin). Mais les doses de ricine estimées à partir du nombre de graines ingérées peuvent donner des estimations inexactes en raison de la variation de la taille, du poids et de la teneur en eau des graines ; de la région, de la saison et de la période de croissance de la plante au moment de la récolte des graines ; ainsi que du degré de mastication, de l'âge et des comorbidités. Les symptômes (de légers à mortels) se manifestent, selon les cas, après l'ingestion d'un nombre de graines variant entre 0,5 et 30. Dans un cas, il a été rapporté que l'ingestion de 2 graines seulement a suffit à causer la mort. Dans les modèles animaux, la ricine ingérée est absorbée dans les 2 heures par les vaisseaux lymphatiques et sanguins, et elle s'accumule principalement dans le foie et la rate {{{wiki .
Note médicinale : ****
Usages médicinaux : L'huile de la graine est un laxatif très connu, largement utilisé depuis plus de 2 000 ans[222]. Elle est considérée comme rapide, sûre et douce, provoquant une selle en 3 à 5 heures, et est recommandée aussi bien aux très jeunes qu'aux personnes âgées[4, 254]. Elle est si efficace qu'elle est régulièrement utilisée pour nettoyer le tube digestif en cas d'empoisonnement[254]. Elle ne doit pas être utilisée en cas de constipation chronique, où elle peut traiter les symptômes mais ne traite pas la cause[4]. Son goût est cependant quelque peu désagréable et peut provoquer des nausées chez certaines personnes[4]. L'huile a un effet antipelliculaire remarquable[7]. L'huile est bien tolérée par la peau et est donc parfois utilisée comme véhicule pour des préparations médicinales et cosmétiques[254]. L'huile de ricin se fige en une masse gélatineuse lorsque la solution alcoolique est distillée en présence de sels de sodium d'acides gras supérieurs[240]. Ce gel est utile dans le traitement des maladies cutanées non inflammatoires et constitue une bonne protection dans les cas d'eczéma et de dermatite professionnels[240]. La graine est vermifuge, cathartique, émolliente, laxative, purgative[4, 7, 21]. Elle est frottée sur la tempe pour traiter les maux de tête[218] et est également réduite en poudre et appliquée sur les abcès et diverses infections cutanées[218]. La graine est utilisée en médecine tibétaine, où elle est considérée comme ayant un goût âcre, amer et sucré avec un pouvoir chauffant[241]. Elle est utilisée dans le traitement de l'indigestion et comme purgatif[241]. Une décoction de feuilles et de racines est antitussive, discutante et expectorante[218]. Les feuilles sont utilisées en cataplasme pour soulager les maux de tête et traiter les furoncles[240] {{{5(+)
Rosa x damascena, Rosier de damas
Synonymes : Rosa damascena Mill. 1900



Note : **
Détails : Partie(s) comestible(s) : feuilles, épice, fleurs, pétales, graines, fruits culinaires :
-les pétales sont utilisés pour produire de l'eau de rose pour les boissons aromatisantes, bonbons, glaces et pâtisseries ;
-les jeunes fleurs séchées sont utilisées comme boutons de rose pour aromatiser les saucisses etc... ;
-les jeunes pousses tout en rouge sont consommées crues ou cuites à la vapeur comme un plat d'accompagnement avec du riz ; jeunes pousses également cuites comme potherbe ? (qp*) ;
-les feuilles sont utilisées comme condiment.

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : *
Rubus fruticosus, Mûrier
Rusticité (résistance face au froid/gel) : -25?C (-10/-15/-20?C selon d'autres sources)



Note : *****
Détails : Les fruits (mûres ou mûrons), sont consommés crus (seuls ou dans des salades de fruits, jus...) ou cuits (en tartes, sirops, sorbets, gelées, confitures...) ; les jeunes pousses, les bourgeons et les pétales de fleurs sont comestibles crus (décoration de salades de légumes ou de fruits...).
Feuille (jeunes et/ou tendres/molles : fraîches (crues) ou séchées (tisanes) ; matures : tisanes, fruit (mûres) et fleur comestibles.
Jeunes ou très jeunes feuilles crues/cuites (ex. : en salades ou comme potherbe) et/ou aromatisantes, ou utilisées en tisanes.
Les bourgeons (à la saveur fruitée et tanisée) et les pétales de fleurs sont comestibles crus (ajoutées aux salades de légumes ou de fruits pour les décorer), de même que les jeunes pousses de l'année, appelées turions, qui ont une saveur de noisette ou noix de coco, avec une note de framboise. Les feuilles et les tiges plus âgées deviennent plus riches en tanins et plus astringentes. On peut ainsi les faire cuire à plusieurs eaux pour les cuisiner ou les faire sécher et fermenter pour en faire une infusion au goût de framboise ou de thé noir. Dans l'Orléanais, on prépare un vin de pousses de ronce.
Leurs fruits, les mûres ou mûrons, très riches en différentes formes de vitamine B (sauf B12) et vitamine C (36 mg/100 g), sont consommés crus, seuls ou dans des salades de fruits, ou cuits en tartes, sirops, sorbets, gelées et confitures. Ils se congèlent bien. Leur fermentation donne une boisson alcoolisée, la crème de mûre, à la base de variante de kir, un vin de mûre et du vinaigre ou des liqueurs aromatisées à la mûre.
Les fruits de toutes les autres espèces sont eux aussi comestibles. Leur composition varie dans de fortes proportions. « Elles contiennent en moyenne 85% d'eau, 4 à 7% de sucre (dextrose et lévulose, des traces de saccharose), un peu d'acides succinique, malique, oxalique, citrique, salicylique, un peu d'inosite, de la gomme, de la pectine? Les noyaux ou pépins donnent environ 13 % d'huile grasse composée surtout d'oléine et de linoléine ».

La cueillette des mûres est déconseillée près des bords de route ou des zones de culture conventionnelle, car elles sont susceptibles d'être contaminées par des pesticides ou par des métaux lourds (mercure, cadmium, plomb des échappements de moteur, source de pollution repérées dès les années 1970).
Une croyance populaire au Royaume-Uni veut qu'après la fête des Archanges (29 septembre) ou une date ultérieure selon les régions, ces fruits ne soient pas cueillis, le diable ayant craché dessus, ce qui les rend inconsommables. Cette superstition fait probablement référence à la pourriture grise des fruits (Botrytis cinerea) qui se développe par temps pluvieux durable en arrière-saison.
{{{wiki .
Note médicinale : ***
Usages médicinaux : La ronce est une plante médicinale « très appréciée dans l'Antiquité pour son action astringente, antidiarrhéique et antihémorragique » : Pline l'Ancien la vante pour ses vertus anti-inflammatoires de l'intestin et de la bouche, décrit un sirop à base de mûre de ronce (le panchrestos, littéralement « bon à tous maux »).
Ses vertus sont également reconnues au Moyen Âge comme les mentionne l'école de médecine de Salerne, Hildegarde de Bingen au XIIe siècle qui la préconise contre les hémorragies du fondement. Dans l'esprit de la pensée magique médiévale reposant sur la théorie des signatures (plaies sur la peau analogues à la piqûre des aiguillons), la ronce est réputée retirer les affections de peau en rampant sous ses arceaux et être le meilleur antidote des morsures de serpents. Dans l'occident médiéval, elle a également une action ambivalente : les mûres sont accusées « de nuire à la santé, d'engendrer des maux de tête et de la fièvre », et cette mauvaise réputation se rencontre encore aujourd'hui dans son surnom de « ronce de renard », cet animal qui « cueille » les fruits et les souille facilement de ses déjections.
Les botanistes du XVIe siècle (Fuchs, Dodoens) reconnaissent également ses vertus médicinales. Elle est dite à bon droit, au même titre que les roses et les épervières, « la croix des botanistes », les anciens voyant en elle une panacée pour guérir presque toutes les maladies.
Grâce à leur richesse en tanins astringents, les feuilles séchées et les jeunes pousses fermentées sont utilisées en gargarismes détersifs, en tisanes, pour soigner les angines. Elles apportent également de la vitamine C {{{wiki
Rumex acetosa, Oseille



Note : *****
Détails : Feuille (dont pointes des tiges), graines (tisanes ; dont germes) et racine comestibles.(1*)
Les feuilles sont consommées crues ou cuites ; elles peuvent être mangées seules, elles sont alors désaltérantes, ou ajoutées aux salades, utilisées comme légume-feuille / légume vert / potherbe, en purée (ex. : substitut d'épinard) ou encore dans les soupes ; elles ont une délicieuse saveur citronnée, aimée par la plupart des gens qui les essaient ; l'oseille peut être assez envahissante en quantité et est plus généralement utilisée comme assaisonnement dans les salades composées ; les feuilles peuvent aussi être séchées pour une utilisation ultérieure. Toujours très tendres et peu fibreuses, elles peuvent être ramassées pendant toute la durée de vie de la plante, et utilisées en soupes, dans des sauces ou en salades. Leur goût acidulé vient de l'acide ascorbique qu'elles contiennent. Cette caractéristique leur permet de relever la saveur de certains poissons et surtout de dissoudre ou d?amollir les fines arêtes. Le calcium qu?elles contiennent devient alors disponible. Le jus des feuilles peut être utilisé comme un agent de caillage/coagulation de lait (caille-lait).
Dans la cuisine d'Europe de l'Est, les feuilles des rumex sont utilisées pour la préparation du bortsch vert (ou soupe à l?oseille).
Les fleurs sont cuites et consommées comme un légume ou utilisées comme garniture.
La racine cuite est séchée, broyée en une poudre et transformée en nouilles.
Les graines sont utilisées crues ou cuites ; elles sont broyées en une poudre et mélangées à d'autres farines ; la graine est facile à récolter, mais elle est plutôt petite et délicate à utiliser. Elles sont consommables mais de faible valeur alimentaire. Il est préférable, mais difficile, de les débarrasser de leur enveloppe très astringente, après quoi on peut les moudre et les mélanger en petites quantités à la farine pour faire des bouillies, des galettes, voire du pain.(1*)

(1*)ATTENTION : la plante contient de l'acide oxalique qui est toxique : selon les proportions consommées et la personne, celui-ci peut endommager les reins si il est ingéré régulièrement pendant plusieurs mois {{{1 .
Cependant, certains légumes, comme l'épinard ou la blette, en contiennent dans des concentrations équivalentes ou supérieures sans que ceux-ci ne soient considérés comme dangereux ; de plus l'acide en question est soluble dans l'eau (proportionnellement à la température de celle-ci) et peut donc être éliminé en changeant simplement l'eau de cuisson ; enfin, en y ajoutant du lait (ou tout autre produit laitier), une partie de cette acide se lie au calcium le rendant ainsi inoffensif {{{1 .
Il sera tout de même conseillé de ne pas en abuser {{{(dp*) , plus particulièrement aux personnes souffrants de problèmes rénaux et/ou ayant une tendance aux rhumatismes (polyarthrite rhumatoïde, arthrite, goutte, calculs rénaux ou hyperacidité), pour lesquelles il sera même fortement recommandé de limiter ou d'éviter complètement cette consommation potentiellement néfaste (étant donné qu'elle peut aggraver leur état) ou tout au moins de prendre des précautions particulières dès lors que cette plante est incluse (ou prévue) dans leur régime alimentaire {{{5 .
Il est également recommandé de ne pas faire cuire l'oseille dans une casserole de fonte, car l'acide oxalique réagit avec le fer, ce qui donne un mauvais goût aux feuilles. Il faut aussi éviter l'aluminium, car l'acide oxalique peut libérer des quantités toxiques d'ions de ce métal {{{wiki .
Au début du printemps, les jeunes feuilles auriculées d?oseille sauvage ressemblent fortement à celles hastées du gouet, qui émerge du sol à la même période, et qui est toxique {{{wiki .
Note médicinale : ***
Usages médicinaux : Les feuilles ont des propriétés dépuratives, stomachiques et diurétiques. Cuites, elles sont émollientes et légèrement laxatives {{{wiki
S
Sambucus nigra, Sureau noir

Note : ****
Détails : fleur (crues [salades (sans pédoncule)] et/ou aromatisantes [boissons, vinaigre, plats, desserts] ; dont bourgeons [cuits (confits)]), fruit (baies immatures (vertes) : confites (avec parcimonie)1 ; ou mûres et fraiches [crues (avec parcimonie)/cuites (jus/sirop : boissons, gelées, confitures, vinaigre)] ou séchées [crues (brutes) et/ou aromatisantes (condiment)]) comestibles.(1*)
fleurs - crues ou cuites ; fruits - cuits
La limonade de fleurs de sureau est une boisson très appréciée. Le sirop aussi. Les fleurs se cuisent en beignets.
Les boutons conservés dans le vinaigre peuvent accommoder des salades.
Les baies cuites parfument les gâteaux aux pommes et sont consommées en jus, en gelée et en confiture. On en fait aussi du vin. Enfin, elles sont utilisées comme colorant naturel, notamment pour les boissons et aliments.

(1*)les baies vertes immatures (crues ou cuites), de même que les noires mûres (crues), sont toxiques et peuvent parfois causer des diarrhées et nausées ; il est donc fortement recommandé de n'en consommer, ainsi, que de petites quantités {{{1 . (irrégulièrement/ponctuellement ? (qp*))
Le sureau noir peut être confondu avec le Sureau hièble (Sambucus ebulus) dont les baies peuvent être très toxiques {{{wiki .
Note médicinale : ***
Usages médicinaux : Le sureau noir fait partie à la pharmacopée traditionnelle, au moins dès l'Antiquité et y compris pour la médecine ayurvédique d'Inde.
Au Ier siècle de notre ère, Pline l'Ancien le recommandait contre les catarrhes et les excès de mucus, tout comme le médecin grec Galien au IIe siècle.
Les Amérindiens d'Amérique du Nord lui attribuaient les mêmes propriétés qu'au sureau blanc (Sambucus canadensis, dont la composition est semblable à celle de son cousin européen).
Dans diverses régions du monde, les fleurs du Sambucus nigra, en tisane, étaient utilisées ou le sont encore comme diaphorétique contre les refroidissements et la grippe. Les études de Caroline M, Camille N., Justine T. et Charline N. vont dans ce sens et ajoutent aux fleurs des propriétés antioxydantes aux fleurs, grâce à la présence de monomères d'anthocyane.
En France, une étude ethnobotanique a en 1984 porté sur les usages des plantes dans la vie quotidienne à Bagnes au début du XXe siècle. Le sureau (dont les noms patois de cette région étaient sy?u, sy?, s? ou s?u) était utilisé via ses fruits (en sirop), ses fleurs (en tisane et en inhalation contre le rhume et les refroidissements) ; il était dans cette région considéré comme « bon pour la circulation », et en particulier un mélange de Sureau et de Benoîte était utilisé en compresse pour soulager les varices.
En 1986, la Commission E, un organisme gouvernemental allemand, approuvait l'usage médicinal des fleurs de sureau pour le traitement du rhume. En 1999, l'organisation mondiale de la santé a reconnu les usages traditionnels des fleurs de sureau comme diaphorétique (qui provoque la sudation) et expectorant.
En 1995, un essai clinique à double insu avec placebo, mené dans un kibboutz israélien lors d'une épidémie de grippe, a conclu qu'un extrait de baies de sureau était nettement supérieur au placebo pour soulager les symptômes de la grippe : en deux jours, 93,3 % des sujets traités au sureau voyaient déjà un soulagement significatif de leurs symptômes, tandis qu'il a fallu six jours pour que 91,7 % des personnes sous placebo éprouvent une amélioration similaire.
En 2002, une étude de pharmacovigilance a porté sur 762 femmes enceintes ayant durant leur grossesse pris une préparation renfermant, entre autres plantes, des fleurs de sureau. Aucun effet tératogène ni embryotoxique n'a été observé.
Les fleurs contiennent des anthocyanes, des flavonoïdes, du mucilage, des tanins et une petite quantité d'huile essentielle très aromatique. Les fruits contiennent les mêmes flavonoïdes, des vitamines A, B et C.
A noter que chez l'espèce proche sambucus ebulus (dont les baies sont toxiques), les feuilles fraîches, toxiques car très riches en acide cyanhydrique, ont été utilisées en cataplasmes {{{wiki .
Senna alata, Séné ailé
Rusticité (résistance face au froid/gel) : zone 10-12


Note : **
Détails : -jeunes feuilles - cuites ; les feuilles grillées sont parfois utilisées comme succédané du café ; -jeunes gousses - cuites et consommées comme légume ; utilisées uniquement en petites quantités.(1*)

(1*)ATTENTION : la plante peut devenir une mauvaise herbe dans les pâturages ; elle n'est pas consommée par le bétail et serait toxique, en particulier pour les chèvres ; l'écorce est utilisée comme poison de poisson {{{5(+) (toutes les parties de la plante sont toxiques si elles sont ingérées {{{5(K) ).
Note médicinale : ****
Usages médicinaux : Le buisson de teigne est largement utilisé comme médecine traditionnelle, particulièrement apprécié pour son effet laxatif et son traitement efficace de plusieurs affections cutanées, dont la teigne et la gale. La recherche tend à confirmer la validité de ces traitements traditionnels. Un certain nombre de dérivés d'anthraquinone ont été isolés des feuilles, tels que l'aloe-émodine, le chrysophanol, l'isochrysophanol et la rhéine, ainsi que l'alcaloïde tyramine et le stéroïde bêta-sitostérol commun [299]. Les extraits bruts de feuilles ont montré une activité antibactérienne contre une gamme de bactéries (comme Dermatophilus congolensis, qui provoque une affection cutanée grave chez les bovins), des propriétés antifongiques (comme contre le Pityriasis versicolor chez l'homme), ainsi qu'une activité antitumorale [299]. L'écorce contient des tanins [299]. Les pétales contiennent des anthraquinones, des glycosides, des stéroïdes, tanins et huile volatile [299]. Les extraits de pétales ont une activité bactéricide contre les bactéries à Gram positif mais pas contre les bactéries à Gram négatif [299]. La plante est laxative, antibactérienne, antitumorale, anti-inflammatoire, diurétique, analgésique, vulnéraire, faiblement antifongique, hypoglycémique et antispasmodique [311]. Les feuilles sont laxatives [348]. Ils sont pris en interne comme remède contre la constipation et pour purifier le sang [311]. Les feuilles sont décoctées, avec ou sans Tripogandra serrulata et Persea americana, comme traitement de la biliousness et de l'hypertension. Les feuilles sont largement utilisées dans le traitement des maladies de la peau [298]. Ils peuvent être appliqués sous forme de teinture; comme cataplasme; en poudre, puis mélangé avec de l'huile sous forme de pommade; ou la sève peut être répandue sur la zone touchée - ils forment un traitement efficace pour les imperfections cutanées, la gale, teigne et autres infections cutanées fongiques [302, 310, 311]. L'écorce est utilisée pour traiter les maladies de la peau, la diarrhée, les vers, les maladies parasitaires de la peau, la gale et l'eczéma [311]. La racine est laxative. Une perfusion est utilisée dans le traitement de la diarrhée, des tympanites, des problèmes d'utérus et de l'expulsion du ver filaria [348]. La racine est appliquée à l'extérieur pour traiter les plaies et les champignons cutanés [348]. Les fleurs sont utilisées comme laxatif et vermifuge [348]. Une perfusion est utilisée pour remédier aux affections de la rate [348]. Une décoction associée au Zingiber officinale est utilisée comme traitement de la grippe et comme abortif [348]. Ils sont décoctés avec du lait de coco pour être utilisés comme laxatif [348]. Les feuilles, les fleurs et les fruits sont mélangés dans une infusion pour traiter les problèmes d'estomac [348]. La graine est laxative et anthelminthique. Il est cuit et utilisé comme remède contre les vers intestinaux [348]. La feuille contient de l'anthraquinone purgative et présente également une certaine activité antimicrobienne [348]. La tige contient du chrysophanol, de l'émodine, de la rhéine et de l'aloès émodine [348]. La feuille et le fruit contiennent des dérivés anthracéniques purgatifs de l'aloès émodine et de la rhéine [348].
T
Terminalia chebula, Myrobalan chébule
Note : ***
Parties comestibles : noyau, noix, feuilles, fruits (traduction automatique) | Original : Kernel, Nuts, Leaves, Fruit
Détails : Les fruits verts amers sont consommés crus avec du poisson. Ils sont également conservés en saumure ou frits. Les grains de graines sont parfois consommés. Les graines donnent également une huile comestible. Les graines sont utilisées pour le sel noir utilisé comme épice (traduction automatique).
Original : The bitter green fruit are eaten raw with fish. They are also preserved in brine or fried. The seed kernels are occasionally eaten. The seeds also yield an edible oil. The seeds are used for black salt used as a spice

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : *****
Usages médicinaux : Le myrobolan noir est d'une importance capitale pour la médecine ayurvédique[238]. Il a longtemps été considéré comme un remède de premier ordre pour toutes sortes de problèmes digestifs et est sacré pour Shiva[238 , 254]. Ses propriétés médicinales ont été testées dans de nombreuses expériences. Les fruits contiennent une gamme de constituants médicalement actifs, notamment des anthraquinones, des tannins, de l'acide chébulique, de la résine et une huile fixe[254]. Les extraits de fruits ont montré une activité inhibitrice significative sur le stress oxydatif et le raccourcissement de la longueur de l'ADN télomérique lié à l'âge, et donc un effet inhibiteur sur le vieillissement cellulaire. Ils ont également montré un effet cardioprotecteur[299]. Un extrait brut des fruits a inhibé la croissance des cellules cancéreuses, l'acide chébulinique, l'acide tannique et l'acide ellagique étant les composés phénoliques les plus inhibiteurs[299]. Les effets antidiabétiques de l'extrait de fruit ont été démontrés[299]. Les fruits ont montré des activités antivirales. L'acide gallique et les 3-galloyl glucoses ont été isolés comme inhibiteurs de l'intégrase du virus de l'immunodéficience humaine de type 1 (VIH-1)[299]. Les extraits ont inhibé la réplication du cytomégalovirus humain (CMV) et peuvent être bénéfiques pour la prophylaxie de la maladie à CMV chez les patients immunodéprimés. Ils ont également montré une activité contre le virus de l'herpès simplex de type 1 (HSV-1)[299]. Des activités antibactériennes ont été démontrées[299]. Un extrait du fruit a inhibé la glycolyse des bactéries salivaires et peut servir d'agent anti-caries[299]. L'administration topique d'un extrait de feuille a accéléré le processus de cicatrisation des plaies, en partie grâce à son activité antimicrobienne[299]. Le myrobalan noir est une herbe douce, astringente et réchauffante au goût désagréable[238]. Ils ont de nombreuses propriétés médicinales : laxatif, stomacal, expectorant, hémostatique, tonique et altérant. Ils présentent une activité antibactérienne et antifongique et sont utilisés pour soigner les gencives enflammées et comme soulagement de l'asthme[303]. Les fruits sont utilisés en interne dans le traitement de la constipation, des troubles digestifs et nerveux, de la diarrhée, de la dysenterie, des vers intestinaux, des hémorroïdes, du prolapsus rectal, des saignements et inflammations utérins anormaux, des pertes vaginales, de l'éjaculation involontaire, de la toux et de l'asthme[238]. En externe, il est utilisé pour traiter les ulcères, les plaies, l'inflammation de la bouche et les maladies des gencives[238]. Le fruit est récolté à maturité et séché au soleil pour une utilisation ultérieure[238]. Les fruits acides sont un ingrédient majeur du « triphala », un tonique laxatif rajeunissant à base de cette espèce ainsi que des fruits de Phyllanthus emblica et de Terminalia belerica[238]. C'est également un ingrédient de « amrit kalash », une autre célèbre formule tonique ayurvédique[301]. L'écorce est diurétique[272] {{{5(+)
Trichosanthes kirilowii, Concombre chinois



Note : **
Détails : Partie(s) comestible(s) : fruit, feuilles, huile, racine culinaire(s) :
-la racine de amidonnée est pelée, coupée en tranches, trempée dans des changements répétés d'eau pendant cinq jours jusqu'à ce qu'elle se désintègre, puis écrasée en une pulpe qui est utilisée dans des gâteaux cuits à la vapeur ;
-la pulpe du fruit est également consommée ;
-les jeunes pousses sont cuites et consommées comme légume (ex. : comme potherbe).

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : ****
Usages médicinaux : Cette plante est couramment utilisée en herboristerie chinoise, où elle est considérée comme l'une des 50 plantes fondamentales[218]. Des recherches récentes ont isolé une protéine appelée « trichosanthine » dans les racines et celle-ci est actuellement testée comme remède possible contre le SIDA[238]. Peau, vulnéraire[174, 178]. La feuille et la tige sont fébrifuges[218]. Le fruit est antibactérien, anticholestérolémique, antifongique, dépuratif, émollient, expectorant et laxatif[147, 174, 176, 178, 238]. Il est utilisé dans le traitement des infections pulmonaires avec expectorations jaunes et épaisses, douleurs thoraciques, sensation d'étouffement dans la poitrine, constipation et selles sèches[176]. Il a une action antibactérienne contre E. coli, Bacillus dysenteriae, B. typhi, B. paratyphi, Pseudomonas, Vibrio cholerae, V. Proteus etc[176]. Le fruit est traditionnellement préparé comme une soupe d'hiver pour prévenir le rhume et la grippe[238]. Le fruit est récolté en automne et séché pour une utilisation ultérieure[238]. L'écorce du fruit est utilisée pour traiter un certain nombre de maladies, notamment le cancer, la jaunisse, la rétention placentaire, les infections bronchiques avec mucosités épaisses et les maux de gorge[176, 218, 238]. La graine est antitussive, émolliente et expectorante[218]. La racine est antibiotique, anti-inflammatoire, fébrifuge, galactogène, laxative, ocytocique, sialagogue et tonique utérin[147, 174, 176, 178, 218, 238]. La racine fraîche est connue depuis des siècles comme abortif : une éponge imbibée de son jus était placée dans le vagin et provoquait un avortement au deuxième trimestre de la grossesse[218]. La racine est prise en interne dans le traitement du diabète, de la toux sèche et pour aider au deuxième stade du travail[176, 238]. La racine est récoltée à l'automne et séchée pour une utilisation ultérieure[238]. La racine et/ou la graine sont réduites en poudre et utilisées dans le traitement du cancer du sein[218]. Un utilisateur du site Web a noté que Trichosanthes kirilowii est une "importante plante médicinale chinoise dont le fruit entier, les graines, l'écorce ET le rhizome tubéreux sont tous utilisés régulièrement en médecine. Bien que certains types d'extraits puissent être toxiques et que la racine brute/non transformée puisse être toxique, affirmer sans équivoque que la racine est toxique est une erreur" {{{5(+)
Trigonella foenum-graecum, Fenugrec


Note : ****
Détails : Partie(s) comestible(s) : graines, feuilles, herbe, épice, jeunes gousses, légume culinaire(s) :
-les graines peuvent être mises à germer et mangées ; elles sont également trempées et cuites ; les graines sont broyées et utilisées comme épice ; elles sont utilisées dans la poudre de curry ; le goût amer des graines peut être éliminé par un léger grillage ; les graines grillées sont utilisées comme un substitut de café ;
-les feuilles peuvent être consommées comme légume (ex. : comme potherbe) ; elles sont également séchées et mélangées dans des plats de légumes ;
-les graines et les feuilles peuvent être infusées dans un thé ;
-les graines produisent une huile.

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : *****
Usages médicinaux : Le fenugrec est très utilisé en phytothérapie, notamment en Afrique du Nord, au Moyen-Orient et en Inde. Il possède un large éventail d'applications médicinales[254]. Les graines sont très nourrissantes et sont administrées aux convalescents et pour favoriser la prise de poids, notamment en cas d'anorexie mentale[254]. Les graines ne doivent pas être prescrites à des fins médicinales aux femmes enceintes car elles peuvent induire des contractions utérines[238, 254]. Des recherches ont montré que les graines peuvent inhiber le cancer du foie, réduire le taux de cholestérol sanguin et avoir également un effet antidiabétique[254]. Les graines et les feuilles sont anticholestérolémiques, anti-inflammatoires, antitumorales, carminatives, adoucissantes, désobstruantes, émollientes, expectorantes, fébrifuges, galactogènes, hypoglycémiques, laxatives, parasiticides, reconstituantes et toniques utérins[4, 7, 21, 147, 165, 176, 238]. Les graines produisent un mucilage puissant et sont donc utiles dans le traitement des inflammations et des ulcères de l'estomac et des intestins[4, 254]. Prises en interne, une décoction de graines moulues sert à drainer les canaux sudoripares[7]. Les graines sont très nourrissantes et renforcent le corps et sont l'un des toniques les plus efficaces en cas de faiblesse physique causée par l'anémie ou par des maladies infectieuses, en particulier lorsqu'un facteur nerveux est impliqué[7, 244]. On l'utilise également dans le traitement du diabète d'apparition tardive, de la mauvaise digestion (en particulier en convalescence), de l'insuffisance de lactation, des règles douloureuses, des douleurs de l'accouchement, etc.[238, 244]. Les graines rafraîchissent la mauvaise haleine et restaurent un sens du goût émoussé[254]. En externe, les graines peuvent être broyées en poudre et utilisées comme cataplasme pour les abcès, les furoncles, les ulcères, les brûlures, etc., ou elles peuvent être utilisées comme douche vaginale pour les pertes vaginales excessives[4, 244, 254]. Les feuilles sont récoltées pendant la saison de croissance et peuvent être utilisées fraîches ou séchées[238]. Les graines sont récoltées à pleine maturité et séchées pour une utilisation ultérieure[238]. Les composés extraits de la plante ont montré une activité cardiotonique, hypoglycémique, diurétique, antiphlogistique et hypotensive[218]. L'un de ses alcaloïdes constitutifs, appelé « trigonelline », a montré un potentiel d'utilisation dans le traitement du cancer. La graine contient la saponine diosgénine, une substance importante dans la synthèse des contraceptifs oraux et des hormones sexuelles[244], tandis que les saponines de la plante ont été extraites pour être utilisées dans divers autres produits pharmaceutiques[238]. Les monographies de la Commission E allemande, un guide thérapeutique de la phytothérapie, approuvent Trigonella foenum-graecum pour la perte d'appétit, l'inflammation de la peau (voir [302] pour les critiques de la commission E) {{{5(+)
V
Vernicia fordii,Synonymes : Aleurites fordii Hemsl. 1906
Rusticité (résistance face au froid/gel) : zone 8-10

Note : *
Détails : Graines ; il n'y a pas plus de détails mais le rapport doit être traité avec prudence car l'huile de la graine est dite toxique.(1*)

(1*)ATTENTION : l'huile de la graine est toxique ; les feuilles et les graines contiennent une saponine toxique {{{5(+) ; bien que toxiques, les saponines sont mal absorbées par le corps humain et donc la plupart passent sans dommage ; les saponines sont assez amères et peuvent être trouvées dans de nombreux aliments courants tels que certains haricots ; ils peuvent être éliminés en les lessivant soigneusement dans l'eau courante ; une cuisson minutieuse, et peut-être changer l'eau de cuisson une fois, en éliminera également la plupart ; cependant, il n'est pas conseillé de manger de grandes quantités d'aliments contenant des saponines ; les saponines sont beaucoup plus toxiques pour certaines créatures, comme les poissons, et les tribus de chasseurs en ont traditionnellement mis de grandes quantités dans les ruisseaux, les lacs, etc. afin de stupéfier ou de tuer les poissons {{{5(K) .
Note médicinale : ***
Usages médicinaux : L'huile de la graine est utilisée à l'extérieur pour traiter les maladies parasitaires de la peau, les brûlures, les échaudures et les blessures [218]. On dit que l'huile toxique pénètre dans la peau et dans les muscles, lorsqu'elle est appliquée sur des plaies chirurgicales, elle provoque une diminution de l'inflammation dans les 4 à 5 jours et ne laisse aucun tissu cicatriciel après la suppression de l'infection [218]. La plante est émétique, antiphlogistique et vermifuge [147, 218]. Les extraits du fruit sont antibactériens [218].
Viola odorata, Violette odorante



Note : *****
Détails : fleur1, feuille1 et racine1 comestibles.
feuilles crues (en salades) ou cuites (ex. : comme potherbe).

ATTENTION : peut causer des vomissements. ; possible effet additif avec des laxatifs {{{5(+) .
Note médicinale : ***
Viola tricolor Pensée sauvage



Note : **
Détails : fleur1 (jeunes ; décoratives1 et/ou aromatisantes (crues/cuites)1)µ, feuille (jeunes, dont pousses ; aromatisantes (crues/cuites)1 ; dont jus1) et racine (torréfiées ; café1) comestibles.
Les feuilles et fleurs peuvent être utilisées comme décoration, par exemple pour agrémenter une salade ou égayer un dessert.
Les racines torréfiées ont été utilisées pour produire un substitut de café.

néant, inconnus ou indéterminés.
Note médicinale : ***

Encyclopédie des plantes médicinales - Identification, préparations, soins
335 pages avec 850 illustrations en couleurs
Sommaire
Index général
Glossaire
Plantes médicinales
334 pages,
par Robin Arma

Le petit herboriste illustré
727 pages
Site correspondant

Manuel de l'herboriste, comprenant la culture, la récolte, la conservation, les propriétés médicinales des plantes du commerce,
et un dictionnaire des maladies et des remèdes (1889)
170 pages,
par le Dr M. Reclu
Livre sur les maux et solutions émotionnelles à leur(s) cause(s) :

Le grand dictionnaire des malaises et des maladies
486 pages,
par Jacques Martel
Index des malaises et des maladies analysés dans le dictionnaire
Annexe 1 : parties du corps et signification métaphysique générale rattachée à chacune d’elles
La naturopathie, un chemin d’autonomie (89 pages), La Naturopathie au chevet des troubles du comportement alimentaire (96 pages), Le grand Livre de La naturopathie (257 pages), Le grand Livre de L'ostéopathie (354 pages), Le guide secret des remèdes naturels (150 pages), Les Plantes médicinales, atlas colorié des plantes médicinales (412 pages), Histoire de la médecine d'Hippocrate (570 pages), Le médecin des pauvres (39ème édition, 322 pages), Le médecin des pauvres et les 2000 recettes utiles (26ème édition considérablement augmentée, 254 pages), 150 remèdes par les plantes (57 pages), Guide de l'herboriste-droguiste avec les remèdes vétérinaires (661 pages), Flore médicale et iconographie végétale (198 pages), Atlas colorié des plantes médicinales indigène (396 pages), Les plantes qui guérissent (28 pages), Droguier curieux ou Catalogue des drogues simples et composées, mis par alphabet. Utile et nécessaire a toutes personnes qui desirent connoître les drogues ou en faire commerce (89 pages), Abrégé de matiere médicale, où l'on expose la nature, les vertus & les doses des drogues, tant simples que composées, qui entrent dans la confection des coffre de médicamens des tinés au service des vaisseaux, frégates, & autres bâtimens du roi. Tome 1. A l'usage des chirurgiens de la marine (487 pages), Dictionnaire universel des drogues simples ... ouvrage dépendant de la "Pharmacopée universelle (3ème édition, 1114 pages), Le Marchand sincère, ou Traité général des drogues simples et composées, renfermant dans les 3 classes des végétaux, des animaux et des minéraux tout ce qui est l'objet de la physique, de la chimie, de la pharmacie et des arts les plus utiles à la société des hommes... avec un discours qui explique leurs différents noms, les pays d'où elles viennent, la manière de connoître les véritables d'avec les falsifiées et leurs propriétez, où l'on découvre l'erreur des anciens et des modernes... Il est à remarquer que toutes les drogues dont il est parlé dans ce nouveau traité ont été démontrez publiquement l'année dernière au Jardin royal à Paris (652 pages), Nouveau traité de médecine (536 pages),
LISTE A DES PLANTES MÉDICINALES UTILISEES TRADITIONNELLEMENT